Il n'écoutait jamais ce qu'on lui disait, il gueulait, criait, ce plaignait pour rien. Il considérait les gens comme des moins que rien, il était propriétaire d'un journal, et si quelque chose ne lui plaisait pas, il le disait en faite, la seul chose qui était bien faite, c'était, ce que lui entreprenait.
Il avait deux enfants, une fille de 16 ans et un fils de 12 ans. La jeune fille était du genre à ne pas se laissé faire, on pourrait pensé qu'elle est peureuse, et c'est sans doute vrais, mais elle disait ce qu'elle pensait et ne pas reculais devant rien. elle n'avait pas peur de ce qu'elle pensait et n'hésitais pas. Voilà les mots qui pourraient la décrire. Elle aidait beaucoup, mais ces temps si, elle avait beaucoup changé, elle était devenue arrogante, et amer, mais, elle avait 16 ans, et il était normal de vouloir se distinguer de ses parents. C'est tous simplement humain !
Quant à son petit frère, il était du genre à ce laissé vivre et à prendre tous le monde pour ses larbins. Et ça pour le plus grand déplaisir de sa mère et sa sœur...
Pour lui son père était un saint, il était son héros, son modèle. Jamais, il ne se serait oposé à lui, même si s'était nécessaire.
Mais voilà, un héros, c'est sensé être quelqu'un qui a fait des choses bien dans sa vie, il sauve les innocents, c'est quelqu'un que tous le monde apprécie, mais, tous le monde le prenait pour un héros, sauf sa fille... Si son père était un héros, il était un héros de médiocre filme d'horreur.
Personne n'osait lui tenir tête, et avoué ce qu'il ressentait, ce qu'il pensait.
Et personne ne voulait allé l'aidé dans ses actes, sa fille surtout, à près tous pourquoi allé aidé quelqu'un qui n'est même pas content de ce que l'on fait. Parce que de toutes manière, il aurait tous recommencé.
La seul personne qui a eu le courage de dire ce quelle ressentait, qu'elle était quelqu'un, quelle en avait assez, il lui a demandé de partir, et de ne jamais revenir. C'était dû à quoi, une question d'ego ? Peut-être, il ne voulait pas avoué quelle avait raison. Mais, une chose est sûre, il ne faut jamais demandé à sa fille de 16 ans de partir de la maison, par ce qu'on vient de se rendre compte que l'on est un tirant. Parce qu'elle risque de vous prendre aux mots, et de ne jamais refranchir le seuil de la porte.
Assis dans son fauteuil, l'homme regardait les heures passé, attendant qu'elle revienne, qu'elle s'excuse. Mais très vite, les heures devinrent des jours et les jours des semaines. La police cherchait partout, dans chaque recoin de la ville, et de la région.
Très vite, la police retrouva la veste avec la quelle la jeune fille était parti, elle était couverte de sang. Une hypothèse vint alors à l'esprit des enquêteurs, la thèse de enlèvement n'était plus du tous écarté, bien au contraire...
Mais pour tous le monde, les sentiments avaient changé. Pour la population, et les médiats, le coupable idéale était le père, et tout le monde agissait comme si la jeune fille était déjà enterrée. Ce son des pensés funeste, mais personne ne pensait que la fille pouvait être en vie, pas après plus d'un mois d'absence.
Pour tout le monde, le père était si gentil, si attentionné, si aimable envers tous le monde. Et il avait une certaine notoriété, qui le m'était à l'abri des préjudices d'autrui. Mais personne ne pouvait ce douté de ce qui se passait dans cette petite maison de banlieue. C'est bien pour ça qu'il ne l'on crus coupable, mais ça na pas empêché de transformer sa vie en cauchemar.
Très vite, il a été prouvé par la police que le sang retrouvé sur la veste n'appartenait ni à la jeune fille, ni à son père. Cette fois si, c'état sûre, l'enlèvement était plus que plausible.
Ce genre de situation, aurait du rapproché cet homme et sa femme, mais il n'aurait jamais dû demander à sa fille de partir, il aurait dû accepter la vérité, accepté qu'il était un tyrannique détestable.
j'ai retrouvé mon brouillon, donc la suite dans une semaine.