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 L'être de L'ombre

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Era
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MessageSujet: L'être de L'ombre   L'être de L'ombre Icon_minitimeJeu 10 Avr - 21:34

Prologue


La vie est faite de bizarrerie, d'évènement étrange, que l'on ne peut s'expliqué... se serait sans doute mentir, que de ne pas avoué avoir déjà vus un objet sur le bord de la cheminer, un objet que vous n'aviez pas sortie de la poussière de son placard depuis des année... Une photo qui bouge, un verre que vous pensiez avoir ranger... N'avez-vous donc jamais observé ces étranges phénomènes ? Ne vous vous êtes jamais dit que bizarrement la musique semblait s'éteindre ? Comme si une main invisible tournait le bouton off du son ? Avouez le, vous aussi ça vous est déjà arrivée ! Au début, vous vous dites que tous ça ne rime à rien, qu'il ne peut s'agir que de votre imagination... vous avez toujours eu beaucoup d'imagination... Ouais... ! Moi aussi je me disais ça au début. Puis peut à peut, tous devient plus étrange encore... Un soir, vous rentré dans votre chambre, celle-ci est d'ordinaire toujours en désordre... et puis miracle, plus d'habille sur le, lit, plus de livre plein le bureau...Tout est dans un ordre inhabituel. Mais il y a également les ports qui s'ouvrent tout seul d'elle-même... le second stade, c'est de rejeter la faute sur les autre, la chambre, c'est votre gentille petite maman, la porte, une vilaine blague du petit frère. Sauf que lorsque vous apprenez que vous n'avez pas de petit frère, et que votre mère ne met pas les pieds dans votre chambre, vous tomber des nues ! C'est ainsi que commence la troisième phase. Vous commencez à vous dire qu'il serait temps d'appelé les hommes en blanc... on devient fou ! À moins que se soit le monde qui nous entours qui soit fou ? Toutes sorte de questions vous passe par la tête. Vous vous imaginez toutes les explications possible... jusqu'au moment, où vous vous apercevez que tout à commencé avec une mystérieuse apparition... Vous ignorez ce que vous avez réellement vu, un drap blanc ? Une silhouette ? L'être humain est fait ainsi, lorsque la vérité s'offre à lui, il la refuse, et la nie... c'est ainsi qu'au début je ne pouvait pas croire à l'existence de ce spectre...
Les fantômes ?
Ça n'existe pas !!
Ne le niez pas, vous en êtes persuadez vous aussi. Et j'en suis certain, vous vous demandez comment on a put laissé un barjot comme moi en liberté... Sauf que lorsque vous aurez lut mon récit, vous ne considérerez plus rien comme acquis !


Chapitre 1 part. 1

Quand on est un adolescent de 15 ans, on trouve que la vie est injuste, que nos parents sont des monstres sans cœur et sans âme qui se fiche de savoir ce que l'on pense. Ne le niez pas, vous me mentiriez. Je sais ça parce que moi-même c'est-ce que je pense souvent, surtout lorsque mes parents ont prient la décision de déménagé dans un une toute petite ville perdus entre deux montagnes même pas enneigé. Y parait même que c'est un procédé normale du développement humain... mouais, si ils le disent. Mais sans rire, c'est vrais y n'empêche que les parents se fichent de se que l'on pense et ressent, si non mes parents m'auraient sans doute demandé mon avis avant de partir... peut être qu'ainsi ils auraient suent que moi je n'avais aucune envie de quitter Lyon, que je n'avais aucune envie, de partir loin de mes amis, de mon chez moi. Mais bon, qu'est-ce que ça peut faire ce que pense un ado face à des adultes ? Hum ?! Ouais vous dites rien, c'est bien ce que je pensais... dois je prendre ça pour un oui ? À vrais dire peut importe, là n'est pas le but de ma réflexion. Quand je pense à la première fois que je suis venue dans ce trou paumé, mais qu'est-ce que je foutais là bas ? La ville, les centres commerciales, les cybercafés, les magasins de jeux vidéos... les filles. Dans ma toute petite village, il n'y avait rien de tous cela. Bon bien sur, il y en avait des filles, mais c'était pas non plus le grand choix. Ce qui m'inquiétait le plus, c'était le silence, oui vous n'avez jamais entendu cette expression, qui dit que le bruit le plus bruyant est encore le silence ? Ma nouvelle maison pour accentué encore plus le silence était dans les hauteurs du village, enfin village... bon ok petite ville si vous y tenez, mais pour moi à coté de Lyon, ce trou n'était qu'un point. Les maisons étaient vielle comme je sais pas quoi et construites à la façon des montagnard, avec de l'ardoise sur le toits souvent. La mienne, qu'est-ce qu'elle était différente... je crois que ça a été le seul point positif que j'ai trouvé en arrivant. Elle était immense, j'vous jure, un vrais petit château. J'ai toujours adoré me perdre dans les châteaux... avec les douves, les caves s'étendant sur des kilomètre... une chose est sur, dans cette maison là, se serais simple d'y perdre ma soeur. Bon après réflexion, j'ai décidé qu'elle me manquerait un peut à la longue et j'ai abandonné l'idée rassuré vous. Mais bon à part la maison, qu'est-ce qui aurait put me réjouir ? Arrivé dans une école dont je connaissais rien ? Devoir à nouveau me faire des amis ? J'ai toujours eu du mal à me faire des amis... et cette fois si, personnes n'a rien fait pour me facilité la tache. Allez y essayé de vous faire des amis lorsque tous le monde pense que votre maison est hanté ! Dès mon premier jour au collège j'étais mis à l'écart. Dans la classe, les gens me fuyaient, dans la cour, il changeaient de banc, à la cantine, il changeait de table, dans le bus, il changeait de place...
- Oh c'est bon, j'ai pas la peste ! me suis-je mis à hurler dans le car.
- Assis toi petit, m'a fait le chauffeur.
Tous le monde c'est mis à rire. Pfff quels bouffons. Puis une fille est arrivé vers moi, j'avais plonger mon regard à l'extérieur pour oublié ma journée de merde. Je ne l'avais même pas vus arriver...
- Excuse-moi ?
Je n'ai pas répondu, le regard toujours dans le vague.
- Euh...
Je me suis tourné vers elle, regardant autour de moi si c'était bien à moi qu'elle parlait. À parement il n'y avait plus de place ailleurs.
- Je peux... ? m'a t-elle demandé en indiquant la place vide à mes cotés.
Elle était grande, belle, les cheveux brins lui tombant sur les épaules... elle avait des yeux vert transperçant... et elle me regardait moi. Bas didonc, cette fille était la première personne qui me parlait depuis le début de la journée, et elle était un ange tombé du ciel, une superbe jeune fille... j'étais en extase.
- Oui, bien... bien sur.
La fille m'a sourit, un grand sourire jusqu'aux oreilles, elle était tellement belle.
Les garçons de derrière sifflèrent.
- Waou Marie, tu te met à coté des bouseux maintenant !!
Elle s'appelait donc Marie...
Elle s'est retournée comme une furie, j'ai crus qu'elle lui arrachait la tête à l'autre pigeon. C'était flipant, et tellement marrant à la fois.
- On t'a d'mandé quelque chose à toi ? lui a-t-elle envoyé.
Le gars n'a pas sut quoi répondre, et c'est contenté de rester assis comme un con.
- Merci, ai-je fais.
- De rien. Ne t'inquiet pas, ils ont une grande gueule mais ne font pas mal, a-t-elle ajouté en me souriant. Qu'est-ce qu'elle était belle quand elle souriait...
- Je m'appelle Marie.
- Et moi c'est Damien.
- Enchanté de te rencontré Damien, m'a-t-elle fait en me serrant la main toujours un grand sourire aux lèvres. T'es nouveau dans le coin ? m'a-t-elle demandé.
- Euh, oui, je... j'habite dans la maison sur la colline.
- Ah, ok. Je comprends pourquoi tous le monde te fuis alors.
- Pourquoi ? ai-je demandé éberlué.
Elle s'est retourné vers moi et en voyant ma tête s'est cru obligé de me rassuré.
- Mince, fait pas cette tête, on dirait que t'a vus un fantôme.
- Qui c'est il en a peut être vus un, a répliqué une voix derrière nous.
- Pourquoi tu dis ça ? lui ai-je demandé mais le garçon qui avait parlé était déjà retourné à son bouquin.
- Oh, c'est juste des bruits qui cours, a répondu Marie. Mais ne t'inquiet pas, rien n'ai jamais venue vérifier les rumeurs, même si d'après Ben se serait vrais.
- Quel genre de rumeur ? ai-je questionné curieux.
- Il se dit dans la ville que ta maison serait hantée, et donc les gens ont peur de s'y approcher.
- Ah, ai-je fait. Mais, se ne sont que des rumeurs, alors pourquoi les gens y font attention ?
- Eh bien... c'est une bonne question. Tu devrais la posé à Ben, ce gars est une vrais bibliothèque à lui tous seul. Il connaît les archives de la ville par cœur, et son domaine favori est le surnaturel. Mais je dois te l'avoué, c'est un garçon un peut étrange.
- Pourquoi ?
- Eh bien son plus grand rêve, serait de croisé des fantômes, ou des extraterrestres, avoir un peut d'action dans sa vie quoi.
Je me suis mis à rire de bon cœur, elle, elle m'a regardé surprise.
- Désolé, ai-je dis. Mais tu vois, un peut d'action dans la vie, j'en rêve parfois aussi, me sortir de la routine de l'école...
- C'est vrais que j'aimerais bien moi aussi parfois, a-t-elle avoué en rougissant un peut.
Je lui ai souris, et elle a détournée la tête quelques instant.
- Et où puis je trouvé ce Ben ?
- Oh, Benjamin ? Tu veux allé le voir ? a-t-elle interrogée surprise.
- Eh bien, si ça peut me permettre d'en apprendre plus sur cette ville... puis au moins, je m'ennuierais pas en cherchant le passé de ma maison.
Elle m'a sourit, est-ce que j'ai déjà dit qu'elle était belle quand elle souriait en faite ?
- Tu fais quoi tous de suite ?
- Eh bien, mes parents ne rentre pas avant deux heur, et ma sœur est avec eux, alors je fais rien...
- Cool, suis moi alors.
Marie s'est levé et s'est avancé jusqu'à l'avant du car. Les portes se sont ouvertes, et nous nous sommes retrouvé dans un petit lotissement non loin de chez moi. En effet je pouvais voir la battisse de là où on était.
- Où va-t-on ? ai-je demandé.
- Aujourd'hui Benjamin était malade, il faut que je lui apporte ses devoirs. Comme ça, tu pourras lui poser tes questions.
- Ok.
Nous nous sommes avancé devant une porte blanche, Marie a tandis la main vers la sonnette, alors que je lui tenais un gros sac qui contenait les cours de Benjamin.
- Dit moi, vous faites rien que ça en une journée ? Bas didonc, je me demande bien ce que se sera d'ici un mois.
Marie a eu un rire.
- Non en faite Benjamin est absent depuis une semaine déjà, et vus que personne ne souhaitait lui amené ses devoirs, je me suis dit que j'allais le faire.
- Ah ok, bas je me sens moins seul alors si je suis pas le seul exclus.
Cette filles était si étrange, d'habitude, lorsque les filles sont belle, elles se fichent bien des autres, elles ne pensent qu'à leur maquillage, mais Marie, elle elle était différente, elle se préoccupait des autres.
Un garçon est venu ouvrir la porte, il avait les cheveux en bataille, les yeux hagard comme si il était rester bien trop longtemps éveillé.
- Coucou, a fait Marie.
- Lut, a répondu le garçon en les laissant entrer.
Il faisait chaud dans cette maison... c'est la première chose qui me vint à l'esprit, la chaleur excessif. Après, ça a été la poussière, je me suis mis à éternué, puis lorsque enfin ça c'est calmé j'ai regarder un peut plus profondément les lieux. Mais déjà deux choses m'était apparus comme une évidence. Ou c'était la chaleur qui avait rendu Benjamin malade, ou ça avait été la poussière. Il y avait tout dans ce lieux qui aurait put le rendre malade. Ce qui m'a choqué après ça, c'est le manque de photo. Oui je sais, c'est absurde, mais Benjamin nous avait fait passé par le halle, la salle à manger, pour arrivé dans le salon, et à aucun moment je n'ais vu une seul photographie. Pourtant les gens normaux se prennent en photo, pour le souvenir, pour immortalisé le moment. Sauf que chez Benjamin tous ça n'existait pas. Marie avait raison, Benjamin était un garçon étrange...
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MessageSujet: Re: L'être de L'ombre   L'être de L'ombre Icon_minitimeSam 12 Avr - 21:48

je te le corrige demain!
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MessageSujet: Re: L'être de L'ombre   L'être de L'ombre Icon_minitimeSam 12 Avr - 21:51

oki merci !!!
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MessageSujet: Re: L'être de L'ombre   L'être de L'ombre Icon_minitimeDim 13 Avr - 15:43

Prologue


La vie est faite de bizarreries, d'évènements étranges, que l'on ne peut s'expliquer... ce serait sans doute mentir, que de ne pas avouer avoir déjà vu un objet sur le bord de la cheminée, un objet que vous n'aviez pas sortit de la poussière de son placard depuis des années... Une photo qui bouge, un verre que vous pensiez avoir rangé... N'avez-vous donc jamais observé ces étranges phénomènes ? Ne vous êtes vous jamais dit que bizarrement la musique semblait s'éteindre ? Comme si une main invisible tournait le bouton off du son ? Avouez le, vous aussi ça vous est déjà arrivé ! Au début, vous vous dites que tous ça ne rime à rien, qu'il ne peut s'agir que de votre imagination... vous avez toujours eu beaucoup d'imagination... Ouais... ! Moi aussi je me disais ça au début. Puis peu à peu, tout devient plus étrange encore... Un soir, vous rentrez dans votre chambre, celle-ci est d'ordinaire toujours en désordre... et puis miracle, plus d'habits sur le, lit, plus de livres plein le bureau...Tout est dans un ordre inhabituel. Mais il y a également les portes qui s'ouvrent toutes seules d'elles-mêmes... le second stade, c'est de rejeter la faute sur les autre, la chambre, c'est votre gentille petite maman, la porte, une vilaine blague du petit frère. Sauf que lorsque vous apprenez que vous n'avez pas de petit frère, et que votre mère ne met pas les pieds dans votre chambre, vous tomber des nues ! C'est ainsi que commence la troisième phase. Vous commencez à vous dire qu'il serait temps d'appeler les hommes en blanc... on devient fou ! À moins que se soit le monde qui nous entoure qui soit fou ? Toutes sortes de questions vous passent par la tête. Vous vous imaginez toutes les explications possibles... jusqu'au moment, où vous vous apercevez que tout a commencé avec une mystérieuse apparition... Vous ignorez ce que vous avez réellement vu, un drap blanc ? Une silhouette ? L'être humain est fait ainsi, lorsque la vérité s'offre à lui, il la refuse, et la nie... c'est ainsi qu'au début je ne pouvait pas croire à l'existence de ce spectre...
Les fantômes ?
Ça n'existe pas !!
Ne le niez pas, vous en êtes persuadé vous aussi. Et j'en suis certain, vous vous demandez comment on a pu laisser un barjot comme moi en liberté... Sauf que lorsque vous aurez lu mon récit, vous ne considérerez plus rien comme acquis !


Chapitre 1 part. 1

Quand on est un adolescent de 15 ans, on trouve que la vie est injuste, que nos parents sont des monstres sans cœur et sans âme qui se fichent de savoir ce que l'on pense. Ne le niez pas, vous me mentiriez. Je sais ça parce que moi-même c'est-ce que je pense souvent, surtout lorsque mes parents ont pris la décision de déménager dans une toute petite ville perdue entre deux montagnes même pas enneigées. Y parait même que c'est un procédé normal du développement humain... mouais, si ils le disent. Mais sans rire, c'est vrai y n'empêche que les parents se fichent de se que l'on pense et ressent, sinon mes parents m'auraient sans doute demandé mon avis avant de partir... peut être qu'ainsi ils auraient sus que moi je n'avais aucune envie de quitter Lyon, que je n'avais aucune envie, de partir loin de mes amis, de mon chez moi. Mais bon, qu'est-ce que ça peut faire ce que pense un ado face à des adultes ? Hum ?! Ouais vous dites rien, c'est bien ce que je pensais... dois je prendre ça pour un oui ? À vrai dire peut importe, là n'est pas le but de ma réflexion. Quand je pense à la première fois que je suis venu dans ce trou paumé, mais qu'est-ce que je foutais là-bas ? La ville, les centres commerciaux, les cybercafés, les magasins de jeux vidéos... les filles. Dans mon tout petit village, il n'y avait rien de tout cela. Bon bien sûr, il y en avait des filles, mais c'était pas non plus le grand choix. Ce qui m'inquiétait le plus, c'était le silence, oui vous n'avez jamais entendu cette expression, qui dit que le bruit le plus bruyant est encore le silence ? Ma nouvelle maison pour accentuer encore plus le silence était dans les hauteurs du village, enfin village... bon ok petite ville si vous y tenez, mais pour moi à coté de Lyon, ce trou n'était qu'un point. Les maisons étaient vielles comme je sais pas quoi et construites à la façon des montagnards, avec de l'ardoise sur le toit souvent. La mienne, qu'est-ce qu'elle était différente... je crois que ça a été le seul point positif que j'ai trouvé en arrivant. Elle était immense, j'vous jure, un vrai petit château. J'ai toujours adoré me perdre dans les châteaux... avec les douves, les caves s'étendant sur des kilomètres... une chose est sûre, dans cette maison là, ce serait simple d'y perdre ma soeur. Bon après réflexion, j'ai décidé qu'elle me manquerait un peu à la longue et j'ai abandonné l'idée rassurez vous. Mais bon à part la maison, qu'est-ce qui aurait pu me réjouir ? Arriver dans une école dont je connaissais rien ? Devoir à nouveau me faire des amis ? J'ai toujours eu du mal à me faire des amis... et cette fois-ci, personne n'a rien fait pour me faciliter la tâche. Allez-y essayez de vous faire des amis lorsque tout le monde pense que votre maison est hantée ! Dès mon premier jour au collège j'étais mis à l'écart. Dans la classe, les gens me fuyaient, dans la cour, ils changeaient de banc, à la cantine, ils changeait de table, dans le bus, il changeait de place...
- Oh c'est bon, j'ai pas la peste ! me suis-je mis à hurler dans le car.
- Assieds-toi petit, m'a fait le chauffeur.
Tout le monde c'est mis à rire. Pfff quels bouffons. Puis une fille est arrivée vers moi, j'avais plongé mon regard à l'extérieur pour oublier ma journée de merde. Je ne l'avais même pas vu arriver...
- Excuse-moi ?
Je n'ai pas répondu, le regard toujours dans le vague.
- Euh...
Je me suis tourné vers elle, regardant autour de moi si c'était bien à moi qu'elle parlait. Apparemment il n'y avait plus de place ailleurs.
- Je peux... ? m'a t-elle demandé en indiquant la place vide à mes cotés.
Elle était grande, belle, les cheveux brins lui tombant sur les épaules... elle avait des yeux verts transperçant... et elle me regardait moi. Bah dis donc, cette fille était la première personne qui me parlait depuis le début de la journée, et elle était un ange tombé du ciel, une superbe jeune fille... j'étais en extase.
- Oui, bien... bien sûr.
La fille m'a sourit, un grand sourire jusqu'aux oreilles, elle était tellement belle.
Les garçons de derrière sifflèrent.
- Waouh Marie, tu te mets à coté des bouseux maintenant !!
Elle s'appelait donc Marie...
Elle s'est retournée comme une furie, j'ai crus qu'elle lui arrachait la tête à l'autre pigeon. C'était flippant, et tellement marrant à la fois.
- On t'a d'mandé quelque chose à toi ? lui a-t-elle envoyé.
Le gars n'a pas su quoi répondre, et c'est contenté de rester assis comme un con.
- Merci, ai-je fais.
- De rien. Ne t'inquiètes pas, ils ont une grande gueule mais ne font pas mal, a-t-elle ajouté en me souriant. Qu'est-ce qu'elle était belle quand elle souriait...
- Je m'appelle Marie.
- Et moi c'est Damien.
- Enchantée de te rencontrer Damien, m'a-t-elle fait en me serrant la main toujours un grand sourire aux lèvres. T'es nouveau dans le coin ? m'a-t-elle demandé.
- Euh, oui, je... j'habite dans la maison sur la colline.
- Ah, ok. Je comprends pourquoi tout le monde te fuit alors.
- Pourquoi ? ai-je demandé éberlué.
Elle s'est retourné vers moi et en voyant ma tête s'est crue obligée de me rassurer.
- Mince, fait pas cette tête, on dirait que t'a vus un fantôme.
- Qui sait il en a peut être vu un, a répliqué une voix derrière nous.
- Pourquoi tu dis ça ? lui ai-je demandé mais le garçon qui avait parlé était déjà retourné à son bouquin.
- Oh, c'est juste des bruits qui courent, a répondu Marie. Mais ne t'inquiètes pas, rien n'est jamais venu vérifier les rumeurs, même si d'après Ben se serait vrai.
- Quel genre de rumeurs? ai-je questionné curieux.
- Il se dit dans la ville que ta maison serait hantée, et donc les gens ont peur d’en approcher.
- Ah, ai-je fait. Mais, se ne sont que des rumeurs, alors pourquoi les gens y font attention ?
- Eh bien... c'est une bonne question. Tu devrais la poser à Ben, ce gars est une vraie bibliothèque à lui tout seul. Il connaît les archives de la ville par cœur, et son domaine favori est le surnaturel. Mais je dois te l'avouer, c'est un garçon un peu étrange.
- Pourquoi ?
- Eh bien son plus grand rêve, serait de croiser des fantômes, ou des extraterrestres, avoir un peu d'action dans sa vie quoi.
Je me suis mis à rire de bon cœur, elle, elle m'a regardé surprise.
- Désolé, ai-je dis. Mais tu vois, un peu d'action dans la vie, j'en rêve parfois aussi, me sortir de la routine de l'école...
- C'est vrai que j'aimerais bien moi aussi parfois, a-t-elle avoué en rougissant un peu.
Je lui ai souris, et elle a détourné la tête quelques instants.
- Et où puis-je trouver ce Ben ?
- Oh, Benjamin ? Tu veux aller le voir ? m’a-t-elle interrogé surprise.
- Eh bien, si ça peut me permettre d'en apprendre plus sur cette ville... puis au moins, je m'ennuierais pas en cherchant le passé de ma maison.
Elle m'a sourit, est-ce que j'ai déjà dit qu'elle était belle quand elle souriait en fait ?
- Tu fais quoi tout de suite ?
- Eh bien, mes parents ne rentrent pas avant deux heures, et ma sœur est avec eux, alors je fais rien...
- Cool, suis moi alors.
Marie s'est levée et s'est avancée jusqu'à l'avant du car. Les portes se sont ouvertes, et nous nous sommes retrouvés dans un petit lotissement non loin de chez moi. En effet je pouvais voir la battisse de là où on était.
- Où va-t-on ? ai-je demandé.
- Aujourd'hui Benjamin était malade, il faut que je lui apporte ses devoirs. Comme ça, tu pourras lui poser tes questions.
- Ok.
Nous nous sommes avancés devant une porte blanche, Marie a tendu la main vers la sonnette, alors que je lui tenais un gros sac qui contenait les cours de Benjamin.
- Dis-moi, vous faites rien que ça en une journée ? Bah dis donc, je me demande bien ce que se sera d'ici un mois.
Marie a eu un rire.
- Non en fait Benjamin est absent depuis une semaine déjà, et vu que personne ne souhaitait lui amener ses devoirs, je me suis dit que j'allais le faire.
- Ah ok, bah je me sens moins seul alors si je suis pas le seul exclu.
Cette fille était si étrange, d'habitude, lorsque les filles sont belles, elles se fichent bien des autres, elles ne pensent qu'à leur maquillage, mais Marie, elle,elle était différente, elle se préoccupait des autres.
Un garçon est venu ouvrir la porte, il avait les cheveux en bataille, les yeux hagards comme si il était resté bien trop longtemps éveillé.
- Coucou, a fait Marie.
- Lut, a répondu le garçon en nous laissant entrer.
Il faisait chaud dans cette maison... c'est la première chose qui me vint à l'esprit, la chaleur excessive. Après, ça a été la poussière, je me suis mis à éternuer, puis lorsque enfin ça s'est calmé j'ai regardé un peu plus profondément les lieux. Mais déjà deux choses m'étaient apparues comme une évidence. Ou c'était la chaleur qui avait rendu Benjamin malade, ou ça avait été la poussière. Tout dans ce lieu aurait pu le rendre malade. Ce qui m'a choqué après ça, c'est le manque de photo. Oui je sais, c'est absurde, mais Benjamin nous avait fait passer par le hall, la salle à manger, pour arriver dans le salon, et à aucun moment je n'ai vu une seule photographie. Pourtant les gens normaux se prennent en photo, pour le souvenir, pour immortaliser le moment. Sauf que chez Benjamin tout ça n'existait pas. Marie avait raison, Benjamin était un garçon étrange...


Attention Era !
On écrit vrai et pas vrais
Tout le monde et pas tous le monde
Et puis aussi peu quand c’est une quantité et pas peu !
Voili voilou
Bonne journée !
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MessageSujet: Re: L'être de L'ombre   L'être de L'ombre Icon_minitimeDim 13 Avr - 15:47

Citation :
Et puis aussi peu quand c’est une quantité et pas peu !

^^ ta écrit la même chose Very Happy

le pire c'est que tu me l'avais dit, mais j'ai pas encore assimilé. je fait plus attention, mais c'est pas encore un automatisme.

en tous cas merci.
je m'éttrais la suite tout à l'heure, si une personne pourrais me la corriger, pas forcément toi si tu n'as pas le temps, se serais cool.
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MessageSujet: Re: L'être de L'ombre   L'être de L'ombre Icon_minitimeDim 13 Avr - 20:18

suite du chapitre 1 :


- Tu vas bien ? lui a demandé Marie.
- Mouais, a répondu Benjamin.
- Excuse moi, intervint je, mais tu n'en as pas l'aire..., on dirais que tu n'as pas dormis depuis des jours.
Benjamin a ouvert des yeux rond en me regardant, on aurait dit qu'avant que je ne parle il n'avait pas remarqué ma présence.
- Euh..., a-t-il fait.
- Ben, je te présente Damien, c'est un nouveau qui viens juste d'emménager...
- Dans le vieux Manoir, a terminé Benjamin. Devant notre aire surprit il a ajouté, les nouvelles vont vite, c'est une petite ville.
Ni Marie ni moi n'avons répliqué, Marie c'est approché de la table de salon et a regardé quelques plan pausé en vrac.
- Qu'est-ce que tu faisais ? a-t-elle demandé.
- Rien, a répondu Benjamin en se précipitant pour ranger les feuilles en tas et placé discrètement (enfin pas tant que ça vus que je l'ais remarqué) des feuilles en dessous.
Marie a été un peut choquer par se comportement, puis dans un geste m'a prit le sac de cour des mains.
- Tiens, a-t-elle fait en tendant ses cours à Benjamin avec brusqueries.
Benjamin les a fait tenir tant bien que mal en équilibre puis les a posé sur un coins de table.
- Tu as des exos de maths à faire, et y a un DM pour la semaine prochaine, je t'ais mis la feuille, a-t-elle fait en croisant les bras.
- Cool, a répondu Benjamin.
- Ah oui, puis y a Emillie qui demande quand est-ce que tu reviens en cour, elle veux te parler de je sais pas quoi, un projet de filme ou j'en sais rien.
- Ah, a-t-il répliqué gêné. Je, disons que je sais pas quand est-ce que je reviendrais. Mais ne lui dit pas ça, dit lui, que... que je suis contagieux, que j'ai-je sais pas quoi moi...
- Tu ne veux pas voir cette Emilie ? ai-je interrogé.
- Disons qu'elle me harcèle pour que je l'aide à réalisé un projet cinématographique sur les Nymphes, sauf que tu vois, elle me demande ça seulement pour être un peut avec moi, et moi, bas j'en ais pas très envie... surtout que j'ai plein d'autre truc à faire en ce moment.
- Des trucs comme quoi ? a demandé Marie. Certaine personnes disent que tu prépare un coup, dois t'on les croire ? a-t-elle fait en haussant les sourcils.
- Tu fais bien comme tu l'entends, a répondu simplement Benjamin.
Marie a croisé les bras en nous regardant, un peut énervé.
- Au fait, Damien veux te demander un truc.
- Euh oui, me suis-je précipiter. Je... je voulais juste savoir si, si tu pouvais me renseigné sur ma maison, Marie m'a dit que tu en connaissait un rayon sur cette ville et son histoire...
- Qu'est ce que tu veux savoir, exactement ? a questionné Benjamin. Les anciens propriétaires ? les histoires de familles, les divorces ?
- Euh, je veux juste savoir pourquoi les gens disent que le manoir est hanté. Benjamin eu un sourire mystérieux.
- Tu veux donc connaître le mystère du manoir sur la colline, intéressant... viens me rejoindre demain à 18h à la bibliothèque.
18h ? Ok, mais la grande question était, est ce que j'allais pouvoir tenir jusqu'alors ? Et ça c'était moins sur. Vous ne pouvez même pas imaginez à quel point j'étais impatient. Tout en moi vibrait, s'échauffait, il m'était impossible de me concentrer sur le cours de mes profs, l'excitation était elle que j'avais envie de sauter sur la table... oui je sais, je suis un peut fous, on me le dit souvent, mais sans un grain de folie, que serait la vie... ?
Assis sur ma chaise, face à monsieur Terrabat, je me dandinais sur ma chaise, avec impatience. Je repensais, à Marie, à Benjamin, à tout ce que les gens avait dit sur ma maison... étais ce vrais ? je l'ignorais, mais il n'en avait pas fallu plus pour attisé ma curiosité. Et le prof qui continuait à débiter son texte, mais ne se rendait il compte que j'en avais rien à faire ? Tout ce que j'attendais, c'était la sonnerie, cette sonnerie qui n'arrivait pas... c'est étrange, mais lorsqu'on a le plus envie que la fin de l'heure arrive c'est à se moment là que le temps nous semble le plus long. Mais franchement à coté des histoires de fantôme, qu'est ce que c'était un cour d'histoire ? C'est seulement une éternité plus tard que la sonnerie a retenti, bon ok dix minutes plus tard, mais ça m'a semblé être une éternité, je vous assure. A peine, est ce qu'elle avait retentie, que je me suis élancé vers le bus, bon j'aurais pus prendre mon temps, il a mis bien dix minutes avant de partir. C'était 17h 40, je me suis retourné, vers un garçon qui était assis derrière moi, et lui ais demandé :
- Excuse moi ?
Le garçon a fait un bon d'au moins un mètre. Il ne manquait plus que ça, j'lui avais fichu la trouille.
- Oui ? a-t-il demandé en baissant un peut la tête.
- Je... euh... tu peut me dire quel est l'arrêt pour la bibliothèque ? s'il te plait.
- C'est le deuxième arrêt, tu peut pas le loupé, il est juste en face du bâtiment de l'ancienne clinique psychiatrique.
- Clinique psychiatrique ?! me suis-je exclamé. géniale pensais je, en plus de ça, j'habite près d'une ancienne maison de fous. Qu'est ce que c'est que cette ville ?un quartier clos pour les malades mentaux ?
Le garçon ma regardé de travers, et je sus qu'il ne fallait pas insister. Je me suis retourné et j'ai attendu avec impatience que le deuxième arrêt survienne.

17h50,
J'étais en avance, et j'en ais profité pour visité un peut les lieux. Je n'avais pas vus beaucoup de bibliothèque dans ma vie, il faut dire que je n'ais jamais beaucoup aimer les bibliothèques. Mais celle-ci, elle était gigantesque, si si j'vous jure, elle était immense, avec de grandes étagères qui ornait les lieux. Mais en même temps, comme je vous l'ais dis, je ne suis pas allé souvent dans les biblis. Il y avait des milliers de livres, sur l'histoire, les sciences, et bizarrement, très peut sur la littérature d'aujourd'hui. Comme si il n'y avait pas d'enfant pour lire la littérature d'aujourd'hui, avec le fantastique, la fantasy, et tous les genres qui s'y accordent. Où pouvais-je bien être ? dans la quatrième dimension ? J'ai finit, par m'accoudé à une table, redressant la tête à chaque bruit, pour voir si Benjamin n'arrivait pas. Mais il n'y avait personne, j'étais seul.
- Qu'est ce que tu fais ici ? m'a alors demandé Marie, dix minutes plus tard.
- Je..., j'attend Benjamin.
- Ah, mais t'aurais du allé dans son entre, je sais qu'il est là depuis ce matin.
- J'ignorais, qu'il avait une entre.
- Ah ok, bas viens. Aujourd'hui Marie, était aussi belle que la veille, qu'est ce qu'elle avait de la classe
cette fille.
- Qu'est ce que tu fais là enfaite toi ?
- Bas comme hier, j'ai les cours de Benji, a-t-elle répondu. Puis ça m'intéresse aussi ton histoire de fantôme.
Elle m'a sourit, j'en ais fait autant. Puis elle m'a emmené vers une salle, loin, très loin en retrait.
- Où on est ?
- Dans la salle des archives, c'est le coin le plus poussiéreux et le plus mystérieux de cette bibliothèque.
Lorsqu'on est arrivé, Benjamin était assis à une table, penché sur un gros recueil en effet très poussiéreux.
- Salut, nous a fait Benjamin, qui paraissait plus réveillé que la veille.
- Salut, lui ai-je répondu. On s'est serré la main, puis je me suis assis en face de lui.
- Alors tu as ce que je t'ais demandé s'il te plait ?
- Bien sur que je l'ais, a-t-il répliqué en souriant.
- Cool, a fait Marie, et euh... je peut rester ? je t'ais amené tes cours, a-t-elle ajouté en souriant. Benjamin
a acquiescé, et Marie a prit place à mes cotés.
- L'histoire commence, il y a des siècle, lorsque le manoir des Guerar était encore un monastère.
- Ma maison à été un monastère ? ai-je fait, en relevant les yeux.
- Oui, mais il y a longtemps, a continué Benjamin. Malheureusement, avec le temps, la maison a dut être
vendu, problème d'argent raconte le bouche à oreilles. Mais les journaux de l'époque, racontent tous la
même chose, des évènements étranges se seraient dérouler. En effet, le monastère aurait brûlé une nuit
d'orage. Mais le plus étrange, c'est la mort d'un des moines.
- Comment est il mort ? a questionné Marie.
- Il est mort de peur. La légende raconte, qu'il avait crut voir, un fantôme.
- Eh, le fantôme de qui ? Marie Madeleine ? lui ai-je lancé en rigolant.
- Ah ah, c'était marrant. Non, il aurait vus des choses bougé dans quelque partie de la maison, des bruits,
des murmures... personnes n'a jamais pu le prouver, lui seul les aurait vu, les journaux de l'époque, l'on
même soupçonné d'être le pyromane. Depuis ce jour, chaque propriétaire donne la même version, il disent
voir des choses bougé, puis finissent par mourir mystérieusement.
- Ouais allé, on arrête les conneries, lui ai-je dis en me levant, les mains sur la table. Ok, c'était marrant,
mais là on arrête les frais. Vous vous êtes bien foutu de ma gueule, c'était super drôle.
Trop c'était trop. Je l'avoue, j'ai vraiment crut qu'ils se fichaient de moi. Vous savez une sorte de bisutage pour bien rigolé de m'avoir fait marcher.
- Eh mais reviens, m'a lancé Marie.
- Damien, attend ?! a fait Benjamin.
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MessageSujet: Re: L'être de L'ombre   L'être de L'ombre Icon_minitimeDim 13 Avr - 20:19

suite

J'en avait marre, j'étais fatigué de supporté tout ça. Comme j'avais envie de rentré dans mon ancien collège, avec mes anciens amis, mon ancienne maison... au moins la bas on ne nous parlait pas de fantôme simplement pour nous faire peur ou nous foutre la honte. On était réglo les uns avec les autres. Bon en remontant chez moi, j'ai regretté d'avoir réagis pareillement, après tous, et si il ne c'étaient pas moqué de moi ? Puis il faut dire que c'est moi qui à la base avait demandé à Benjamin de me raconté l'histoire. J'lais eu ma réponse. Mais comme un con borné et réaliste, j'ai pas souhaité la croire. Et oui c'est toujours comme ça que l'on réagis, lorsque le paranormale arrive sur le tapis, on ne veux pas l'accepté et on nie. Je sais pas vous, mais moi je ne peut m'empêché de voir les choses de mes yeux pour les croire. Et même si ça me fait bien rire les histoires de fantômes je ni crois pas réellement. C'est vrais quoi, ok les choses dont on se souviens plus les avoirs déposer là ça arrive, c'est un oublie, une illusion. Mais les fantômes... faut pas non plus exagéré. En tout cas cette histoire me perturbait et j'ai décidé d'en touché un mot à mes parents le soir même au cour du dîné. Après tout, ils sauraient bien si cette maison avait réellement un passé trouble. Mouais, fin jamais rien ne se déroule comme je l'espère alors à coup sur il y aurait un problème.
On était assit à table et la femme de ménage venait de déposer le pat chaud. Ouais on avait une femme de ménage. À vrais dire mes parents étaient un peut riche, et disons qu'ils n'avaient pas toujours le temps de préparé un dîné convenable et même de s'occupé de la maison. Il faut dire qu'ils avaient un travaille assez prenant. En effet ils travaillent tous deux comme chercheurs dans une grosse boite diriger par le gouvernement. Mais ils faisaient toujours leurs maximum pour passé le plus de temps possible avec ma sœur et moi.
- Alors fiston, comment ça se passe à l'école ? m'a demandé mon père.
- Bas ça peut allé...
- Tu t'es fais des amis ?
- Euh... disons que pas vraiment non... la plus part des gens me fuis en faite... et voilà, je lui tendais la perche, et croisais les doigts pour qu'il l'attrape.
Il a relevé la tête de son assiette et a croisé le regard de ma mère. Et voilà, c'était gagner ! J'avais attisé sa curiosité.
- Pourquoi dont les gens te fuirait ? a demandé ma mère.
J'ai pris un aire dégager.
- Eh bien, à cause de certaine rumeurs qui circule autour de cette maison, ai-je fait en regardant autour de moi.
- Quel genre de rumeur ? a fait mon père.
Ma sœur elle, a continué à manger en silence, notre conversation ne semblant pas l'atteindre.
- Eh bien... certaine personnes sembleraient penser qu'elle serait hanté.
Quand je pense à la réaction générale, j'en suis encore troublé. Je peut vous dire une chose, c'est qu'elle ne s'est pas fait attendre. Les couverts sont tombés sur la table, et tous les regards se sont tourné vers moi. Y comprit celui de ma sœur, et de la bonne qui frappé par la surprise avait fait tomber un saladier en verre qui c'était brisé sous le choc.
- Qu'est-ce que tu veux dire ? Qu'il y a des fantômes dans la maison ? a demandé ma mère.
- Les fantômes, ça n'existe pas ! l'a interrompit mon père. Et tu devrais avoir honte de parler de sujet pareil devant ta sœur !
- Mais papa..., a répliqué Justine, ma sœur.
- C'est pas moi qui l'ais dis, me suis-je défendu. Se sont les faites ! Les gens n'osent pas pour la plus part s'approcher de cette maison.
- Plus un mot ! a hurlé mon père.
- Vas te laver les dents, puis après dans ta chambre ! a crié ma mère.
Bon et bien voilà la preuve que les scientifique sont complètement fermé ! Pff les parents alors... j'ai serré les poings pour ne pas leurs hurler dessus. Puis à contre cœur j'ai grimpé à l'étage direction, la salle de bain. Il ne faisait pas forcément chaud ce jour là, mais j'ai eu besoin d'une bonne douche glacé. Je n'arrivais pas à croire que mes parents avaient puent ne pas me prendre au sérieux, qu'ils aient été si encrée dans la réalité. Je m'étais pourtant contenté de leur relater les faits, leur dire pour les rumeurs bizarre qui circulaient... c'était rien ça encore.
Enfin terminé je me suis mis face au miroir et ais commencé à me brosser les dents, mais j'avais tellement chaud que j'ai dus entre ouvrir la porte de quelque centimètre. Je me suis brosser les dents, puis j'ai craché le dentifrice que ma bouche contenait, puis j'ai commencé à me rincer la bouche. En vérité je m'appétais à le faire, lorsque à travers le miroir j'ai aperçus quelque chose de plutôt étrange. Ça m'avait semblé apparaître de derrière la porte, passant dans le couloir. J'ai craché tous nette ce que j'avais dans la bouche, puis me retournais d'un coup. Je ne sais pas vraiment ce que j'ai vus, je pense que c'était qu'une simple illusion. Mais par précaution je suis tous de même sortie dehors, m'attendant à voir ma mère ou ma sœur, mais à gauche, là où était partie la personne, il n'y avait rien, nada. Bon je vous l'accorde il faisait sombre, mais il y avait assez de lumière pour pouvoir apercevoir quelqu'un tapis dans l'ombre. Est-ce que ça aurait été un fantôme que j'avais vu ? J'ai fait un signe de tête en signe de négation. C'était ridicule. Pourtant je dois avoué, que c'est un drap blanc que j'ai crus apercevoir, ou étais se simplement un habille, ou encore mon imagination... certainement la dernière option. Après tout ces dernières heures, j'avais beaucoup entendu parler de fantôme.
Une main s'est alors posé sur mon épaule...
- Arrgggg ! Le hurlement était sortie malgré moi. J'avais été tellement surpris que je n'avais pas put m'en empêcher. En réalité, je ne m'attendais pas du tous à ce que quelqu'un puisse me surprenne par l'arrière. Ai-je penser voir un fantôme ? Non. J'ai seulement été surprit; surprit...
- Arrggg ! a fait la personne.
Me retournant près à frappé à chacun des geste de mon agresseur, ma sœur et moi devant laquelle je me suis trouver poussèrent un nouveau cris. Comme deux cons on c'étaient fait peur l'un l'autre.
- T'es fous ou quoi ? Ça va pas bien de crier comme ça ! Tu m'a foutu la trouille imbécile !
- Excuse, mais j'étais dans mes pensés et tu m'as surprit.
- Ouais c'est ça, dis plutôt que ta flipper à mort ! J'ai crus que tu te pissais dessus.
Grrr qu'est-ce qu'elle me soulait elle encore...
- Qu'est-ce que tu fiche ici toi d'abord ?
- Je t'apportais juste ça, c'est tout, répondit elle en me tendant un gros dossier poussiéreux avec une lettre écrite à la va vite posé dessus.
- Qu'est-ce que c'est ?
- Qu'est que j'en sais moi, se sont tes amis qui te l'on apporter lorsque tu étais à la douche.
- Mes amis ?
- Ouais un garçon et une fille, plutôt mignonne d'ailleurs... qui c'est ? ta petite amie ?
- Non !! Juste une amie ! ai-je répliqué en faisant la grimace.
- Ouais c'est ça...
Puis elle s'est tourné, faisant quelque pas.
- En faite, m'a-t-elle fait en me regardant à nouveau. Pour tes histoires de fantômes ? Je... je voulais que tu saches que je te crois moi.
- Toi ? T'as que 12 ans, tu n'y comprend rien à tous ça !
- Pfff..., ouais fait comme tu veux. Mais se ne sera pas quand ils nous attaqueront qu'il faudra te réveiller !
- Ouais c'est ça, vas te coucher ! elle a fait la moue et s'est retourné. Justine ? Elle m'a refait face, me regardant. Tu sais je... si je te dis ça, c'est parce que je tiens à toi. Parce que les fantômes, tu dois savoir que ça n'existe pas.
- Ça c'est-ce que tu crois. Mais c'est faut, et lorsque tu t'en rendra compte, il sera trop tard. T'es aussi borné que les parents...
Puis elle est parti. Avait elle raison ? Étais je réellement borné ? Irrécupérable comme l'étaient mes parents ? Ça jamais ! Jamais je ne pourrais être aussi fermé que mes parents ! Non mais et puis quoi encore ?

chapitre 2 :

#- Arrgg ! mais qu'est c'est que ça ?! me suis-je exclamé en entrant dans ma chambre.
Ma chambre était un moitié inondé, c'est étrange, je vous l'avoue, mais c'était pourtant vrais j'avais les pieds qui baignaient dans l'eau. J'ai jeté le dossier de Benjamin que je tenais encore en main sur le bureau. Puis je suis descendu à l'étage inférieur pour me diriger vers la chambre de mes parents. Je m'apprêtais à frappé, mais lorsque j'ai entendu des voix, ma curiosité légendaire a prit le dessus. D'habitude, je n'écoutais pas aux portes, si si je vous assure !
- Tu crois que Damien pense réellement que des fantômes hantent la maison ? disait ma mère.
- Non tous de même pas, Damien est un garçon intelligent, il n'ais pas du genre à croire à ces absurdités.
- Oui peut être mais tu as entendus les rumeurs, tous comme nous.
- Tu l'as dis toi-même, se ne sont que des rumeurs voyons ! m'enfin, le principale c'est que Damien se soit fait des amis.
- Tu as raison, cette jeune fille qui est passé tout à l'heure, m'a semblé très sympathique.
- Je la verrais bien avec Damien.
Ma mère a eu un rire et a répondu :
- Se sera à Damien de décider. Mais en revanche, je l'ais trouver un peut étrange le garçon qui l'accompagnait...
Bon, j'en avais assez entendus, de quel droit jugeaient t-ils mes amis ? et puis moi et Marie, non mais et puis quoi encore ? ok elle était super sympa, je l'appréciais beaucoup, et elle était belle comme le soleil, mais tous de même... je l'a connaissais à peine en plus.
J'ai frappé à la porte, attendant une réponse.
- Oui ? s'est exclamé mon père.
- Euh... excusé moi, mais j'ai un petit problème dans ma chambre.
Mes parents se sont regardé un instant, puis je suis monter avec mon père.
- Damien, je... je voulais m'excuser pour tout à l'heure, m'a dit mon père sur le chemin. Je n'aurais pas du réagir ainsi tout à l'heure au dîné.
- Laisse tomber.
Ouais on en parlerait plus, ça il pouvait en être certain. Si un jour j'avais besoin de mentionné le mot fantôme devant quelqu'un, se ne serait en aucun cas devant mes parents. Ça jamais !
Il m'a fait la moue, puis on est entré dans la pièce.
Si je devais vous décrire les yeux que j'ai ouverts à ce moment là, je ne pourrais le faire. Alors s'il vous plait, ne me le demander pas. J'étais éberlué, sous le choc même !
- Bas c'est quoi le problème avec ta chambre ?
- Je... je ne comprend pas... c'est étrange...
- Qui a- t-il d'étrange ? m'a demandé mon père.
- Euh...
Étrangement, je me suis dit qu'il fallait mieux ne pas lui dire, ce qui avait de si bizarre dans cette situation. Pourquoi ? tous simplement parce que vus la réaction que mes parents avait eu lorsque je leur avait parler de fantôme, il ne fallait mieux pas leur dire de but en blanc, qu'il y avait eu une mystérieuse inondation dans ma chambre, et que celle-ci avait aussitôt disparut.
- Rien, oublie, ai-je fait. Je suis vraiment désoler de t'avoir déranger pour rien.
Mon père m'a regardé d'un œil bizarre, il devait se demandé, ce qui me prenais...
- Ce n'est pas grave fiston, allé bonne nuit. Il allait se retourner vers la porte, mais son regard s'est alors fixé sur mes pieds.
- Qu'est ce que tu as fait ? tu as marché dans l'eau ?
- Hein ? Pourquoi tu m'demande ça ?
Du doigts, il a désigné le bas de mon pantalon de pyjamas. Je sais pas ce qui se passait, mais c'était étrange, impossible, et même j'oserais le dire, très flippant. Vous n'allez certainement pas croire ce que je vais vous dire, mais tempi, au risque de passé pour un cinglé, je vais vous raconter les fait.
Mon pantalon, était mouillé.
Oui je sais vous allez me dire, pourtant il n'y avait plus d'eau dans la chambre, et moi aussi, sur le coup quand j'ai vus qu'il n'y avait plus rien j'ai crus que j'avais eu une hallucination. Sauf que à présent, je ne pouvais plus le nier. Mon pantalon humide en était la preuve, j'avais rien inventé, j'avais pas rêver.
- Bonne nuit, a fait mon père en fermant la porte derrière lui.
Quant à moi, j'étais toujours les yeux sur mes pieds, ne pouvant ciler, ni bouger. Pendant une fraction de seconde, je repensais aux fantômes, à l'histoire, abracadabrante de Benjamin. C'est alors que comme dans un flache, j'ai eu le souvenir du dossier et de la lettre. Jetant un regard sur le bureau je les cherchais des yeux. Ouais, sauf que ce soir là, je devais être maudit, parce qu'ils ne se trouvaient pas à la place où je les avais laissé. Mais qu'est ce qui se passait ? je devenais fous ou quoi ? un peut rageur, j'ai parcourus la pièce des yeux cherchant les documents. Je me suis figé, au moment même où mes yeux se sont posé dessus. J'ai regardé successivement, le bureau et mon lit sur le quel ils avait été déposé, mais je ne comprenais pas comment ils avaient puent atterrirent là bas. J'ai fermé les yeux quelque seconde, le temps de reprendre mes esprits, puis me suis précipiter sur mon lit, attrapant le dossier, pour m'attelé à la lecture de la feuille jointe.


« Salut Damien,
Je voulais que tu saches, que l'on comprenait parfaitement, Marie et moi que tu puisse refuser d'accepter ou de croire à l'histoire. Marie me dit de te dire qu'elle aurait fait la même chose à ta place. Sauf qu'à aucun moment, on a tenté de se fiche de toi.
Bon si il en avait tenue qu'à moi je serais jamais venue t'apporter ce dossier, mais Marie à insister pour que je l'accompagne, disant que tu avais le droit de savoir à quoi t'attendre.
Alors voilà.

Bon allé à plus tard.

Ps : on laisse nos numéraux au cas où...

Bye
Benji. »


N'empêche que je n'en revenais pas. J'avais insulter ces deux personnes et elles, elles étaient toujours là à me venir en aide si j'en avait besoin. En terme générale, c'est ce qu'on appelle des amis. J'ai soufflé un bon coup, avec l'envie indéniable de me frapper le crâne contre le mur. Qu'est ce qui m'avait bien prit de me cassé ainsi ? J'ai pris le dossier d'une main. Il était jaunis par le temps, et des mites en avaient grignoté les coins. J'ai entrepris d'ouvrir la pochette, avec énergie...
- Clac !
- Eh merde ! me suis-je exclamé lorsque le courant à sauter.
- Ne vous inquiétez pas ! a crié mon père de l'étage inférieur. Je vais allé remettre les plomb !
Je suis rester dans le noire, silencieux, attendant que le temps passe. Et c'est bien cinq minutes plus tard que j'ai de nouveau entendus mon père s'exclamé.
- Oh et puis zut ! j'appellerais l'électricien demain !
Eh voilà se ne serait pas ce soir que je pourrais lire ce mystérieux document. Je l'ai lancé aux pieds de ma table de nuit avec entrain.
- Fait chié !
Je perdais par forfait !
C'est avec un certain remord que je me suis coucher...
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MessageSujet: Re: L'être de L'ombre   L'être de L'ombre Icon_minitimeLun 14 Avr - 15:46

J'ai pas le temps aujourd'hui mais demain peut-être si quelqu'un d'autre veut le faire il peut!
ah oui c'est vrai Era j'ai noté deux fois la même chose alien
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MessageSujet: Re: L'être de L'ombre   L'être de L'ombre Icon_minitimeJeu 8 Mai - 20:23

les correcteur, est ce que quelqu'un pourrais me corriger la suite de l'être de l'ombre que soso n'a pas fait s'il vous plait ???
A parement Soso est plutôt occupé, donc je sais pas quand elle reviendra.
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MessageSujet: Re: L'être de L'ombre   L'être de L'ombre Icon_minitimeJeu 8 Mai - 22:12

- Tu vas bien ? lui a demandé Marie.
- Mouais, a répondu Benjamin.
- Excuse-moi, intervins-je, mais tu n'en as pas l'air... On dirait que tu n'as pas dormi depuis des jours.
Benjamin a ouvert des yeux ronds en me regardant, on aurait dit qu'avant que je ne parle il n'avait pas remarqué ma présence.
- Euh..., a-t-il fait.
- Ben, je te présente Damien, c'est un nouveau qui viens juste d'emménager...
-
Dans le vieux Manoir, a terminé Benjamin. Devant notre air surpris, il a ajouté: Les nouvelles vont vite, c'est une petite ville.
Ni Marie ni moi n'avons répliqué, Marie s'est approchée de la table du salon et a regardé quelques plans posés en vrac.
- Qu'est-ce que tu faisais ? a-t-elle demandé.
- Rien, a répondu Benjamin en se précipitant pour ranger les feuilles en tas et placer discrètement (enfin pas tant que ça vu que je l'ai remarqué) des feuilles en dessous.
Marie a été un peu choquée par ce comportement, puis dans un geste m'a prit le sac de cours des mains.
- Tiens, a-t-elle fait en tendant ses cours à Benjamin avec brusquerie.
Benjamin les a fait tenir tant bien que mal en équilibre puis les a posés sur un coin de table.
- Tu as des exos de maths à faire, et y a un DM pour la semaine prochaine. Je t'ai mis la feuille, a-t-elle fait en croisant les bras.
- Cool, a répondu Benjamin.
- Ah oui, puis y a Emilie qui demande quand est-ce que tu reviens en cour, elle veux te parler de je sais pas quoi, un projet de film ou j'en sais rien.
- Ah, a-t-il répliqué, gêné. Je... Disons que je sais pas quand est-ce que je reviendrais. Mais ne lui dis pas ça, dis-lui que... que je suis contagieux, que j'ai, je sais pas moi...
- Tu ne veux pas voir cette Emilie ? ai-je interrogé.
- Disons qu'elle me harcèle pour que je l'aide à réalisé un projet cinématographique sur les Nymphes, sauf que tu vois, elle me demande ça seulement pour être un peu avec moi, et moi, bah j'en ai pas très envie... Surtout que j'ai plein d'autres trucs à faire en ce moment.
- Des trucs comme quoi ? a demandé Marie. Certaines personnes disent que
tu prépares un coup, doit-on les croire ? a-t-elle fait en haussant les sourcils.
- Tu fais bien comme tu l'entends, a répondu simplement Benjamin.
Marie a croisé les bras en nous regardant, un peu énervée.
- Au fait, Damien veut te demander un truc.
- Euh oui, me suis-je précipité. Je... Je voulais juste savoir si... si tu pouvais me renseigner sur ma maison. Marie m'a dit que tu en connaissais
un rayon sur cette ville et son histoire...
- Qu'est-ce que tu veux savoir, exactement ? a questionné Benjamin. Les anciens propriétaires ? Les histoires de famille, les divorces ?
- Euh, je veux juste savoir pourquoi les gens disent que le manoir est hanté. Benjamin eut un sourire mystérieux.
- Tu veux donc connaître le mystère du manoir sur la colline. Intéressant... Viens me rejoindre demain à 18h à la bibliothèque.
18h ? Ok, mais la grande question était: est-ce que j'allais pouvoir tenir jusque là ? Et ça, c'était moins sûr. Vous ne pouvez même pas imaginer à quel point j'étais impatient. Tout en moi vibrait, s'échauffait ; il m'était impossible de me concentrer sur les cours de mes profs, l'excitation était telle que j'avais envie de sauter sur la table... Oui je sais, je suis un peu fou, on me le dit souvent, mais sans un grain de folie, que serait la vie... ?
Assis sur ma chaise, face à monsieur Terrabat, je me dandinais avec impatience. Je repensais à Marie, à Benjamin, à tout ce que les gens avaient dit sur ma maison... Etait-ce vrai ? Je l'ignorais, mais il n'en avait pas fallu plus pour attiser ma curiosité. Et le prof qui continuait à débiter son texte, mais ne se rendait-il compte que j'en avais rien à faire ? Tout ce que j'attendais, c'était la sonnerie, cette sonnerie qui n'arrivait pas... C'est étrange, mais lorsqu'on a le plus envie que la fin de l'heure arrive, c'est à ce moment-là que le temps nous semble le plus long. Mais franchement, à coté des histoires de fantômes, qu'est-ce que c'était un cours d'histoire ? C'est seulement une éternité plus tard que la sonnerie a retenti. Bon ok, dix minutes plus tard, mais ça m'a semblé être une éternité, je vous assure. A peine avait-elle retenti, que je me suis élancé vers le bus. Bon j'aurais pu prendre mon temps, il a mis bien dix minutes avant de partir. Il était 17h40,
je me suis retourné vers un garçon qui était assis derrière moi, et lui ai demandé :
- Excuse-moi ?
Le garçon a fait un bond d'au moins un mètre. Il ne manquait plus que ça, j'lui avais fichu la trouille.
- Oui ? a-t-il demandé en baissant un peu la tête.
- Je... euh... Tu peux me dire quel est l'arrêt pour la bibliothèque ? S'il te plaît.
- C'est le deuxième arrêt, tu peux pas le louper, il est juste en face du bâtiment de l'ancienne clinique psychiatrique.
- Clinique psychiatrique ?! me suis-je exclamé. Génial, pensais-je, en plus de ça, j'habite près d'une ancienne maison de fous. Qu'est-ce que c'est que cette ville ? Un quartier clos pour les malades mentaux ?
Le garçon m'a regardé de travers, et je sus qu'il ne fallait pas insister. Je me suis retourné et j'ai attendu avec impatience que le deuxième arrêt survienne.


Juste la première partie parce que la suite j'ai pas trop le temps. Au début t'as beaucoup utilisé le passé composé, je suis pas sûre que ce soit le meilleur temps à employer... Sinon tu utilises beaucoup de de "est-ce que", c'est pas terrible, essaie de l'utiliser que dans les dialogues ^^ (accessoirement, dans ces "est-ce que", t'oublies toujours les tirets, et aussi dans les propositions incises verbe sujet (ex: me suis-je))
Voili voilou, désolée de pas pouvoir faire plus!
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MessageSujet: Re: L'être de L'ombre   L'être de L'ombre Icon_minitimeVen 9 Mai - 19:04

Merci !!
bas c'est déjà ça Very Happy

Pourquoi pense tu que le passé composé n'est pas le temps approprié ? Suspect
C'est damien qui raconte donc c'est comme un journal intime.
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MessageSujet: Re: L'être de L'ombre   L'être de L'ombre Icon_minitimeVen 9 Mai - 21:51

Ben je sais pas, ça me fait bizarre... Neutral
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MessageSujet: Re: L'être de L'ombre   L'être de L'ombre Icon_minitimeVen 9 Mai - 21:56

Ah...
( par contre y a certain verbe qui ne son pas au passé composé qui devrais y être je crois... non ? enfaite je crois que j'ai oublié de mettre la version où j'ai corriger ça.)
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MessageSujet: Re: L'être de L'ombre   L'être de L'ombre Icon_minitimeSam 10 Mai - 18:00

Je crois oui, au départ t'as mis du passé composé, et vers la fin (de ce que j'ai corrigé), tu mets du passé simple. Enfin bon, c'est pas dramatique ^^
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MessageSujet: Re: L'être de L'ombre   L'être de L'ombre Icon_minitimeSam 10 Mai - 19:16

oui bas alors j'ai du oublié de changé en effet ^^ parce que au début j'arrivais pas a me faire au passé composé, puis lorsque j'ai demandé sur le forum on m'a dit que c'était pas possible de faire autrement avec le pronon je, donc j'ai tous changé ^^
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MessageSujet: Re: L'être de L'ombre   L'être de L'ombre Icon_minitime

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