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 PoUr SaUvEr nOs DeUx mOnDeS...

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Dark
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Dark


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MessageSujet: PoUr SaUvEr nOs DeUx mOnDeS...   PoUr SaUvEr nOs DeUx mOnDeS... Icon_minitimeLun 18 Fév - 21:42

voilà j'aurais besoin d'aide pour corriger les fautes d'orthographe d'une de mes histoires...
si vous voyez des répétitions ou des fautes de styles n'hésitez pas et dites le moi ^^





Prologue :





Dans la pénombre d’une chambre d’un grand hôtel parisien, une horloge numérique indiquait 4h en chiffres rouges scintillants.

Alors que la lune éclairait faiblement un visage calme, les yeux grands ouverts.



April fixait intensément, de ses yeux d’un mauve profond, le plafond de sa chambre provisoire.

Ce matin sa première pensée alla à ses amis, elle ne les avait plus vu depuis longtemps et leur absence se faisait chaque jour sentir un peu plus. Dans ce monde où les apparences compte plus que la personne elle-même April ne se sentait pas à sa place.

Ce souvenir fit apparaître un léger sourire sur son beau visage.

Malheureusement, celui-ci ne tarda pas à disparaître faisant place à une mine sombre et lasse.



Aujourd’hui encore elle devrait jouer un rôle qui n’était pas le sien, vivre une fois de plus l’ennuyante routine qui était devenue depuis quelques temps son quotidien.

Pourtant elle gardait l’espoir naïf que tout s’arrangerait. Inlassablement, elle attendait des nouvelles, rien qu’un message rassurant de ses amis.

Elle attendait impatiemment le jour où elle les retrouverait, ces personnes si importantes à ses yeux.

Elle, elle ne pouvait rien faire d’autres que d’attendre et de s’employer à accomplir la tâche qu’on lui avait confié. Ce matin là, elle était bien loin de penser que le jour où elle reverrait toutes ces personnes ne tarderait pas à venir, mais que ce ne serait pas vraiment dans les circonstances voulues.

Ce jour entraînerait de nombreux malheurs avec lui, autant pour elle que pour les habitants de cette planète bleue appelée « Terre ».
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Canell
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Canell


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MessageSujet: Re: PoUr SaUvEr nOs DeUx mOnDeS...   PoUr SaUvEr nOs DeUx mOnDeS... Icon_minitimeLun 18 Fév - 22:15

Dark a écrit:
voilà j'aurais besoin d'aide pour corriger les fautes d'orthographe d'une de mes histoires...
si vous voyez des répétitions ou des fautes de styles n'hésitez pas et dites le moi ^^





Prologue :





Dans la pénombre d’une chambre d’un grand hôtel parisien, une horloge numérique indiquait 4h en chiffres rouges scintillants.

Alors que la lune éclairait faiblement un visage calme, les yeux grands ouverts.



April fixait intensément, de ses yeux d’un mauve profond, le plafond de sa chambre provisoire.

Ce matin sa première pensée alla à ses amis, elle ne les avait plus vu depuis longtemps et leur absence se faisait chaque jour sentir un peu plus. Dans ce monde où les apparences comptent plus que la personne elle-même. April ne se sentait pas à sa place.

Ce souvenir fit apparaître un léger sourire sur son beau visage.

Malheureusement, celui-ci ne tarda pas à disparaître, faisant place à une mine sombre et lasse.



Aujourd’hui encore elle devrait jouer un rôle qui n’était pas le sien, vivre une fois de plus l’ennuyante routine qui était devenue depuis quelques temps son quotidien.

Pourtant elle gardait l’espoir (naïf) que tout s’arrangerait. Inlassablement, elle attendait des nouvelles, rien qu’un message rassurant de ses amis.

Elle attendait impatiemment le jour où elle les retrouverait, ces personnes si importantes à ses yeux.

Elle, elle ne pouvait rien faire d’autres que d’attendre et de (s’employer) à accomplir la tâche qu’on lui avait confié. Ce matin là, elle était bien loin de penser que le jour où elle reverrait toutes ces personnes ne tarderait pas à venir, mais que ce ne serait pas vraiment dans les circonstances voulues.

Ce jour entraînerait de nombreux malheurs avec lui, autant pour elle que pour les habitants de cette planète bleue appelée « Terre ».

J'aime beaucoup ^^
Euh, je me suis permis de corriger ce que j'ai pu mais j'espère qu'on repassera derrière moi ^^ Sinon,les mots entre parenthèses sont les mots qui m'ont semblés étranges, mais ce n'est que mon point de vue alors ne t'inquiète pas =D
J'espère t'avoir aider Embarassed
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Dark
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MessageSujet: Re: PoUr SaUvEr nOs DeUx mOnDeS...   PoUr SaUvEr nOs DeUx mOnDeS... Icon_minitimeLun 18 Fév - 23:51

merci beaucoup ^^
j'ai corrigé dans mon doc word...
voici la suite si ça t'interresse ... mais c'est vieux cela date de mes débuts ...


Chapitre 1: Devant mes yeux, le monde bouge…





April courait précipitamment vers une grande grille en fer, son sac noir en bandoulière heurtant ses hanches à chacun de ses pas rapides.

Dépassant la grille où la rouille commençait à ronger les barreaux. Elle ralentit sa course et s’arrêta devant une porte de bois vernis où était accrochée une petite plaque en métal terni par les années. De petits chiffres en bronze y étaient collés formant le nombre « 810 ».

April toqua d’une main hésitante et entra sans attendre une quelconque réponse.

La pièce dans laquelle elle se trouvait était une salle de cours en demi-cercle.

Elle ressemblait à un amphithéâtre ou encore à une salle d’université.

L’étudiante soupira, à cette heure matinale, la salle était encore vide et aucun bruit à part le son de ses talons claquant sur le sol, ne brisait le silence qui y régnait.

Elle était comme toujours arrivée avec une bonne demi-heure d’avance à son premier cours, histoire. En fait, elle aimait l’atmosphère ce dégageant de ce lieu c’est donc pour cela qu’elle s’y rendait tôt le matin…



La jeune fille s’assit sur une chaise du fond, place qu’elle avait en prédilection, et sortit de son sac un livre du nom un peu enfantin de « L’histoire au fil des pages », entreprenant de relire son cours en attendant que son professeur daigne enfin arriver.

Peu à peu, au fur et à mesure que ses doigts fins tournaient les pages jaunâtres du livre, la salle se remplissait, d’élèves tous plus différents les uns que les autres.



Cela faisait plus de trois quarts d’heure qu’elle était assise sur cette chaise qu’elle trouvait décidément très inconfortable et la salle était à présent bondé et agitée, les élèves attendant avec impatiente leur professeur. Mais elle n’y prêtait aucune attention, quelque chose de bien plus important la tracassait, un pressentiment, cette chose qui vous ronge petit à petit, le stress vous étouffant, formant une boule compacte dans votre gorge. April en était sure, quelque chose de mauvais, de très mauvais allait arriver, et ses intuitions ne lui mentaient jamais. Pas une seule fois elles ne l’avaient trompée, ou même induite en erreur.

L’arrivée bruyante de son professeur lui fit reprendre ses esprits, la sortant de sa torpeur.



Secouant la tête pour se débarrasser de ses sombres pensées elle redirigea son attention sur son livre, et le referma d’un coup sec, faisant au passage sursauter les jeunes gens se tenant assis à ses cotés. Le rangeant dans son sac noir, elle reporta son regard vers l’estrade trônant au milieu de la pièce où se tenait un homme d’âge certain, son professeur d’histoire. Il paraissait avoir une quarantaine d’années mais en avait en fait dix de plus et, sous ses airs sévère et un peu bourru de campagnard, il était pour April l’enseignant le plus vrai, et apte à enseigner. Avec son éternelle barbe de plusieurs jours et sa carrure imposante, ainsi que ses profonds cernes sous les yeux, on l’aurait facilement confondu avec un bûcheron ; s’il n’avait pas porté de petites lunettes carrées, telles celles d’une bibliothécaire acariâtre.



April l’écouta déblatéré vainement contre la société, ses élèves suivant pour la plupart attentivement son cours, sachant ce qu’il risquait d’arriver à la première incartade.

Soudain, il se tut fronçant les sourcils, ceux-ci se rejoignant en ailes d’oiseaux, et tapa du poing contre la petite table qui lui servait de bureau, intimant ainsi le silence aux quelques récalcitrants qui discutaient dans le fond de la salle.

Après ce petit « contretemps » le cours reprit son cours dans le … calme ?

Non,… Comme toujours, le cours d’histoire ce finit dans un débat, chacun exprimant son opinion avec acharnement, seule April restait calme, répondant avec assurance et sérénité.

Une sonnerie stridente retentit et les élèves se précipitèrent vers la porte, se poussant les uns les autres. April, elle, préférait attendre que le calme revienne, elle rangeait donc ses affaires à son aise, semblant dégager une aura de quiétude et de confiance qui intriguait les personnes l’entourant.

Elle inspirait aussi respect et … crainte. En effet de par son apparence et son attitude froide, elle dressait une barrière entre elle et les autres.

De longs cheveux noirs ainsi que des yeux d’un mauve peu commun lui conféraient un soupçon de mystère et une beauté que beaucoup de filles lui enviaient.

Sa fine silhouette était moulée par des vêtements noirs et mauves, s’accordant parfaitement avec ses cheveux. Quand à ses yeux, ou plutôt leur couleur, ils accentuaient encore ce sentiment d’inaccessibilité que les gens avaient envers elle.

Elle, elle gardait cette attitude froide mais au fond, elle en souffrait énormément.

Elle avait beau dire que ces êtres futiles qu’étaient les humains ne l’intéressaient pas, elle ne pouvait s’empêcher d’envier leur vie paisible. Bien sur, ils avaient des soucis comme tout le monde mais, beaucoup moins importants que ceux de son monde. Parfois elle en venait même à regretter d’être née dans celui-ci et pas chez ses terriens.
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Encre d'Or
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MessageSujet: Re: PoUr SaUvEr nOs DeUx mOnDeS...   PoUr SaUvEr nOs DeUx mOnDeS... Icon_minitimeDim 23 Mar - 21:19

Je me suis amusée à te faire une petite correction (quand je mets en vert c'est parce que ta phrase est bizarre, relis-la)



Citation :
Chapitre 1: Devant mes yeux, le monde bouge…



April courait précipitamment vers une grande grille en fer, son sac noir en bandoulière heurtant ses hanches à chacun de ses pas rapides.

Dépassant la grille où la rouille commençait à ronger les barreaux. Elle ralentit sa course et s’arrêta devant une porte de bois verni où était accrochée une petite plaque en métal ternie par les années. De petits chiffres en bronze y étaient collés formant le nombre « 810 ».

April toqua d’une main hésitante et entra sans attendre une quelconque réponse.

La pièce dans laquelle elle se trouvait était une salle de cours en demi-cercle.

Elle ressemblait à un amphithéâtre ou encore à une salle d’université.

L’étudiante soupira, à cette heure matinale, la salle était encore vide et aucun bruit à part le son de ses talons claquant sur le sol, ne brisait le silence qui y régnait.

Elle était comme toujours arrivée avec une bonne demi-heure d’avance à son premier cours, histoire. En fait, elle aimait l’atmosphère se dégageant de ce lieu, c’est donc pour cela qu’elle s’y rendait tôt le matin…



La jeune fille s’assit sur une chaise du fond, place qu’elle avait en prédilection, et sortit de son sac un livre du nom un peu enfantin de « L’histoire au fil des pages », entreprenant de relire son cours en attendant que son professeur daigne enfin arriver.

Peu à peu, au fur et à mesure que ses doigts fins tournaient les pages jaunâtres du livre, la salle se remplissait, d’élèves tous plus différents les uns que les autres.



Cela faisait plus de trois quarts d’heure qu’elle était assise sur cette chaise qu’elle trouvait décidément très inconfortable et la salle était à présent bondée et agitée, les élèves attendant avec impatiente leur professeur. Mais elle n’y prêtait aucune attention, quelque chose de bien plus important la tracassait, un pressentiment, cette chose qui vous ronge petit à petit, le stress vous étouffant, formant une boule compacte dans votre gorge. April en était sûre, quelque chose de mauvais, de très mauvais allait arriver, et ses intuitions ne lui mentaient jamais. Pas une seule fois elles ne l’avaient trompée, ou même induite en erreur.

L’arrivée bruyante de son professeur lui fit reprendre ses esprits, la sortant de sa torpeur.



Secouant la tête pour se débarrasser de ses sombres pensées elle redirigea son attention sur son livre, et le referma d’un coup sec, faisant au passage sursauter les jeunes gens se tenant assis à ses cotés. Le rangeant dans son sac noir, elle reporta son regard vers l’estrade trônant au milieu de la pièce où se tenait un homme d’âge certain, son professeur d’histoire. Il paraissait avoir une quarantaine d’années mais en avait en fait dix de plus et, sous ses airs sévères et un peu bourrus de campagnard, il était pour April l’enseignant le plus vrai, et apte à enseigner. Avec son éternelle barbe de plusieurs jours et sa carrure imposante, ainsi que ses profonds cernes sous les yeux, on l’aurait facilement confondu avec un bûcheron; s’il n’avait pas porté de petites lunettes carrées, telles celles d’une bibliothécaire acariâtre.



April l’écouta déblatérer vainement contre la société, ses élèves suivant pour la plupart attentivement son cours, sachant ce qu’il risquait d’arriver à la première incartade.

Soudain, il se tut fronçant les sourcils, ceux-ci se rejoignant en ailes d’oiseaux, et tapa du poing contre la petite table qui lui servait de bureau, intimant ainsi le silence aux quelques récalcitrants qui discutaient dans le fond de la salle.

Après ce petit « contretemps » le cours reprit son cours dans le … calme ?

Non,… Comme toujours, le cours d’histoire se finit dans un débat, chacun exprimant son opinion avec acharnement, seule April restait calme, répondant avec assurance et sérénité.

Une sonnerie stridente retentit et les élèves se précipitèrent vers la porte, se poussant les uns les autres. April, elle, préférait attendre que le calme revienne, elle rangeait donc ses affaires à son aise, semblant dégager une aura de quiétude et de confiance qui intriguait les personnes l’entourant.

Elle inspirait aussi respect et … crainte. En effet de par son apparence et son attitude froide, elle dressait une barrière entre elle et les autres.

De longs cheveux noirs ainsi que des yeux d’un mauve peu commun lui conféraient un soupçon de mystère et une beauté que beaucoup de filles lui enviaient.

Sa fine silhouette était moulée par des vêtements noirs et mauves, s’accordant parfaitement avec ses cheveux. Quand à ses yeux, ou plutôt leur couleur, ils accentuaient encore ce sentiment d’inaccessibilité que les gens avaient envers elle.

Elle, elle gardait cette attitude froide mais au fond, elle en souffrait énormément.

Elle avait beau dire que ces êtres futiles qu’étaient les humains ne l’intéressaient pas, elle ne pouvait s’empêcher d’envier leur vie paisible. Bien sur, ils avaient des soucis comme tout le monde mais, beaucoup moins importants que ceux de son monde. Parfois elle en venait même à regretter d’être née dans celui-ci et pas chez ses terriens.

J'aime bien l'histoire.
Si je peux te donner un conseil: tu mets beaucoup de participes présent, et à la fin ça devient lourd.

Bonne continuation en tout cas.
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