Voici une autre poésie mais pas écrite en un seul coup , elle peut donc paraitre un peu pas assez unifiée
Il était là, posé sur la pelouse, inerte
Attendant que sa position soit découverte
Un cerf-volant on ne peut plus banal, caché
Par quatre buissons aux épines protectrices
Je suis passé de la réalité aux rêves, mon esprit figé voulait s'évader , emporte moi
Soudain il a déployé ses ailes de pluie
Et plongeant dans l'immensité du ciel, réjoui
Il s'est laissé porter par les vents déchainés
Libre mais prisonnier, heureux mais déchiré