Le paisible univers des jeunes écrivains en herbe... |
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| Zombies | |
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Blaine Co-Admin
Nombre de messages : 335 Age : 49 Localisation : Valenciennes Loisirs : Ecrire, écrire, écrire et du CSS pour décompresser!!!! Date d'inscription : 19/10/2007
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| Sujet: Zombies Mer 11 Juin - 0:56 | |
| Yop,
Voilà mon texte issu du concours. Par contre je l'édite sous mon pseudo Peter Stone
Je sais qu'une partie vers la fin avait été critiqué, il n'y a pas de souci si un correcteur veut l'arranger. ZOMBIES Ou les tracas d’un mort pour rester vivant
Tout commença lorsque je rentrais chez moi après une journée de travail particulièrement éreintante. J’étais un simple ouvrier travaillant dans l’assemblage d’automobiles. Rien de bien glorifiant, mais ce travail me permettait de payer mon loyer et autres petits plaisirs simples de la vie. J’avais l’habitude de m’y rendre en vélo. Je n’habitais qu’à seulement trois kilomètres de là et par souci écologique j’aimais prendre le moins possible mon véhicule. J’avais aussi une petite routine de couper parfois par le chantier qui juxtaposé mon quartier. Avec cette petite astuce je gagnais jusqu’à dix minutes de sommeil. J’adore dormir enfin, j’adorais, car le changement qui s’est opéré en moi ma privé de ce plaisir. Donc, comme à chaque fois, je filais sur mon vélo tout chemin à travers les dédales sinueux des routes en travaux évitant ici et là les différents ouvriers et camions qui parfois me barrer le chemin jusqu’à l’accident. Etais-je distrais ou juste fatigué enfin est que je ne vis pas surgir d’un tournant un énorme camion benne qui ne diminua pas sa vitesse lors de notre confrontation. Bien entendu, je fini perdant de ce déloyal combat et fît un bon de plus de dix mètres lorsque je fut percuté par le pare-choc de l’engin. Croyez- moi, la sensation ressentit lorsque ma tête heurta violemment le véhicule fut plus qu’étrange. Je m’attendais à une douleur violente et brûlante identique à celle lorsque l’on se cogne sur un objet quelconque, voir pire. Là, rien. Juste le son d’un choc et la sensation d’écrasement de ma boîte crânienne. J’avais presque la sensation d’être dans le Dalton terreur d’un grand parc d’attraction. Les sensations se valaient. Je me sentais écrasé et je ne voyais rien tellement mon corps voltigeait dans les airs en tout sens. Puis ce fut le noir complet. Voilà, pour moi, je pensais avoir fait le grand voyage sans retour. Pourtant, je me réveillais en sursaut alors que j’étais complètement dans l’eau. Il faisait sombre et le liquide qui m’entourait était légèrement trouble. Il fallait que je me calme. Respirer un grand coup, réfléchir. Pourquoi étais-je dans l’eau. Je regardais autour de moi. La panique que j’avais eue en me réveillant avait secoué le fond. C’était le pourquoi de l’opacité de l’eau. Vers la surface, j’apercevais la lune, c’est elle qui me donnait cet éclairage faible mais utile. Je tentais de remonter mais je n’y arrivais pas. J’essayais de voir pourquoi. La réponse était simple. Un morceau de ferraille m’avait empaler la jambe et me retenait prisonnier des flots. J’observais ma blessure. C’était en fait un tonneau éventrer. Une énorme étiquette fluorescente où était inscrite « Danger. Fluorixinique tritinnium. Agent de type C. Fût 257. Produit en Bêta-teste. » Il Avait été jeté là comme tant d’autres autour de moi. La preuve d’une future pollution par des industriels véreux. Mais ce n’était pas mon problème. Moi je voulais rejoindre la surface. Je pris ma jambe et la souleva de toutes mes forces. Je voyais les lambeaux de chairs se déchirer sous l’arrête irrégulière du métal. Pourtant je ne ressentais aucune douleur. Une fois fait, je pus rejoindre doucement la surface et une fois sortie de l’eau je m’assis sur la berge. Je me mis à grelotter sans pouvoir contrôler mon corps. Ce n’est pas le froid qui me causa cela ni la vue de ma terrible blessure qui étrangement ne saignait pas. Non ! Ce qui me terrifia c’est que j’étais resté pratiquement toute la journée au fond de l’eau et que pourtant je pouvais encore ouvrir les yeux. Je déglutit et pris mon pouls. A mon poignet puis a mon coup. Rien, je ne sentais aucune pulsation. Je remis une mèche de mes cheveux en place, me frotta les yeux puis me levant je regardais à droite puis à gauche après mon vélo. Il était certainement quelque part dans l’eau, au milieu du cimetière de baril. Tant pis, je rentrerais à pied. D’un pas franc et décidé, je fonçais vers mon habitation espérant ne rencontrer aucune âme qui vive. Après plusieurs minutes de marches, j’arrivais enfin devant chez moi. Ce fût un soulagement de pouvoir m’asseoir dans mon canapé. Au passage j’avais attrapé un linge et l’appliqua autour de ma jambe. Cela ne servait pas à rien puisque je ne saignais pas mais au moins cela avait l’avantage de me cacher la blessure. Il fallait réfléchir. J’étais à la fois hyper heureux d’être « vivant » mais paniquer à la fois de sentir un changement en moi. Il fallait en avoir le cœur net. Je pris dans la cuisine un petit couteau. Si j’étais mort, je ne ressentirais rien. Je le pressa sur mon ventre et. Non ! Si j’étais vivant, cela serait le meilleur moyen de me tuer. Il fallait que je me le plante à un endroit non-vital. Ce n’était pas le moment de se couper une artère. Je n’avais jamais penser que c’était si compliquer de se planter un couteau. Le centre de ma main semblait être un bon endroit. J’hésitais entre elle et mon pied mais je me dis qu’après tout ce dernier était peut-être plus important. Allez, c’était l’heure du teste. Je mis la pointe de la lame dans le creux de ma main, ces dernières tremblaient comme des feuilles, puis dans un terrible crie l’enfonça de toutes mes forces. Je ne pus cesser de crier. J’observais maintenant ma main, traversait de part en part par l’ustensile de cuisine. C’est seulement une fois le couteau retirait que mes cries cessèrent. Je n’avais rien ressenti. J’avais l’impression de piquer un couteau dans un morceau de viande avec os. Je fonçais vers la salle de bain. Ma tête était triste. Comme fatigué. Pourtant je n’avais pas envie de dormir. C’est là que les choses se compliquèrent… J’avais bien tenté de garder mon travail. Camoufler ma main et ma jambe était une chose facile et un peu de maquillage masquait mon teint livide. Mais le véritable problème était l’odeur. La première semaine elle n’était pas encore trop forte, la deuxième j’arrivais partiellement à la camoufler sous une tonne de parfum. Mais la troisième je n’osais plus sortir. Je sentais le rance. Mon corps était en train de pourrire et je ne savais pas quoi faire pour l’arrêter. J’ais du donc arrêter mon travail pour cause d’odeur nauséabonde. Je ne pouvais pas me mettre en maladie, mon médecin m’aurait regardé de travers. Il fallait réfléchir. Mon hypothèse était que le pourrissement venait que mon cœur était arrêté. Il fallait donc que je trouve un moyen pour le relancer. J’avais quelques livres sur la médecine et chercha tout ce qui parler de cet organe. Me faisant un dossier complet, j’avais décidé que la meilleure chose à faire était de faire mes courses dans un hôpital. L’avantage avec cet endroit c’est que l’on peut y rentrer comme on veut. Il fallait bien organiser tout cela. Des outils, des livres, peut être même du sang composaient la liste de ce qu’il me fallait. Mais vous savez quand la malchance est sur vous, elle ne vous lâche pas facilement. Pourtant tout c’était bien passer au début. J’avais réussi à voler une blouse, pris les instruments chirurgicaux qu’il me fallait et avais fait l’acquisition de plusieurs poches de sang. Tout allait pour le mieux. Il a fallut que le jour où je fasse mes courses, se passe au même instant, au même endroit le transfert d’un dangereux criminel qui avait subi une opération. Je crois que la police n’a pas chercher bien loin lorsqu’une infirmière cria que je n’étais pas médecin quand je passais juste à côté d’eux. C’est qu’ils ont la gâchette facile ces gars là. Pourtant je leur avait crier que je n’étais pas la pour eux. Les balles sifflets autour de moi et heureusement, ma « zombification » ne m’empêcher pas de courir. A la sortie de l’hôpital, ma jambe était recouverte de sang. Je saigne ! Je saigne ! Criais-je alors, mon cœur c’était remis à battre peut être sous l’effort du sprint que j’avais fait mais ma joie fut de courte durée. Une balle avait traversée une poche de sang et cela m’avait recouvert le pantalon. Tel un criminel en cavale je rentrais chez moi. J’avais du travail avant de tomber en morceau. L’idée était simple. Je voulais remplacer mon cœur par une pompe. Après tout. Je sais assembler une voiture. Le corps n’est que de la mécanique biologique. Je choisis la salle de bain comme lieu d’opération. Je m’entourais de plusieurs glaces pour avoir plusieurs vues d’ensemble de mon corps et répartis sur une table les différents outils et produits nécessaires à mon travail. J’attaquais. Je découpais à la scie tout d’abord la cage thoracique pour avoir une vue d’ensemble bien dégager. Croyez-moi, je pense qu’un boucher-charcutier n’aurait pas mieux fait. Je pris après les écarteurs et dans un bruit sinistre de craquement écarta les deux ranger de côtes. Jamais je n’avais contemplé une telle intimité de mon corps. Soudain je ma frappa la tête. C’était bien moi ça, j’avais tout préparer sauf la pompe que j’avais laisser dans le salon. A chaque fois c’était pareil, je ne savais pas faire quelque chose sans oublier un petit détail. J’enrageais tout en traversant la pièce voisine. Quelqu’un sonna à la porte. Dans ma colère et oubliant mon état, j’ouvris la porte violemment. La personne qui se tenait devant moi était certainement représentant en vin. C’est ce que j’en conclu lorsque son catalogue s’écrasa sur le sol alors qu’il tomber évanouie à la renverse. Je pense qu’il n’apprécia pas la vue de mes poumons et de mon cœur. Je traînais le corps à l’intérieure et ne savant pas quoi en faire le mit dans le placard. Je penserais plus tard à son cas. J’avais encore du travail. Je pris la pompe et me remis à mon labeur. Je n’avais plus beaucoup de sang et le peu qui me rester était coaguler. Mais cela avait l’avantage de moins brouiller mon travail. Enlever le cœur était simple. Quelques coups de ciseaux ici et là et le tour fut joué. Le plus compliquer était de mettre la pompe à la place. Lorsque j’essayé d’attraper une artère pour la placer au bonne endroit, elle me filait entre les doigts comme un ver de vase que l’on veut prendre avec des gants. Après des heures de travail et de patience et quelques attaches plastiques, la pompe était enfin en place. Je devais maintenant la tester. Ce système m’obliger en permanence de me balader avec une batterie pour l’alimenter mais c’était un mal pour un bien. Je mis en route. Un petit bruit de pompage se fit entendre. Elle aspirais les litres de sang récupérer à l’hôpital. Cela semblais marcher. Le sang circuler à nouveau dans mes veines mais j’entendis derrière moi un bruit d’eau s’écouler. Je saignais. Je n’avais pas vu que j’avais été touché par un des policiers. Une balle semblait avoir sectionner une artère à l’arrière de ma cuisse. J’avais décidément beaucoup de retouche à faire. Surtout que ce n’était pas une mais cinq balles qui me touchèrent. Heureusement, étant célibataire, j’avais pas mal de notion en couture. Après trois heures de travail et mille trois points de sutures j’étais comme neuf, enfin presque. Malheureusement je ne pouvais plus rester chez moi. L’homme dans le placard préviendrait les autorités et je ne pouvais me résoudre de le faire taire. Je fuis. D’abord la ville, puis la région puis le pays. Si j’étais devenu un Zombie, j’étais aussi devenu immortel même si cela me coûtait beaucoup d’énergie et de temps pour rester humain. Je pense que se sont les cents première années qui furent les plus dure. Je cherchais continuellement ma place à travers mes semblables. J’étais devenu tour à tour un super héros essayant de protéger les villes du mal, mais mon état physique se dégrada rapidement sous les balles destructrices de mes ennemis, puis je devins messie pour guider les gens, mais ils avaient peur de moi et n’écoutaient pas mon message. Puis je me mis à apprendre. Si mon corps était mort. Mon esprit absorber les informations. J’étais la mémoire de mon peuple. Mais cela avait un prix. Car maintenant, j’étais seul. Je vivais comme un troglodyte sur cette planète devenue terre désertique après l’immense chaos qui la ravagea. Les survivant ont du fuir loin dans d’immenses forteresses volantes. Moi, toujours debout, plus machine qu’humain car la nanotechnologie remplaça depuis longtemps mais gadgets mécaniques qui me permirent de traverser le temps j’attendais impatiemment la fin qui ne venait pas. Doucement la température augmentait avec notre soleil devenant super-nova. J’attendais le jour où enfin je serais mort. Le temps à ce moment là étai interminable. Doucement je me vis me détruire mais le pire ce n’est pas cette mort qui arrivais mais ce sentiment d’être seul. J’allais finir ici abandonné de tous ayant vécu une vie d’errance et sans jamais avoir connu le véritable amour. Voilà, maintenant tout autour de moi s’embrase et doucement la lumière aveuglante diminue. Puis le noir m’envahis. Soudain un bruit terrible me réveille en sursaut. Ce maudit réveille matin hurle dans mes oreilles. Je regarde autour de moi. Il fait noir et pourtant je discerne les aspects muraux de ma chambre. Tout cela n’était qu’un affreux cauchemar. Quelle peur terrible. Ce rêve m’avait permis d’ouvrir les yeux sur un point. Je ne pouvais rester seul. Personne ne le devrait. Ce n’est pas humain de vivre comme cela. C’est cela d’être un vrai zombie. Il fallait agir. J’avalais rapidement mon déjeuner. Il avait toujours du mal à passer à 04H30 du matin. Puis je me rendis au travail. Il fallait prendre mon destin en main. Cette fille que je n’osais pas aborder depuis plus de 4 mois et qui pourtant semble tout point d’accord à me connaître vu les regards longs et désireux qu’elle me jetait. C’était décidé aujourd’hui je lui parlerais. Mais je ne vis pas le camion arriver sur ma droite. Il me percuta de plein fouet. L’action semblait se dérouler au ralenti puis ce fut le noir. Lorsque je me réveillai. Mon corps était plongé dans l’eau…
FIN | |
| | | Tlina Co-Admin
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| Sujet: Re: Zombies Jeu 12 Juin - 19:02 | |
| Correction première partie
ZOMBIES Ou les tracas d’un mort pour rester vivant
Tout commença lorsque je rentrai chez moi après une journée de travail particulièrement éreintante. J’étais un simple ouvrier œuvrant dans l’assemblage d’automobiles. Rien de bien glorifiant, mais ce travail me permettait de payer mon loyer et autres petits plaisirs simples de la vie. J’avais l’habitude de m’y rendre en vélo. Je n’habitais qu’à seulement trois kilomètres de là et par souci écologique j’aimais prendre le moins possible mon véhicule. J’avais aussi une petite routine: Couper parfois par le chantier qui jouxtait mon quartier. Avec cette petite astuce je gagnais jusqu’à dix minutes de sommeil. J’adore dormir, enfin j’adorais, car le changement qui s’est opéré en moi m'a privé de ce plaisir. Donc, comme à chaque fois, je filais sur mon vélo tout chemin à travers les dédales sinueux des routes en travaux, évitant ici et là les différents ouvriers et camions qui parfois me barraient la route jusqu’à l’accident. Etais-je distrait ou juste fatigué ? Enfin, toujours est-il que je ne vis pas surgir d’un tournant un énorme camion-benne, qui ne diminua pas sa vitesse lors de notre confrontation. Bien entendu, je finis perdant de ce déloyal combat et fît un bond de plus de dix mètres lorsque je fus percuté par le pare-choc de l’engin. Croyez- moi, la sensation ressentie lorsque ma tête heurta violemment le véhicule fut plus qu’étrange. Je m’attendais à une douleur violente et brûlante, identique à celle qu'on éprouve lorsque l’on se cogne sur un objet quelconque, voire pire. Là, rien. Juste le son d’un choc et la sensation d’écrasement de ma boîte crânienne. J’avais presque la sensation d’être dans le Dalton terreur d’un grand parc d’attraction. Les sensations se valaient. Je me sentais écrasé et je ne voyais rien, tellement mon corps voltigeait dans les airs en tous sens. Puis ce fut le noir complet. Voilà, pour moi, j'avais fait le grand voyage sans retour. Pourtant, je me réveillai en sursaut alors que j’étais complètement dans l’eau. Il faisait sombre et le liquide qui m’entourait était légèrement trouble. Il fallait que je me calme. Respirer un grand coup, réfléchir. Pourquoi étais-je dans l’eau ? Je regardai autour de moi. La panique que j’avais eue en me réveillant avait secoué le fond. C’était le pourquoi de l’opacité de l’eau. Vers la surface, j’apercevais la lune ; c’était elle qui me donnait cet éclairage faible mais utile. Je tentai de remonter mais je n’y arrivai pas. J’essayai de voir pourquoi. La réponse était simple. Un morceau de ferraille m’avait empalé la jambe et me retenait prisonnier des flots. J’observai ma blessure. C’était en fait un tonneau éventré. Une énorme étiquette fluorescente où était inscrite « Danger. Fluorixinique tritinnium. Agent de type C. Fût 257. Produit en Bêta-test. » Il avait été jeté là comme tant d’autres autour de moi. La preuve d’une future pollution par des industriels véreux. Mais ce n’était pas mon problème. Moi, je voulais rejoindre la surface. Je pris ma jambe et la soulevai de toutes mes forces. Je voyais les lambeaux de chairs se déchirer sous l’arête irrégulière du métal. Pourtant je ne ressentais aucune douleur. Une fois cela fait, je pus rejoindre doucement la surface et, une fois sorti de l’eau, je m’assis sur la berge. Je me mis à grelotter sans pouvoir contrôler mon corps. Ce n’est pas le froid qui causa cette réaction ni la vue de ma terrible blessure qui, étrangement, ne saignait pas. Non ! Ce qui me terrifia, c’est que j’étais resté pratiquement toute la journée au fond de l’eau et que, pourtant, je pouvais encore ouvrir les yeux. Je déglutis et pris mon pouls. A mon poignet puis à mon cou. Rien, je ne sentais aucune pulsation. Je remis une mèche de mes cheveux en place, me frottai les yeux puis, me levant, je regardai à droite puis à gauche, cherchant mon vélo. Il était certainement quelque part dans l’eau, au milieu du cimetière de barils. Tant pis, je rentrerais à pied. D’un pas franc et décidé, je fonçai vers mon habitation, espérant ne rencontrer aucune âme qui vive. Après plusieurs minutes de marche, j’arrivais enfin devant chez moi. Ce fut un soulagement de pouvoir m’asseoir dans mon canapé. Au passage j’avais attrapé un linge et l'avait appliqué autour de ma jambe. Cela ne servait à rien, puisque je ne saignais pas, mais au moins cela avait l’avantage de me cacher la blessure. Il fallait réfléchir. J’étais à la fois fou de joie à l'idée d’être « vivant » mais paniqué à la fois de sentir un changement en moi. Il fallait en avoir le cœur net. Je pris dans la cuisine un petit couteau. Si j’étais mort, je ne ressentirais rien. Je le pressai sur mon ventre et... Non ! Si j’étais vivant, cela serait le meilleur moyen de me tuer. Il fallait viser un endroit non-vital. Ce n’était pas le moment de se couper une artère. Je n’avais jamais pensé que c’était si compliqué de se planter un couteau. Le centre de ma main semblait être un bon endroit. J’hésitais entre elle et mon pied, mais je me dis qu’après tout, ce dernier était peut-être plus important. Allez, c’était l’heure du test. Je mis la pointe de la lame dans le creux de ma main ; cette dernière tremblait comme une feuille ; puis dans un terrible cri je l’enfonçai de toutes mes forces. Je ne pus cesser de crier. J’observais maintenant ma main, traversée de part en part par l’ustensile de cuisine. C’est seulement une fois le couteau retiré que mes cris cessèrent. Je n’avais rien ressenti. J’avais l’impression de piquer un couteau dans un morceau de viande qui contenait des os. Je fonçai vers la salle de bain. Ma tête était horrible, elle me faisait peur.J'avais les traits tirés, comme fatiguée. Pourtant je n’avais pas envie de dormir. C’est là que les choses se compliquèrent… J’avais bien tenté de garder mon travail. Camoufler ma main et ma jambe était facile et un peu de maquillage masquait mon teint livide. Mais le véritable problème était l’odeur. La première semaine, elle n’était pas encore trop forte, la deuxième j’arrivais à la camoufler partiellement sous une tonne de parfum. Mais la troisième, je n’osais plus sortir. Je sentais le rance. Mon corps était en train de pourrir, et je ne savais pas quoi faire pour l’arrêter. J’ai dû donc arrêter mon travail pour cause d’odeur nauséabonde. Je ne pouvais pas me mettre en arrêt maladie, mon médecin m’aurait regardé de travers. Il fallait réfléchir. Mon hypothèse était que le pourrissement venait du fait que mon cœur était arrêté. Il fallait donc que je trouve un moyen pour le relancer. J’avais quelques livres sur la médecine et cherchai tout ce qui parlait de cet organe. Me faisant un dossier complet, j’avais décidé que la meilleure chose à faire était de faire mes courses dans un hôpital. L’avantage avec cet endroit c’est que l’on peut y rentrer comme on veut. Il fallait bien organiser tout cela. Des outils, des livres, peut-être même du sang composaient la liste de ce qu’il me fallait. Mais vous savez que quand la malchance est sur vous, elle ne vous lâche pas facilement. Pourtant tout s’était bien passé, au début. J’avais réussi à voler une blouse, pris les instruments chirurgicaux qu’il me fallait et avais fait l’acquisition de plusieurs poches de sang. Tout allait pour le mieux. Il a fallu que le jour où je fasse mes courses, se passe, au même instant, au même endroit, le transfert d’un dangereux criminel qui avait subi une opération. Je crois que la police n’a pas cherché bien loin lorsqu’une infirmière cria que je n’étais pas médecin quand je passais juste à côté d’eux. C’est qu’ils ont la gâchette facile, ces gars-là. Pourtant je leur avais crié que je n’étais pas là pour eux. Les balles sifflaient autour de moi et heureusement, ma « zombification » ne m’empêchait pas de courir. A la sortie de l’hôpital, ma jambe était recouverte de sang. "Je saigne ! Je saigne !" criai-je alors, mon cœur s’était remis à battre, peut-être sous l’effort du sprint que j’avais fait, mais ma joie fut de courte durée. Une balle avait traversé une poche de sang et cela m’avait recouvert le pantalon. Tel un criminel en cavale, je rentrais chez moi. J’avais du travail avant de tomber en morceaux. L’idée était simple. Je voulais remplacer mon cœur par une pompe. Après tout, je sais assembler une voiture. Le corps n’est que de la mécanique biologique. Je choisis la salle de bain comme lieu d’opération. Je m’entourais de plusieurs glaces pour avoir plusieurs vues d’ensemble de mon corps et répartis sur une table les différents outils et produits nécessaires à mon travail. J’attaquai. Je découpai à la scie, tout d’abord, la cage thoracique pour avoir une vue d’ensemble bien dégagée. Croyez-moi, je pense qu’un boucher-charcutier n’aurait pas mieux fait. Je pris ensuite les écarteurs et dans un bruit sinistre de craquement écartai les deux rangées de côtes. Jamais je n’avais contemplé mon corps sous cet angle, j'étais effrayé. Soudain je me frappai la tête. C’était bien moi, ça, j’avais tout préparé, sauf la pompe que j’avais laissée dans le salon. A chaque fois c’était pareil, je ne savais pas faire quelque chose sans oublier un petit détail. J’enrageais tout en traversant la pièce voisine. Quelqu’un sonna à la porte. Dans ma colère et oubliant mon état, j’ouvris la porte violemment. La personne qui se tenait devant moi était certainement représentant en vins. C’est ce que j’en conclus lorsque son catalogue s’écrasa sur le sol alors qu’il tombait, évanoui, à la renverse. Je pense qu’il n’apprécia pas la vue de mes poumons et de mon cœur. Je traînai le corps à l’intérieur et, ne sachant pas quoi en faire, le mis dans le placard. _______________________
Quelques remarques : => après une journée de travail particulièrement éreintante. J’étais un simple ouvrier travaillant : pas très jolie la répétition => J’avais aussi une petite routine de couper : plutôt dire : "J'avais aussi une petite routine : couper etc etc" => hyper heureux : ça fait pas très sérieux... => Il fallait que je me le plante à un endroit non-vital=> pas joli-joli, il vaudrait mieux dire : il fallait que je me fasse une blessure sans gravité" ou quelque chose dans ce genre... => Ma tête était triste : perso moi si j'apprenais que j'étais un zombie je serais un peu plus que triste... => Jamais je n’avais contemplé une telle intimité de mon corps Peut-être c'est mieux de dire : "mon corps dans une telle intimité" | |
| | | Blaine Co-Admin
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| Sujet: Re: Zombies Ven 13 Juin - 2:58 | |
| Bonne remarque...Merci | |
| | | Tlina Co-Admin
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| Sujet: Re: Zombies Ven 13 Juin - 13:27 | |
| Je penserais plus tard à son cas. J’avais encore du travail. Je pris la pompe et me remis à mon labeur. Je n’avais plus beaucoup de sang et le peu qui me restait coagulait. Mais cela avait l’avantage de moins brouiller mon travail. Enlever le cœur était simple; Quelques coups de ciseaux ici et là et le tour fut joué. Le plus compliqué était de mettre la pompe à sa place. Lorsque j’essayais d’attraper une artère pour la placer au bon endroit, elle me filait entre les doigts comme un ver de vase que l’on veut prendre avec des gants. Après des heures de travail et de patience et quelques attaches plastiques, la pompe fut enfin en place. Je devais maintenant la tester. Ce système m’obligeait à me balader en permanence avec une batterie pour l’alimenter, mais c’était un mal pour un bien. Je mis en route. Un petit bruit de pompage se fit entendre. Elle aspirait les litres de sang récupérés à l’hôpital. Cela semblait marcher. Le sang circulait à nouveau dans mes veines mais j’entendis derrière moi un bruit d’eau qui s’écoulait. Je saignais. Je n’avais pas vu que j’avais été touché par un des policiers. Une balle semblait avoir sectionné une artère à l’arrière de ma cuisse. J’avais décidément beaucoup de retouches à faire. Surtout que ce n’était pas une mais cinq balles qui m'avaient atteint. Heureusement, étant célibataire, j’avais pas mal de notions en couture. Après trois heures de travail et mille trois points de sutures j’étais comme neuf, enfin presque. Malheureusement je ne pouvais plus rester chez moi. L’homme dans le placard préviendrait les autorités et je ne pouvais me résoudre à le faire taire. Je pris la fuite. D’abord la ville, puis la région puis le pays. Si j’étais devenu un Zombie, j’étais aussi devenu immortel même si cela me coûtait beaucoup d’énergie et de temps pour rester humain. Je pense que ce sont les cent premières années qui furent les plus dures. Je cherchais continuellement ma place parmi mes semblables. J’étais devenu tour à tour un super héros essayant de protéger les villes du mal, mais mon état physique se dégrada rapidement sous les balles destructrices de mes ennemis, puis je devins messie pour guider les gens, mais ils avaient peur de moi et n’écoutaient pas mon message. Puis je me mis à apprendre. Si mon corps était mort, mon esprit, lui, absorbait les informations. J’étais la mémoire de mon peuple. Mais cela avait un prix. Car maintenant, j’étais seul. Je vivais comme un troglodyte sur cette planète devenue terre désertique après l’immense chaos qui la ravagea. Les survivants avaient dû fuir loin dans d’immenses forteresses volantes. Moi, toujours debout, plus machine qu’être humain - car la nanotechnologie remplaçai depuis longtemps mes gadgets mécaniques qui me permirent de traverser le temps - j’attendais impatiemment la fin qui ne venait pas. Doucement la température augmentait avec notre soleil qui devenait super-nova. J’attendais le jour où enfin je mourrais. Le temps à ce moment-là était interminable. Doucement je me vis me détruire mais le pire, ce n’était pas cette mort qui arrivait mais ce sentiment d’être seul. J’allais finir ici abandonné de tous, ayant vécu une vie d’errance, et sans jamais avoir connu le véritable amour. Voilà, maintenant tout autour de moi s’embrase et doucement la lumière aveuglante diminue. Puis le noir m’envahit. Soudain un bruit terrible me réveille en sursaut. Ce maudit réveille-matin hurle dans mes oreilles. Je regarde autour de moi. Il fait noir et pourtant je discerne les aspects muraux de ma chambre. Tout cela n’était qu’un affreux cauchemar. Quelle peur terrible. Ce rêve m’avait permis d’ouvrir les yeux sur un point : je ne pouvais rester seul. Personne ne le devrait. Ce n’est pas humain de vivre comme cela. C’est cela, être un vrai zombie. Il fallait agir. J’avalai rapidement mon déjeuner. Il avait toujours du mal à passer à 04H30 du matin. Puis je me rendis au travail. Il fallait prendre mon destin en main. Cette fille que je n’osais pas aborder depuis plus de 4 mois et qui pourtant semblait en tout point d’accord pour me connaître, vu les regards longs et pleins de désir qu’elle me jetait. C’était décidé : aujourd’hui je lui parlerais. Mais je ne vis pas le camion arriver sur ma droite. Il me percuta de plein fouet. L’action semblait se dérouler au ralenti ; puis ce fut le noir. Lorsque je me réveillais, mon corps était plongé dans l’eau… __________________________
Non moi je l'aime bien cette fin... T'allais quand même pas écrire un truc optimiste après je ne sais combien de lignes parfaitement gore ^^ | |
| | | Soso Auteur
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| Sujet: Re: Zombies Jeu 3 Juil - 16:46 | |
| « Je penserais plus tard à son cas. » J’ai un doute sur le temps mais à mon avis il n’y a pas de s à penserai ( sauf si c’est du conditionnel)
« Je n’avais plus beaucoup de sang et le peu qui me restait était coagulé. Mais cela avait l’avantage de moins brouiller mon travail. » Je pense que la syntaxe doit être changée, rassemble les deux phrases par ex tu peux écrire : Je n’avais plus beaucoup de sang, et le peu qui me restait était coagulé, mais cela avait l’avantage de moins brouiller mon travail.
« Elle aspirait les litres de sang récupérés à l’hôpital. Cela semblait marcher. Le sang circulait à nouveau dans mes veines mais j’entendis derrière moi un bruit d’eau qui s’écoulait. » Le « elle » fait bizarre car tu à repris la pompe alors que tu viens de dire « le système » Sinon le « Cela semblait marcher » fait bizarre … si tu le laisse écris plutôt circula que circulait…
« Surtout que ce n’était pas une mais cinq balles qui m'avaient atteint. » Tu n’as pas fais de liaison, peut un « je m’aperçus » ou autre chose serait le bienvenu… « Je pris la fuite. D’abord la ville, puis la région puis le pays. » Ça me fait bizarre….
« J’étais devenu tour à tour un super héros essayant de protéger les villes du mal, » devenuS
« Puis je me mis à apprendre. » Tu as déjà dis puis juste avant, cela fait répétition, Ecris plutôt « Alors »
« Mais cela avait un prix. Car maintenant, j’étais seul. » Je supprimerais le point…
« notre soleil qui devenait super-nova. » Mon ordinateur me dit de corriger en mettant supernova, donc tout attaché mais moi je ne sais pas…
« Le temps à ce moment-là était interminable. » Si tu écris à ce moment là, remplace était par fut
« ayant vécu une vie d’errance » Cela fait répétition , écris plutôt « ayant eu »
« Tout cela n’était qu’un affreux cauchemar. » J’ajouterais « donc » entre cela et n’était mais c’est comme tu veux
« Quelle peur terrible. » Si tu veux (comme toujours^^) mets un point d’exclamation
« Soudain un bruit terrible me réveille en sursaut. Ce maudit réveille-matin hurle dans mes oreilles. Je regarde autour de moi. Il fait noir et pourtant je discerne les aspects muraux de ma chambre. Tout cela n’était qu’un affreux cauchemar. Quelle peur terrible. Ce rêve m’avait permis d’ouvrir les yeux sur un point : je ne pouvais rester seul. Personne ne le devrait. Ce n’est pas humain de vivre comme cela. C’est cela, être un vrai zombie. Il fallait agir. »
Attention dans ce paragraphe tu passes du passé au présent puis encore au passé , il y un problème il faut revoir le temps !
« en tout point d’accord pour me connaître » C’est une formulation bizarre , le d’accord surtout, peut–être « encline » ferait mieux
« pleins de dé sir » Attention il y a un espace à supprimer
« L’action semblait se dérouler au ralenti » Si tu garde le passé c’est plutôt sembla , mais modifie bien avec ce que je t’avais dis plus haut !
Tlina tu n’as pas mis le mot FIN , est-ce qu’il fallait le faire ?
Je n’ai corrigé que la deuxième partie là je crois… La première plus tard ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Zombies Jeu 3 Juil - 19:36 | |
| - Soso a écrit:
- « J’étais devenu tour à tour un super héros essayant de protéger les villes du mal, »
devenuS Pourquoi? A ce que je sache, le gars est pas au pluriel mdr! |
| | | Tlina Co-Admin
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| Sujet: Re: Zombies Ven 4 Juil - 11:57 | |
| Correction de la correction (jusqu'où poussera-t-on le professionalisme ?) ^^ Il ne s'agit pas de remettre en cause le travail de Soso, qui fait d'excellentes remarques par ailleurs, mais d'être plus précise et d'éviter qu'on parte en vrille. Pour une fois que je prends la défense du corrigé ^^ Je ne mentionne cela que pour dissuader mes chers correcteurs (trices) de mener une sanglante révolution contre mon pouvoir tyrannique ... - Citation :
- « Je penserais plus tard à son cas. »
J’ai un doute sur le temps mais à mon avis il n’y a pas de s à penserai ( sauf si c’est du conditionnel) C'EST un conditionnel (à valeur de futur dans le passé). - Citation :
- « J’étais devenu tour à tour un super héros essayant de protéger les villes du mal, »
devenuS Y'a pas de s à devenu... Est-ce qu'on dit "la personne que je suis devenuse ?" Non, donc pas de s, ni de t, ni rien... (Va falloir que je fasse un topo sur les participes passé du troisième groupe car les erreurs abondent à ce sujet, et si même les correcteurs en font...) - Citation :
- « Le temps à ce moment-là était interminable. »
Si tu écris à ce moment là, remplace était par fut Bizarre de mettre un passé simple à côté de l'adjectif "'interminable"... Sans entrer dans la controverse temporelle et la guerre civile inter-correcteurs (me lynchez pas ! ^^), si j'avais quelque chose à changer, ce serait plutôt le mot "moment" (plutôt "époque" par exemple). - Citation :
- « Soudain un bruit terrible me réveille en sursaut. Ce maudit réveille-matin hurle dans mes oreilles. Je regarde autour de moi. Il fait noir et pourtant je discerne les aspects muraux de ma chambre. Tout cela n’était qu’un affreux cauchemar. Quelle peur terrible. Ce rêve m’avait permis d’ouvrir les yeux sur un point : je ne pouvais rester seul. Personne ne le devrait. Ce n’est pas humain de vivre comme cela. C’est cela, être un vrai zombie. Il fallait agir. »
Attention dans ce paragraphe tu passes du passé au présent puis encore au passé , il y un problème il faut revoir le temps ! On peut considérer ce présent comme du présent de narration ponctuel (on souligne telle action en la mettant au présent...), c'est pour cela que je l'ai laissé. | |
| | | Soso Auteur
Nombre de messages : 508 Age : 33 Localisation : ben là!! Loisirs : découvrir....... Date d'inscription : 16/06/2007
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| Sujet: Re: Zombies Ven 4 Juil - 15:27 | |
| Ouin! je suis tout le temps recorrigé!!!
mais j'ai pas la grosse tête, je suis désolée, ça m'embête de faire des bêtises , c'est nul pour ceux que j'essaie de corriger
pour le coup du devenuS j'ai vraiment été bête ^^
encore merci les filles!! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Zombies Ven 4 Juil - 16:23 | |
| En fait pour plus de sûreté, faudrait 3 couches de correction: - moi en premier pour les fautes d'ortho et quelques expressions louches - soso en deuxième pour revérifier les fautes d'ortho et relever les expressions ou phrases bizarres - tlina pour revoir tout ça et mettre le tampon d'adhésion au recueil! (Comme on est les 3 correctrices les plus régulières...) Le trio de choc |
| | | Tlina Co-Admin
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| Sujet: Re: Zombies Ven 4 Juil - 19:49 | |
| Y'a qu'à faire ça par la suite ^^ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Zombies Lun 7 Juil - 16:37 | |
| Partie orthographe: - Citation :
- Des outils, des livres, peut-être même du sang composaient la liste de ce qu’il me fallait.
- Citation :
- Mon hypothèse était que le pourrissement venait du fait que mon cœur était arrêté.
Je mettrais " s'était arrêté". - Citation :
- J’avais quelques livres sur la médecine et cherchai tout ce qui parler de cet organe.
Pas "parler", "parlait"!!!!!!!!!!!!!!!!!!! - Citation :
- Je crois que la police n’a pas chercher bien
loin lorsqu’une infirmière cria que je n’étais pas médecin quand je passais juste à côté d’eux. "cherch é". - Citation :
- C’est qu’ils ont la gâchette facile, ces gars-là.
- Citation :
- "Je saigne ! Je saigne !" criai-je alors, mon
cœur s’était remis à battre, peut-être sous l’effort du sprint que j’avais fait, mais ma joie fut de courte durée. - Citation :
- Une balle avait traversée une poche de sang et cela m’avait recouvert le pantalon.
Pasde "e" (je suis pas douée avec les participes passé, mais là je suis prête à me jeter par la fenêtre si y a bel et bien un "e"). Partie remarques: - Citation :
- Voilà, pour moi, je pensais avoir fait le grand voyage sans retour.
Tu dis "pour moi" et ensuite "je pensais", je serais toi je mettrais soit l'un soit l'autre. Et perso je pencherais plutôt pour la première: "Voilà, pour moi, j'avais fait le grand voyage sans retour". - Citation :
- D’un pas franc et décidé, je fonçai vers mon habitation, espérant ne rencontrer aucune âme qui vive.
Dit comme ça, moi je comprends que tu veux que les gens soient morts sur ta route lol Alors j'ai peut-être l'esprit tordu, mais ce serait mieux de dire "espérant rencontrer âme qui vive". - Citation :
- Après plusieurs minutes de marche, j’arrivais enfin devant chez moi.
Je mettrais plutôt le passé simple... Parce que c'est pas une action qui dure dans le temps, il arrive, il s'arrête une seconde même pas, et hop il rentre chez lui. - Citation :
- J’étais à la fois hyper heureux d’être « vivant » mais paniqué à la fois de sentir un changement en moi.
Déjà comme tlina, le "hyper" fait pas très sérieux, et aussi y a une répétition de "à la fois". - Citation :
- Tel un criminel en cavale, je rentrais chez moi.
Pareil que l'autre, je mettrais au passé simple. - Citation :
- Je m’entourais de plusieurs glaces pour avoir
plusieurs vues d’ensemble de mon corps et répartis sur une table les différents outils et produits nécessaires à mon travail. Au passé simple le premier verbe (pareil que les deux autres donc). - Citation :
-
- Citation :
- Je n’avais plus beaucoup de sang et le peu qui
me restait était coagulé. Mais cela avait l’avantage de moins brouiller mon travail. Je pense que la syntaxe doit être changée, rassemble les deux phrases par ex tu peux écrire : Jen’avais plus beaucoup de sang, et le peu qui me restait était coagulé, mais cela avait l’avantage de moins brouiller mon travail. Pareil que soso pour la syntaxe, mais je rajouterais un truc, c'est de mettre "coagulait" plutôt que "était coagulé". - Citation :
- Enlever le cœur était simple. Quelques coups de
ciseaux ici et là et le tour fut joué. Le plus compliqué était de mettre la pompe à sa place. A la place du point, je mettrais un point-virgule. - Citation :
- Après trois heures de travail et mille trois points de sutures j’étais comme neuf, enfin presque.
Les mille trois points de suture, c'est une hyperbole ou du vrai? (C'est peut-être bête comme question mais bon...) - Citation :
- car la nanotechnologie remplaça depuis longtemps mes gadgets mécaniques qui me permirent de traverser le temps
Le passé simple et "depuis longtemps" juste après me fait bizarre - Citation :
- J’attendais le jour où enfin je serais mort.
"où enfin je mourrais" serait mieux... _________________________ Oh la la ça y est j'ai fini... J'ai passé un temps indéfinissable sur ce texte! Blaine, t'as intérêt à corriger tout ce qu'on t'a soigneusement relevé sinon je fais un massacre (et je ferai gaffe à ce que tu finisses zombie, comme ça tu pourras faire la mise en page du recueil, et tu souffriras bien plus que si je te tuais (sans blaaaaague :/)). |
| | | Blaine Co-Admin
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| Sujet: Re: Zombies Sam 12 Juil - 2:45 | |
| Oula la vous m'en donnez du travail.... | |
| | | Blaine Co-Admin
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| Sujet: Re: Zombies Dim 17 Aoû - 0:43 | |
| Pour Soso:
Tu me demande de faire une seule phrase, mais je n'ai jamais vu que l'on mettait une virgule avant mais ou et
Vous en pensez quoi ?
Sinon c'est corrigé !!!!!!!!!!
merci aux correcteurs | |
| | | Tlina Co-Admin
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| Sujet: Re: Zombies Dim 17 Aoû - 14:53 | |
| Une virgule avant "et" ou "mais", c'est pas conseillé mais ça existe (d'ailleurs moi j'en use et j'en abuse). | |
| | | Tlina Co-Admin
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| Sujet: Re: Zombies Lun 18 Aoû - 14:47 | |
| Cela dit, Blaine, si tu as fait toutes les corrections que nous t'avons suggérées, tu peux intégrer ton texte au recueil sans état d'âme il me semble ! | |
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| Sujet: Re: Zombies | |
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