vengeance aveugle[science-fiction]

Voici une petite nouvelle que j'ai présentée au concours de bellaing l'année dernière mais elle n'a pas été retenue....

Si quelqu'un à des idées pour la retravailler je voudrais l'utiliser pour un prochain concours...

PARTIE 1:

« Sur clavène, planète minière de type 4, les prospecteurs avaient installé leur campement aux abords immédiats de l’aire d’atterrissage, sans que les autorités essayent même d’y mettre de l’ordre. Léna s’arrêta au bas des échelons, se demandant si elle n’allait pas immédiatement rembarquer… »

…Une fois de plus elle se posa cette même question qui la hantée maintenant depuis tant d’années. Aurait elle enfin la paix une fois que tous les assassins de ses parents auront été éliminés. Depuis ce jour tragique où son destin bascula dans une envie de vengeance sanglante, elle mit tout en œuvre pour parvenir à ses fins. C’est à dix ans qu’elle fût placée dans un sanctuaire d’éveil, lieu sacré, gardé par des moines robots, qui tentèrent de l’endoctriner vers une voie spirituel pour la délivrer du mal qui la ronger au plus profond de son être. Pourtant, malgré l’acharnement de ces machines, jamais elle ne pût oublier le jour où, caché dans une des gaines d’aération par son père, elle le vît lui et sa mère se faire lâchement assassiné par deux hommes dont leurs visages se grava dans sa mémoire. Le premier ne lui était pas inconnu. Il se nommé Jack TREVIS et était un ami proche de sa famille comme aimé le prononcer son père car l’amitié était une puissante force pour lui et il ne l’avait confié qu’à très peu de personne. Mais ce jour là, il avait été trompé. Le second se nommait Spiche JONES. Elle sut son nom bien plus tard. Après des mois de recherche, elle eut accès à son dossier médical lorsque, après une risque, il séjourna deux semaines dans un hôpital de Callen, planète voisine de Clavène, qui au contraire de sa consœur qui était essentiellement une planète à haute densité de métaux précieux et d’instabilité sismique ce qui l’avait place en type 4 sur l’échelle de Grinch (Qui ne comporte que sept échelons), était une planète entièrement voué à la culture agricole. Réputé pour sa qualité, elle était la première ressource alimentaire de tout le système solaire. Le rapport indiqué que cette seconde personne n’était plus tout à fait humaine. Il avait subi plusieurs intervention qui avait pour but de transformer son ADN pour qu’il puisse résister à un rétro-virus alien de type Collienne capable de lui décupler sa masse musculaire et sa résistance physique de façon spectaculaire. Léna connaissait ce genre de procéder. Elle avait croisé plusieurs individu de ce genre dans le centre d’éveil cherchant une rédemption à leur acte commis. Si le succès médical était garantie, la douleur infligé par le produit était psychiquement insupportable. De ce fait ce produit était devenu clandestin, transformant ces proies en titan psychopathe. Elle le savait donc extrêmement dangereux mais connaissait aussi le système de dépendance qu’engendrer le produit. Sans cette substance, il perdrait vite ces moyens. Un petit sac fût jeté alors que l’échelle d’où elle était descendu de l’appareil se replier sur elle même. Elle observa quelques instants le Pélican, transporteur Terranien qui l’avait amené jusqu’ici disparaître rapidement dans le ciel. Le capitaine Coffield lui avait peu parlé pendant le voyage mais elle sentait que ce dernier se doutait du but de son voyage. Il n’avait pourtant pas l’habitude de laisser une jeune fille de dix neuf ans sur une planète inhospitalière mais il lui devait une promesse et n’avait donc pas poser de question même lorsqu’il l’a découvris nettoyant une arme de poing qu’elle avait dissimulé avant d’embarquer. Il lui avait juste dit qu’il repasserait dans quarante huit heures. Elle ramassa son sac, en sortie un petit cylindre de dix centimètres de long qu’elle déploya formant ainsi un bâton d’un mètre quatre vingt de hauteur, mis sa musette en bandoulière et se dirigea vers le campement. Ce dernier avait un périmètre de quarante kilomètres. De grandes colonnes métalliques à intervalle régulier avaient été dressées soutenant de gigantesques panneaux de verre. Cela constitué un dôme de protection qui transformé son opacité selon le jour et la nuit. Sous ce dernier une multitude de box avait automatiquement été créé constituant chaque habitation pour les familles de prospecteurs. Elles avaient tout le confort nécessaire. Chambre, cuisine, séjour, toilette, le tout géré informatiquement. A chaque résidence, un androïde ménager était en option. Si les lieux avaient été créé pour des familles entières, bon nombre de ces gens étaient venu seul ou étaient tout simplement célibataire. La police n’intervenait pas car en général la mafia galactique était à l’origine de ces constructions profitant des prospecteurs pour tirer profit. C’est pour cela qu’en plus de ces derniers bon nombre de divers commerçant suivaient ce groupe nomade à travers leurs prospections. Cela aller de la simple boucherie au bar clandestin et tripot de jeux. Du fait de la multitude de commerces, de grandes étales se trouvaient collées aux box protégés par de grands murs et toitures de toiles rigides. Cette ensemble reposait sur un lit de sable épais et compact qui donnait à cette endroit l’aspect de ces villes d’orient que l’on trouvais jadis, au prémisse de la vie sur la planète d’origine nommée Terre. Léna se rapprocha rapidement du camp. Une légère secousse fît trembler le sol et ne dura que quelques secondes. Cette planète était vraiment instable pensa t’elle. Elle arriva à une gigantesque double porte qui gardait l’entrée du dôme. Là comme partout des étales s’étendaient. Une cohue de personnes inondées les ruelles étroites de cette mini-ville. Les deux individus qu’elle recherchait était là, quelque part ne ce souciant pas du tragique destin qui les attendaient. Mais par où commencer ? Soudain une voix l’interpella. Un jeune garçon d’environs une vingtaine d’années s’approcha d’elle en lui faisant signe et arborant un large sourire. Elle espéra juste que ce ne soit pas un de ces dragueur de bas étages qui venait l’enquiquiner. Il semblait aussi maigrelet qu’un chien perdu qui n’avait pas manger depuis plus de dix jours. Pourtant, malgré ses habits déchirés et la poussière qui lui maculait le visage il semblait posséder un certain charme. Elle avait aussi un sentiment de confiance spontanée à l’écoute du son de sa voix lorsqu’il se présenta. Elle ne savait pas pourquoi. C’était comme si elle le connaissais sans savoir qui il était. C’était une étrange sensation mais dans cette endroit sinistre et corrompue cela la rassurer. Il se nommé Dix et suivait le groupe de prospecteur depuis maintenant une bonne dizaines de planètes. Il avait toujours vécu à » trouville » comme il aimait appeler le campement. Elle écouta le large récit qu’il fît de sa vie et accepta de boire un verre de torche, alcool fort locale à un bar près de l’entrée. Si elle ne se sentait pas assez en confiance pour lui raconter le but de son arriver sur cette planète elle accepta tout de même son aide pour retrouver les deux individus qu’elle cherchait prétextant devoir leur demander des informations sur ces parents disparus. Il semblait être tomber dans la panneau et accepta volontiers de l’aider. Elle sortie une plaquette de verre de sa poche de la taille de la paume de sa main. Elle appliqua son pouce au centre de l’objet. Son empreinte digital s’illumina en vert et un petit clavier numérique apparu par transparence. Elle tapa une série de code et deux hologrammes apparurent au dessus de l’objet. Ils représentaient les visages des deux hommes qu’elle recherchait. Une chance pour elle car Dix les avait déjà vu. Mais d’après ce qui lui raconta, ils semblaient avoir mauvaise réputation. Ils travaillaient à la carrière 17 et personne ne devait approcher de cette endroit si il tenait à la vie. Il les avait déjà vu à l’œuvre lors d’une bagarre dans un bar et ceux qui leur avaient cherché des ennuis ne purent plus jamais prospecter de leur vie. Il chercha par tout les moyens à la dissuader de se rendre là où ces deux individus travailler. Mais c’était peine perdue. Cela faisait bien trop longtemps qu’elle attendait ce jour. Il fût donc obliger d’accepter de la conduire et lui avoua qu’il se doutait que si ce n’était pas lui, elle trouverait un autre guide moins réticent. Il l’amena à sa moto-jet qu’il gardait dans un petit hangar qu’il louait et qui lui servait aussi de studio. Grimpant tout deux sur la machine, l’engin disparu dans un nuage de poussière. L’appareil filait à plus de deux cents kilomètres à l’heure. Son système anti-gravité incorporer le laisser flotter constamment à quarante centimètres du sol. Avec cette technologie, son engin était capable de faire des bonds du haut d’une colline de plus de deux cents mètres de haut et retomber sans même s’écraser au sol. Aucun terrain accidenté ne pouvais gêner sa course. Après avoir traversé une fine paroi rocheuse séparant deux canyon de plus de mille cinq cents mètres de profondeur, ils arrivèrent à une place, sorte de grande alcôve naturelle où un campement avait été installé. Au fond de la paroi se trouvais l’entrée d’une mine. Tous semblais tranquille. Léna sauta de la moto et s’approcha doucement de l’abris.

PARTIE 2:

Elle enleva son sac et le pris dans ses bras plaçant sa main à l’intérieure pour y attraper son arme. Il n’y avait aucun bruit. Elle sentit le pistolet dans ses mains, le serra fort et s’approcha de l’entrée. Elle poussa du pied la porte du refuge qui s’ouvrit dans un long grincement. Il était vide. Soudain, la moto de Dix hurla ce qui la fit sursauter de peur tellement elle était tendu. Se retournant, elle le vît disparaître dans un nuage de poussières. Quelque part elle enragea qu’il file aussi vite sans rien lui dire mais après tout il se doutait peut être de sa venu ou alors n’était t’il qu’un lâche qui mourrais de peur de rester là. Elle le retrouverais bien assez tôt pour le savoir. Pour l’instant elle devait rester concentrer sur ce qu’elle était venu faire ici. Elle sentit une boule de stresse grandir dans son ventre et il fallait qu’elle se maîtrise. Soudain deux voix se firent entendre de la mine et elles se rapprochaient. Pris de panique, elle entra dans l’abris et alla se cacher dans une sorte de penderie de tissu rigide qui était juste un peu plus grande qu’elle. Une fois la porte fermée, elle fût plongé dans le noir. Les bruits autour d’elle devinrent plus net, comme si son ouïe décuplait ses capacités pour palier au manque de vue. L’un des deux personnage rentra dans l’abris. Son cœur se serra. La tâche lui semblait maintenant beaucoup plus difficile qu’elle ne l’avait imaginer. Elle entendit l’homme cherchait après quelque chose. Après quelques secondes elle entendis l’ouverture d’une boisson gazeuse. L’homme pris de grande rasade de cette boisson et termina par un énorme rot. Soudain la fermeture de la porte qui la dissimulé se fît entendre et elle tomba nez à nez avec ce fameux Jones. Elle avala de travers. L’homme était affreusement grand et anormalement musclé. Un tuyau transparent remplis d’un liquide vert sortait de son cou et rentrer dans une petite poche qu’il avait à son ceinturon. C’était la fameuse drogue alimentant en continue le flux sanguin du personnage. Il poussa un terrible ricanement et interpella son ami Trevis. Il se vantait d’avoir trouver une petite fouine dans le placard. Il allait bien s’amuser se soir. Léna pointa son agresseur. Sa main trembler. Spiche, qui s’était retourner pour parler à son amie entendis le déclic du pistolet. Dans un geste d’une extrême rapidité, il lui arracha des mains son arme et d’une puissante pression la réduisit en poussière. Il l’attrapa par les cheveux. Elle cria de douleur et la jeta à l’extérieure de l’abris. Elle s’écrasa au pied de Trevis. Au contraire de son ami perturber par la drogue, ce dernier restais dangereusement calme. Lèna leva la tête et le toisa du regard. Le second arriva, l’attrapa par les deux épaules et la souleva comme un fétu de paille lui mettant le visage au niveau de son compagnon. Sa force était prodigieuse. Ses bras était aussi puissant qu’un étau d’une largeur chacune de deux de ses cuisses. Il l’observa quelques instants puis lui demanda pourquoi une aussi mignonne jeune fille pouvais venir se perdre ici. Léna se débattit et crier de rage. Elle hurler le mot assassin et des larmes coulaient le long de sa joue. Trevis jeta un coup d’œil à son ami puis continua son interrogatoire. Alors elle lui raconta dans des spasmes de chagrin comment ils avaient tous deux assassiné ses parents alors qu’il disait être l’ami de son père. Après ce triste récit, il l’observa d’un étrange regard interrogateur. Trevis ne comprenais pas ce que raconter cette fille. Il lui expliqua que ce qu’elle raconter, toute son histoire ne pouvais être vrai pour une bonne et simple raison c’est que ses soit disant parents qu’elle avait vu mourir n’était pas mort assassiné mais ont péri dans un banal accident de voiture et qu’il n’ont jamais eu d’enfant. Elle ne pouvais donc pas être leur fille. Ces phrases furent un choc pour Léna. Elle hurla de plus belle et se débattit pour échapper à Jones. Elle cria qu’ils n’étaient que des menteurs et qu’ils voulaient échapper à sa vengeance. Mais Trevis était inquiet. Il observa les alentours comme si il se sentait épier. Il semblait parler à haute voix et à lui même. Il connaissait se procéder. Il avait déjà eu vent de ce genre de méthode. Il lui expliqua qu ‘elle n’était qu’un pion guidé par une main quelque part. Elle continua de crier et de les traiter de menteur. Cela ne pouvais être vrai. Elle voyait nettement ses parent s’écrouler sur le sol. Trevis tenant l’arme encore fumante. Ses années passés au centre d’éveil. Puis ses mois de recherches de planète en planète. Il la fixa quelques instants puis demanda à son ami de lui pencher fortement la tête en avant. Elle hurla de douleur sous la pression qu’exercer Jones. Le second fouilla quelques secondes à travers la masse de cheveux puis soudain tira fortement vers lui. La douleur pour Léna fut terrible. La lâchant elle s’écroula sur le sol. Elle avait l’impression d’avoir reçu une décharge de 10 000 volts à la base de sa nuque. Un filet de bave couler de sa bouche. Elle vit une plaquette de circuit électronique tomber sur le sol et être écraser par le pied de Trevis. Elle essaya de se souvenir de quelques chose. Rien. Le noir complet l’avait envahie. Elle savait pourquoi elle était là. Il fallait éliminer ses deux hommes mais tout souvenir de sa vie d’avant avait disparus. Elle hurla criant pourquoi et qu’est ce qu’il lui avait fait. Il ne répondit pas à ses questions. Il pointait son arme vers elle et était près à faire feu. Le visage de léna était en larme. Elle se redressa sur les genoux et observa son bourreau. Il était désolé lui expliqua t’il mais si elle était venu jusqu’ici c’est parce qu’elle avait été manipulé. Il ne pouvais pas prendre le risque de la laisser en vie. Il ferma les yeux et tira. Léna ne sentit rien. Même quand son corps s’écrasa en arrière sur le sol. Elle était étendu face au ciel. Plus de bruit autour d’elle. Etais-ce la plénitude de la mort. Jons et Trevis s’observèrent. Il fallait qu’ils partent tout de suite. La personne qui leur avait envoyer cette assassin avait échouer mais ne s’arrêterais sûrement pas là. Il jetèrent un coup d’œil à la jeune fille. Qu’elle gâchis pensèrent t’il. Mais ce qu’il virent les inquiétèrent et ils se jetèrent un regard stresser. Le corps de la jeune fille ne touchait plus le sol. Il se tenait à environs cinq centimètres de ce dernier. Le trou béant fait par l’impact de l’arme avait disparus. Elle se redressa soudainement et se posa sur le sol. Léna se réveilla comme d’un coma. Au fond d’elle elle entendis un bip qui dura cinq secondes et soudain une colère l’envahis sans qu’elle ne puisse rien y faire. Elle était à la fois acteur et spectatrice de ses actes. Une énergie nouvelle coulait dans ses veines. Tout son potentiel physique semblait décupler. Elle avait l’impression qu’elle était capable de soulever une montagne. Dans un déplacement extraordinairement rapide elle attrapa Trevis et le projeta à plus de dix mètres en arrière. Spiche profita qu’elle avait le dos tourner et la frappa des deux mains sur la nuque. Un bruit de craquement d’os se fit entendre. Pourtant la jeune fille ne s’écroula pas. Se retournant, elle redressa sa tête qui avait pris un étrangle angle et arracha le câble du précieux sérum. Jones hurla de douleur. Elle le cribla d’impact de coup de poing qui lui provoqua d’étrange déformation dans son dos. Elle était en train de lui broyer tout les os de la poitrine. Puis elle fît un bond et lui rentra d’un coup des deux mains la tête dans la nuque. L’homme s’écroula terrasser. Elle entendis un déclic d’arme. Elle fonça vers Trevis qui vida son chargeur sur elle. Sa vitesse était tel qu’elle créa un sillon dans le sol. Elle évita les projectiles de plusieurs revers de la mains les envoyant s’exploser sur les parois rocheuse. Elle s’arrêta net attrapant au même instant son ennemi à la gorge. Malgré sa taille, elle le décolla d’un seul bras du sol puis fît un bon d’une trentaine de mètres dans les airs tenant toujours sa proie. La colère augmentait encore et elle voulais arrêter de faire du mal mais elle n’y arriva pas. Elle flottait maintenant dans le ciel sans ce soucier de la gravité. Son poing gauche s’électrisa créant des gerbes d’étincelles et il fallu tout sa concentration pour ne pas le frapper. Elle le lâcha simplement. Il s’écrasa dans un long cris strident en plein centre de l’abris. Doucement elle regagna le sol et observa ses deux mains. Que c’était il passer ? D’où lui venais cette terrible puissance qu’elle sentait encore grandissante et pourquoi cette colère ? Qui la manipuler et qui était elle ? Soudain une douleur d’une seconde la frappa et elle s’écroula sur le sol inconsciente.
Deux personnages approchèrent et observèrent les résultats. Il y avait Dix et un étrange personnage encapuchonné. Dix sortis un appareil de sa poche et transforma l’image qui le camouflé. Il était en réalité un seigneur PSY de la planète Terrania.
La démonstration de sa puissance est impressionnante dit l’énigmatique personnage. Mais serons nous la contrôler ?
Ne vous inquiétez pas pour cela, nous l’avons créer et nous la contrôlerons…

Vraiment bien !

L'histoire est vraiment très intéressante, facile à lire. C'est clair, agréable...
Même s'il y a quelques "couacs" à certains endroits : rien de grave...
Il ne s'agit pas de fautes d'orthographe, non, sur ce point-là on voit que tu maîtrises. Mais certaines de tes phrases sont quelque peu rapides... Enfin, je suis maladroite ; je veux dire qu'elles sont parfois trop enchaînées, sans virgules ou trop longues. Mais bon c'est mon avis personnel
Certains temps ne correspondent pas et il y a des participes passés oubliés... Mais ces petits détails sont rares et ne gâchent en rien la lecture

Lle texte est superbe quoiqu'il en soit Bravo

P.S. :Je tenais juste à être la plus sincère possible, en espérant que tu ne le prennes pas mal

Bien au contraire, sa me fait plaisir d'avoir des personnes honnêtes justement....J'ai assez souffert de faux c**autour de moi....Enfin bref ceci n'est pas le sujet....

En tout cas si tu as le temps (ce n'est pas urgent! pourrais tu m'indiquer ce qui te dérange ou ce que tu changerais...)

Merci en tout cas...

Je lis ça (et tous les autres textes que j'ai pas lu) dès que je suis en vacances. C'est-à-dire demain :/

No problème...

Oulla ! Ta bue ? posté deux fois le même message !!!

Je pense que j'ai eu un problème de connexion quand j'ai validé le message....C'est bizarre ?????

Ah tant mieux alors

Eh bien écoute, j'apprécie ton texte, donc je vais accéder à ta requête... =)
Si tu veux je te poste ton texte avec mes remarques au fil du texte, okay ?

Enfin tu me dis, et à ce moment-là seulement je publierai

ok Malicia, il n'y a aucun problème...

Désolé, mais je ne peux pas faire tout ton texte, je dois partir
Donc je t'ai fait le début
Voici mes modifs, en rouge (et barrés) mes "corrections", en orange mes remarques, en rapport souvent avec les choses soulignées.

PARTIE 1:

« Sur Clavène, planète minière de type 4, les prospecteurs avaient installé leur campement aux abords immédiats de l’aire d’atterrissage, sans que les autorités essaient même d’y mettre de l’ordre. Léna s’arrêta au bas des échelons, se demandant si elle n’allait pas immédiatement rembarquer… » ( rembarquer? C'est pas embarquer? )

…Une fois de plus elle se posa cette même question qui la hantait maintenant depuis tant d’années. Aurait-elle enfin la paix une fois que tous les assassins de ses parents auront été éliminés ? Depuis ce jour tragique où son destin avait basculé dans une envie de vengeance sanglante, elle avait mis tout en œuvre pour parvenir à ses fins. C’est à dix ans qu’on l'avait placée dans un sanctuaire d’éveil, lieu sacré,(pas de virgule) gardé par des moines robots, qui avaient tenté de l’endoctriner vers une voie spirituelle pour la délivrer du mal qui la rongeait au plus profond de son être. Pourtant, malgré l’acharnement de ces machines, jamais elle n'avait pu oublier le jour où, caché dans une des gaines d’aération par son père, elle les avait vu, lui et sa mère, se faire lâchement assassiner par deux hommes dont leurs visages se gravèrent dans sa mémoire( Tu peux remplacer par : "dont les visages s'étaient gravés dans sa mémoire" OU "dont elle avait gardé les visages en mémoire.") Le premier ne lui était pas inconnu. Il se nommait Jack TREVIS et était un ami proche de sa famille, comme aimait le prononcer son père;(Nhésites pas à faire des phrases plus courtes ou avec une "pause", ça rend la lecture plus fluide) car pour lui l’amitié était une valeur d'une force puissante pour lui (par exemple) et il ne l’avait confiée (on confie un secret, mais l'amitié... "accordée" serait un terme plus adapté, par exemple) qu’à très peu de personne. Mais ce jour là, il avait été trompé. Le second se nommait Spiche JONES. Elle (attention, tu passes de "il" à "elle". N'hésites pas à réécrire son prénom, qu'on ne s'y perde pas trop) sut son nom bien plus tard.


Voilà, j'espère t'avoir aidé avec le peu que j'ai fait. Je suis loin d'être une pro', donc j'ignore si tout est bon.

Bisoux bonne continuation, n'hésites pas si t'as besoin

Ecoute grâce à toi je comprends pourquoi mon texte n'as pas était retenu....Franchement super bon travail, je suis impressionné....C'est clairement mieux quand quelqu'un peu travaillé dessus....

Je t'engage quand tu veux pour finir cette correction tu analyse vraiment bien, ton prix sera le mien lol

aucun pb je te ferai ça demain, enfin, tout à l'heure

bonne nuit ^^

Je penserais à lire ce texte pendant les vacances quand j'aurais un moment, ça a vraiment l'air prometteur.

Après des mois de recherches, elle eut accès à son dossier médical. Elle apprit que, lorsque, après une risque(une risque ? alors soit tu as rajouté un "e" alors que c'est "un" risque, soit tu connais un mot que j'ignore...? On sais jamais ), il séjourna deux semaines dans un avait été hospitalisé à Callen, planète voisine de Clavène, qui au contraire de contrairement à sa consœur qui était essentiellement une planète à haute densité de métaux précieux et d’instabilité sismique (ce qui l’avait place en type 4 sur l’échelle de Grinch qui ne comporte que sept échelons), était une planète entièrement vouée à la culture agricole.(Cette phrase est très longue, il y a beaucoup d'informations d'un coup, attention... Je n'ai pas osé trop te la couper, mais n'hésites pas à raccoucir tes phrases.) Réputée pour sa qualité, elle était la première ressource alimentaire de tout le système solaire. Le rapport indiquait que cette seconde personne n’était pas tout à fait humaine. Il Le patient avait visiblement subi plusieurs interventions qui avaient pour but de transformer son ADN. pour qu’il puisse Tout ça dans le seul but de lui permettre de résister à un rétro-virus alien de type Collienne capable de lui décupler sa masse musculaire et sa résistance physique de façon spectaculaire. Léna connaissait ce genre de procédé. Elle avait croisé plusieurs individus de ce genre dans le centre d’éveil, cherchant une rédemption à leur acte commis. Si le succès médical était garanti(e), la douleur infligé par le produit était psychiquement insupportable. De ce fait, ce produit était devenu clandestin, transformant ces proies en titans psychopathes. Elle le savait donc extrêmement dangereux mais connaissait aussi le système de dépendance qu’engendrait le produit. Sans cette substance, il perdrait vite ses moyens. Un petit sac fût jeté alors que l’échelle d’où elle était descendu de l’appareil se replier sur elle même. (relis cette phrase, moi je n'en ai pas saisi le sens ! Peut-être ça ? ->) Elle jeta un petit sac et l'échelle qu'elle avait utilisé pour descendre de l'appareil se replia sur elle-même. Elle observa quelques instants le Pélican, transporteur Terranien qui l’avait amené jusqu’ici, disparaître rapidement dans le ciel.

Je te mettrai la suite dans ce même post, en l'éditant, la prochaine fois.

risque est en fait rixe.....

Citation :

Un jeune garçon d’environs une vingtaine d’années

Je sais pas si malicia a corrigé ça (la flemme de regarder ), mais étant donné qu'il a 20 ans, vaudrait mieux dire "jeune homme", non?
T'as beaucoup de problèmes avec l'imparfait on dirait!
C'est dingue le nombre de fautes qu'il y a dans ce texte par rapport au premier chapitre de Cleemen!
A un moment tu cites le capitaine Coffield, y a un lien entre l'histoire des Cleemens et cette nouvelle alors. C'est quelque chose de complètement différent? Juste une piste que tu as exploré?

En fait quand je peux je pique des perso dans le livre que j'ai fait....Je trouve cela assez sympa...

Pour les fautes aucune excuse, car autant j'ai énormément travailler sur mon livre pour corriger les fautes, et j'en trouve toujours.....

Là c'était pour un concours et pour l'instant je n'ai toujours pas régler mon problème avec les concours......

Je veux pas faire de la psychologie à deux balles mais pour l'instant à chaque fois que je fais un concours extérieure, je n'arrive pas à écrire des semaines à l'avance. Rien, pas une idée....C'est seulement les derniers jours que tout me viens et de ce fait je ne corrige pas assez mes fautes.....
Je travaille énormément dessus pour arrêter de travailler dans l'urgence mais je n'ai pas encore résolu ce problème....
Je pense avoir peur de quelque chose mais quoi ???????
Car pourtant je sais que même si l'histoire est bien, les fautes sont une barrière infranchissable à l'acceptation du projet....
Voilà alors je ressort ce projet pour que l'on m'aide à le finir ....
sinon j'essaye de changer mais c'est dur dur....

(PS excusez moi si ma psychologie personnel vous ennuies.... mais sa fait du bien d'en parler...)

Je vois ce que tu veux dire Blaine...

Tu sais, dans ces cas-là, n'hésites pas à demander sur des forums, si des gens seraient partants pour te corriger tes textes !!! Tu sais, rien que moi, j'adore ça, car pour moi les fautes sont simplement une petite tache qui n'enlève rien à la qualité d'une histoire, à l'âme d'un texte... Cette petite imperfection se gomme, et c'est alors que le talent de l'auteur, qui était déjà présent, ressort encore plus dans chaque ligne rédigée, corrigée, embellie...

C'est pour ça que le seul conseil que j'ai à te donner c'est : ne paniques pas sur ces lacunes, ça ne sert à rien non plus de se prendre la tête dessus, ci ce n'est à les multiplier. Essaies simplement de demander de l'aide autour de toi; les gens qui corrigent les textes aiment faire ça, comme moi. Il te suffit de trouver quelqu'un qui a du temps à te consacrer, quelqu"un qui te corrige mais qui sache t'écouter, pour ne pas non plus changer ta "patte" d'écriture, ton style.

Et pour ce qui est de l'inspiration, je rencontre enfin quelqu'un comme moi : je n'écris bien qu'en état d'urgence !!! Lol. Comme pour toi, il m'est difficile d'être inspirée à l'avance, et ce n'est que très peu de temps avant le "jour J" que les mots me viennent comme une évidence... ^^

Je suis content de ne pas être seul, sa me fait plaisir.....

écoute en tout cas tes mots me touche, et je suivrais tes conseils...

Merci Beaucoup

Aucun problème

ps : oui je viens de comprendre -> rixe... c'est moi qui n'ai pas deviné le sens ^^ désolé

Ben moi c'est bien simple, j'y arrive pas du tout! lol C'est pour ça que je préfère ne pas participer aux concours.
M'enfin, t'en fais pas blaine, ta psychologie personnelle nous ennuie pas (ou en tout cas pas moi) ^^
Malicia, t'as qu'à devenir correcteur? Suffit que tu demandes.

Je ne savais pas qu'on pouvais ?

Je dois faire quoi au juste pour l'être ?

J'ai répondu au MP que tu m'as envoyé.