Cercle vicieux.

J'ignore pourquoi, mais mon cœur pleur… il pleur de l'arme d'or.
Tu est triste mais tu ne le montre pas, ton faut sourire me met en rogne, tu refuse de parlé, tu refuse de rire… dans la vie, quand on est ami, on écoute, on parle, on s'assoit sur un banc et on restes des heures l'un a coté de l'autre à ne rien faire, seulement parce que tu as besoin de moi… mais tu me repousse, tu ferme les yeux et tu me dis gentiment de partir… mais ne comprend tu pas ? Ne comprend tu pas que partir c'est te laissé au mains rugueuse du désespoir ? J'ai envie de me levé, de dansé, et de te faire sourire… que tu ris comme avant, que tu chante avec moi sur une musique entraînante… la vie n'est pas finit, sourit, lève toi et affronte là ! Parce que je suis là…
Malheureusement ce n'est ni un rêve ni le présent, je ne peux plus rien changé à ça… j'aurais aimé te dire tous ça, j'aurais aimé te dire à quel point je t'aimais, mais aujourd'hui tout est finit, tu n'est plus là et moi non plus, tu es partie je n'ais plus aucune raison de me trouvé sur ce banc à attendre que tu ouvre la bouche, que tu souris, ou que simplement tu me regarde ! Jamais je n'oublierais, jamais ton image ne disparaîtra de devant mes yeux, tu étais mon ami, tu le sera pour toujours… j'aurais aimé que tu te confis à moi, j'aurais souhaité resté et écouté tous simplement, mais tu ne voulais pas… et au moment où tu la fait je suis partie, je suis partie parce que je ne supportais plus de t'entendre te plaindre, t'entendre me dire à quel point la vie est moche, à quel point tout est noir ! Mais si tu avais regardé autour de toi, tu aurais vus des oiseaux, tu aurais vus du ver, du jaune, du bleu… tu nous aurais vus nous.
Malheureusement ça faisait bien trop longtemps que tu ne nous avait plus vus, que tu ne voyais plus que le noir, l'obscurité. Ces nuages de brumes volant autour de toi, obscurcissant tes yeux d'une couleur bleu pâle… le brouillard nous à caché à toi, et tu n'as pas vus, que moi j'étais là, que moi je t'aimais… à présent je reste sur ce banc, à attendre ton retour, qui jamais ne viendra… ton souvenir restera pour toujours dans mon cœur, toujours… j'aurais du resté aujourd'hui je te demande pardon, pardon pour ne pas avoir écouté, pardon pour ce que je m'apprête à faire à présent… je t'aime et je te rejoint mon amour…

merci.