Autour de moi, tous va mal, de la tristesse, du mal être, de la détresse, de la déprime... j'ai beaucoup d'amis, qui on de gros problème, des problème que beaucoup d'ados possèdent, sa commence par une déprime, puis ils vont de plus en plus mal, et le mots décisive vient dans la conversation. parfois il est dit sans réfléchir, parfois il est dit après une longue réflexion, après des jours, et des années de douleur... personnes ne comprend. pourtant, pour eux, tous est noire, si différent, si pénible... leur coeur, pleur, il veut être entendus, mais dans des sanglot désespéré, celui ci s'éteint, son murmure qui sort de notre tête, certain ne l'entende pas, d'autre ne veulent pas l'entendre...
c'est un cris au secours, un appelle tremblant, hésitant...
tous le monde à son moyens de résoudre les problème, mais ce que les adultes ne comprennent pas, c'est que les ados, sont entre l'enfance et l'adulte, assez grand pour allé à l'école à pieds, mais pas assez mure pour résoudre seul ses problèmes. le monde est horriblement agressant, on peut se faire enlever, violé, ou simplement se perdre et voire des choses que l'on aurait pas du voire. mais pour les adultes, on est assez grand pour résoudre nos problèmes seul, c'est ce qu'on dit mes parents lorsque je leur ai dit que j'avais un problème et que je souhaitais leur en parler.
je suis face à mon bureau, le prof fait son cour, l'histoire... c'est aussi ennuyant que le prof lui même...
je repense matilde, elle allait pas bien, je m'en veut tellement de ne pas avoir trouver de moyens... elle n'allait pas bien du tous lorsque je l'ai laissé à la sonnerie, mon cahier posé devant moi, le regard, loin dans la galaxie, je ne m'intéressais pas du tous au cour... le coeur serré, j'avais mal pour elle, j'avais peur, peur qu'elle fasse une chose qu'elle regrette... malgré ce qu'elle semblai pensé, je tenais à elle, elle était mon amie... je me souvient de ce qu'elle ma dit, c'était étrange, elle ma dit qu'elle allait en anglais, les salle était au tous dernière étage, tous au bout du couloir, elle a dit que après ça tous serait terminé... que ses problèmes seraient oublier... elle ma dit au revoir...
je me redresse alors, dans ma torpeur, sans faire attention au regard de mes camarades... j'ai froids, j'ai mal, je ne sais quoi faire... je sais qu'il se passe une chose horrible, mais je sais pas comment réagir...
- Justine, qu'est ce que vous faites...
je n'eus aucune excuse à lui donné, aucun mots pour lui expliqué, de toute manière même si je l'aurais voulu, rien ne serait sortie de ma gorge...
sans une pensé de plus, sans un mots ni un regard en arrière, je parti en courant, ouvrant la porte à la volé, et courant dans les escaliers. mon coeur battait, il battait la chamade, j'avais froids, une sensation de vide me parcourus, j'avais mal, une douleur aigus parcourait mon corps... sans faire attention au élèves qui stationnaient dans le couloir, et sans prendre le temps de frapper, ni de m'arrêter, j'ouvris la porte de la salle 30. sans bruit ni murmure, la classe entière était tourné vers la fenêtre, comme pétrifié, ne sachant quoi dire, ou faire, les élèves restaient la bouche ouverte, alors que Matilde était à la fenêtre, sur le rebord... mon arrivé sembla pourtant les faire revenir à la réalité, la plupart partir en courant, cherché les pions, avertir la foule...
moi sans réfléchir à mes actes ou même au conséquence, je monte sur le rebord de la fenêtre et rejoint Justine sur le rebord...
sous mes yeux d'adolescente, d'amie, d'enfant, elle se jeta , ma main essaye de la rattrapé dans un geste déséspérer... mais Matilde la lâche... ne veut t-elle donc pas vivre... elle était mon amie... et je l'ai laissé mourir... souvent je me demande pourquoi elle à fait une tel chose, à t-elle pensé à nous, à la douleur que sa disparition engendrerais chez nous, chez ceux qui l'aimait... j'ai envie de pleuré, de crier, j'ai perdu une amie, j'ai perdus une partis de mon être...
le coeur en sang, l'âme douloureuse, cet évènement ma t-il autant changer ? suis je devenu ce que Matilde était ? je n'en sais rien, mais ça fait mal, je me sent mal... je parcours les rue, étant devenus que l'un moitié de ce que j'étais, plus personnes ne m'écoute, plus personnes ne me comprend... pour tous le monde ce qu'a fait Matilde, devait arrivé, une suite logique, la fin d'une décente au enfer...
MAIS MOI JE NE SUIS PAS D'ACCORD !!
est ce si difficile de m'écouter, d'entendre que je suis triste ?
je marche sur les raille du train, d'habitude il n'y en a jamais à cette heur là, je les longe, mon esprit vagabondant de tous part. en avançant, je vois une voiture sur le passage niveau, je m'avance, jetant un coup d'oeil, pour voir si quelqu'un avait besoin d'aide. je me penche à la fenêtre, il ne semble avoir personnes, j'entend un bruit à d'horizon, un grincement, j'ai l'impression de l'avoir déjà entendu. je me penche davantage, regardant à l'arrière, les passager avaient dus déserté. le bruit se fit entendre à nouveau, plus retentissant, et plus effrayant encore. je me retourne, deux point jaune à l'horizon s'avance vers moi... il n'est censé avoir aucun train à cette heur ci... le chauffeur ne me voie pas... c'est trop tard pour m'échapper... est ce ça mon destin, Matilde m'aurait t-elle donné une malédiction qui fait que je vais irréductiblement mourir ?
je sent le train passé sur moi, m'emporter contre la voiture, tous mes os me fond mal, est ce que c'est ainsi que ma vie va s'arrêter ? je vois quelqu'un au volant du train, c'est étrange, impossible, mais c'est vrais... elle était là, un béret sur la tête le regard hargneux, Matilde était là, au volant du train... elle accélérait, prenant un mal a plaisir à me faire souffrir. puis tous s'arrêta... j'avais mal, une douleur aigus, des brûlure insoutenable... le froid m'envahie, la vie me quittait...
j'entendis le train s'arrêter, Matilde vint me voir et posa son regard sur mon visage, dans un rictusse malveillant elle me lança :
- tu ne ma pas sauvé, à présent à toi de souffrir...