Dernier combat.

Accroché au bastingage, le Lion observait la mer. Le Lion, c'était le nom que lui avait donné l'équipage, en référence à son encombrante crinière. En fait, il n'avait pas de véritable nom. Il ne connaissait pas non plus son âge exact ; il se donnait un peu moins d'une quarantaine d'années. Abandonné à la naissance, il avait vécu dans un orphelinat, bien que la plupart de ses nuits aient été passées dehors. Vers ses dix ans, le capitaine Barbe d'Argent l'avait enrôlé en tant que moussaillon sur le Corbeau. Depuis, il vivait sur ce bateau, ne descendant à terre qu'occasionnellement pour faire des provisions ou marchander. Ah ! la terre. S'il avait su que leur halte d'il y avait quelques semaines était la dernière, le Lion en aurait profité. Mais, à présent, il était trop tard. Le navire qu'on appelait La Mort approchait. On distinguait parfaitement ses voiles noires, symbole d'une mort prochaine. Le Corbeau n'était pas assez puissant, pas assez rapide. Il était inutile de fuir. Leur seul espoir résidait dans un combat qui, selon une grande partie de l'équipage, était perdu d'avance. Mais il fallait combattre quand même, et tuer le plus de pirates possible. Aussi redoutable fût-il au combat, le Lion n'aimait pas tuer. Il tuait stoïquement, avec résignation, mais jamais avec plaisir. Le navire aux voiles noires n'était plus très loin, à présent. Le Lion apercevait de loin ses occupants qui s’affairaient. Il avait entendu des histoires à leur propos ; comme celle qui prétendait qu'ils avaient détruit tellement de vies que lorsqu'on les regardait dans les yeux, on y voyait se refléter leurs meurtres. Le Lion jeta un regard alentour. Tout l'équipage du Corbeau avait l'air terrifié ; certains priaient tandis que d'autres restaient simplement immobiles. Le capitaine Barbe d'Argent, debout un peu à l'écart, regardait le navire aux voiles noires avec un regard dépourvu de peur et d'une profonde gravité. Sa barbe autrefois d'un gris scintillant pendait tristement, grise, sale et emmêlée. Le Lion eut un pincement au cœur. La vie ne lui avait rien apporté qu'il puisse regretter, hormis l'équipage. Après toutes ces années, c'était un peu comme une grande famille. La Mort était juste à côté. Dans un instant, son équipage débarquerait. Le Lion tira son sabre. À l'aide de longs cordages, les occupants du navire aux sombres voiles s'élancèrent vers le Corbeau. C'est ainsi que le combat pour la vie commença.
Au moment même où les assaillants atterrirent sur le pont du Corbeau, le capitaine Barbe d'Argent poussa un cri de guerre, vite repris en écho par son équipage. Tous s'élancèrent alors en brandissant leurs armes. Le vacarme des épées qui s'entrechoquaient parvint aux oreilles du Lion. Lui-même s'élança sur leurs ennemis tandis qu'un éclair déchirait le ciel. Des gouttes de pluies jaillirent des nuages d'un gris soutenu. Tout n'était que confusion. Des corps commençaient à joncher le sol, le sang coulait à flots et le fracas du combat mêlé au tonnerre et au bruit de l'averse bourdonnait aux oreilles des combattants qui luttaient avec rage. La poudre des canons et des pistolets avait été rendue inutilisable par l'humidité. Le Lion prenait tellement de soin à abattre ses ennemis qu'il ne sentait pas ses nombreuses blessures. Un homme l'avait atteint à l'épaule, un autre à la cuisse et un troisième à l'abdomen. Alors qu'il venait de tuer un ennemi particulièrement robuste, il sembla enfin remarquer le sang qui coulait abondamment sur son corps. Un pirate profita de ce moment de faiblesse pour lui asséner le coup de grâce. Il lui enfonça son arme dans le dos. Le Lion s'effondra. Sa respiration était saccadée et il perdait énormément de sang. Il leva les yeux et parvint, à travers l'épaisse couche de nuages, à apercevoir les étoiles. C'est au son des cris, de la bataille et du tonnerre que le Lion ferma les yeux.

Ben ce qui me gêne c'est que ce texte ne raconte pas grand-chose (même si tu maîtrises très bien la langue et que tu as un style fluide)...

Oui, maintenant que tu le dis, c'est vrai. En fait, c'est cet aspect de calme avant la tempête que j'aimais bien je crois. Mais si ça ne convient pas, j'ai un autre texte de commencé en réserve mais je ne pourrai pas le poster ce soir, peut-être demain matin et encore... Enfin je peux m'arranger mais ce sera peut-être trop tard ?

Demain c'est la limite mais t'as le droit encore ^^

J'ai vraiment pas pu passer hier... Là encore je ne peux que passer en coup de vent donc je ne pourrais pas donner un autre texte que celui-ci si vraiment il ne convient pas. Vraiment désolée...

Accroché au bastingage, Le Lion observait la mer. Le Lion, c'était le nom que lui avait donné l'équipage, en référence à son encombrante crinière. En fait, il n'avait pas de véritable nom. Il ne connaissait pas non plus son âge exact; il se donnait un peu moins d'une quarantaine d'années. Abandonné à la naissance, il avait vécu dans un orphelinat, bien que la plupart de ses nuits aient été passées dehors. Vers ses dix ans, le capitaine Barbe d'Argent l'avait enrôlé en tant que moussaillon sur le Corbeau. Depuis, il vivait sur ce bateau, ne descendant à terre qu'occasionnellement pour faire des provisions ou marchander. Ah !, la terre. S'il avait su que leur halte d'il y avait quelques semaines était la dernière, Le Lion en aurait profité. Mais, à présent, il était trop tard. Le navire qu'on appelait La Mort approchait. On distinguait parfaitement ses voiles noires, symbole d'une mort prochaine. Le Corbeau n'était pas assez puissant, pas assez rapide. Il était inutile de fuir. Leur seul espoir résidait dans un combat qui, selon certains( ça ne va pas très bien certains, mets plutôt une grande partie ou quelque chose du genre) membres de l'équipage, était perdu d'avance. Mais il fallait combattre quand même, et tuer le plus de pirates possible. Aussi redoutable fût-il au combat, Le Lion n'aimait pas tuer. Il tuait stoïquement, avec résignation, mais jamais avec plaisir. Le navire aux voiles noires n'était plus très loin, à présent. Le Lion apercevait de loin ses occupants qui s’affairaient. Il avait entendu des histoires à leur propos; comme celle qui disait qu'ils avaient détruit tellement de vies qu'on voyait ces(plutôt leurs) meurtres à travers leurs yeux. Le Lion jeta un regard alentour. Tout l'équipage du Corbeau avait l'air terrifié; certains priaient tandis que d'autres restaient simplement immobiles. Le capitaine Barbe d'Argent, debout un peu à l'écart, regardait le navire aux voiles noires avec un regard dépourvu de peur et d'une profonde gravité. Sa barbe autrefois d'un gris scintillant pendait tristement, grise, sale et emmêlée. Le Lion eut un pincement au cœur. La vie ne lui apportait rien (ne lui avait rien apporté) qu'il
puisse regretter, hormis l'équipage. Après toutes ces années, ils étaient(plutôt c’était) un peu comme une grande famille. La Mort était juste à côté. Dans un instant, son équipage débarquerait. Le Lion tira son sabre. À l'aide de longs cordages, les occupants du navire aux sombres voiles s'élancèrent vers le Corbeau. C'est ainsi que le combat pour la vie commença.


voilà une petite correction,
je ne sais pas si c'est bien de mettre Le lion avec deux majuscules peut -être pourrait-on enlever celle à le

Ok alors je corrige et je vous montre le texte que j'ai ajouté pour faire plus narratif comme l'a dit Tlina ( j'ai encore le droit de retravailler le texte, il me semble ? )


Accroché au bastingage, le Lion observait la mer. Le Lion, c'était le nom que lui avait donné l'équipage, en référence à son encombrante crinière. En fait, il n'avait pas de véritable nom. Il ne connaissait pas non plus son âge exact; il se donnait un peu moins d'une quarantaine d'années. Abandonné à la naissance, il avait vécu dans un orphelinat, bien que la plupart de ses nuits aient été passées dehors. Vers ses dix ans, le capitaine Barbe d'Argent l'avait enrôlé en tant que moussaillon sur le Corbeau. Depuis, il vivait sur ce bateau, ne descendant à terre occasionnellement pour faire des provisions ou marchander. Ah !, la terre. S'il avait su que leur halte d'il y avait quelques semaines était la dernière, le Lion en aurait profité. Mais, à présent, il était trop tard. Le navire qu'on appelait La Mort approchait. On distinguait parfaitement ses voiles noires, symbole d'une mort prochaine. Le Corbeau n'était pas assez puissant, pas assez rapide. Il était inutile de fuir. Leur seul espoir résidait dans un combat qui, selon une grande partie de l'équipage, était perdu d'avance. Mais il fallait combattre quand même, et tuer le plus de pirates possible. Aussi redoutable fût-il au combat, le Lion n'aimait pas tuer. Il tuait stoïquement, avec résignation, mais jamais avec plaisir. Le navire aux voiles noires n'était plus très loin, à présent. Le Lion apercevait de loin ses occupants qui s’affairaient. Il avait entendu des histoires à leur propos; comme celle qui disait qu'ils avaient détruit tellement de vies qu'on voyait leurs meurtres à travers leurs yeux. Le Lion jeta un regard alentour. Tout l'équipage du Corbeau avait l'air terrifié; certains priaient tandis que d'autres restaient simplement immobiles. Le capitaine Barbe d'Argent, debout un peu à l'écart, regardait le navire aux voiles noires avec un regard dépourvu de peur et d'une profonde gravité. Sa barbe autrefois d'un gris scintillant pendait tristement, grise, sale et emmêlée. Le Lion eut un pincement au cœur. La vie ne lui avait rien apporté qu'il puisse regretter, hormis l'équipage. Après toutes ces années, c'était un peu comme une grande famille. La Mort était juste à côté. Dans un instant, son équipage débarquerait. Le lion tira son sabre. À l'aide de longs cordages, les occupants du navire aux sombres voiles s'élancèrent vers le Corbeau. C'est ainsi que le combat pour la vie commença.
Au moment même où les assaillants atterrirent sur le pont du Corbeau, le capitaine Barbe d'Argent poussa un cri de guerre, vite repris en écho par son équipage. Tous s'élancèrent alors en brandissant leur armes. Le vacarme des épées qui s'entrechoquaient parvint au oreilles du Lion. Lui-même s'élança sur leurs ennemis en même temps qu'un éclair déchira le ciel. Tout n'était que confusion. Des corps commençaient à joncher le sol, le sang coulait à flots et le fracas du combat mêlé au tonnerre bourdonnait aux oreilles des combattants qui luttaient avec rage. Le Lion prenait tellement de soin à abattre ses ennemis qu'il ne sentait pas ses nombreuses blessures. Un homme l'avait atteint à l'épaule, un autre à la cuisse et un troisième à l'abdomen. Alors qu'il venait de tuer un ennemis particulièrement robuste, il sembla enfin remarquer le sang qui coulait abondamment sur son corps. Un pirate profita de ce moment de faiblesse pour lui asséner le coup de grâce. Il lui enfonça son arme dans le dos. Le Lion s'effondra. Sa respiration était saccadée et il perdait énormément de sang. Il leva les yeux et parvint, à travers l'épaisse couche de nuages, à apercevoir les étoiles. C'est au son des cris, de la bataille et du tonnerre que le Lion ferma les yeux.


Voilà, j'espère que c'est mieux ainsi. Mais j'y pense, est-ce-que le titre convient encore à présent ?

Accroché au bastingage, le Lion observait la mer. Le Lion, c'était le nom que lui avait donné l'équipage, en référence à son encombrante crinière. En fait, il n'avait pas de véritable nom. Il ne connaissait pas non plus son âge exact ; il se donnait un peu moins d'une quarantaine d'années. Abandonné à la naissance, il avait vécu dans un orphelinat, bien que la plupart de ses nuits aient été passées dehors. Vers ses dix ans, le capitaine Barbe d'Argent l'avait enrôlé en tant que moussaillon sur le Corbeau. Depuis, il vivait sur ce bateau, ne descendant à terre qu'occasionnellement pour faire des provisions ou marchander. Ah !, la terre. S'il avait su que leur halte d'il y avait quelques semaines était la dernière, le Lion en aurait profité. Mais, à présent, il était trop tard. Le navire qu'on appelait La Mort approchait. On distinguait parfaitement ses voiles noires, symbole d'une mort prochaine. Le Corbeau n'était pas assez puissant, pas assez rapide. Il était inutile de fuir. Leur seul espoir résidait dans un combat qui, selon une grande partie de l'équipage, était perdu d'avance. Mais il fallait combattre quand même, et tuer le plus de pirates possible. Aussi redoutable fût-il au combat, le Lion n'aimait pas tuer. Il tuait stoïquement, avec résignation, mais jamais avec plaisir. Le navire aux voiles noires n'était plus très loin, à présent. Le Lion apercevait de loin ses occupants qui s’affairaient. Il avait entendu des histoires à leur propos ; comme celle qui disait qu'ils avaient détruit tellement de vies qu'on voyait leurs meurtres à travers leurs yeux. Le Lion jeta un regard alentour. Tout l'équipage du Corbeau avait l'air terrifié ; certains priaient tandis que d'autres restaient simplement immobiles. Le capitaine Barbe d'Argent, debout un peu à l'écart, regardait le navire aux voiles noires avec un regard dépourvu de peur et d'une profonde gravité. Sa barbe autrefois d'un gris scintillant pendait tristement, grise, sale et emmêlée. Le Lion eut un pincement au cœur. La vie ne lui avait rien apporté qu'il puisse regretter, hormis l'équipage. Après toutes ces années, c'était un peu comme une grande famille. La Mort était juste à côté. Dans un instant, son équipage débarquerait. Le Lion tira son sabre. À l'aide de longs cordages, les occupants du navire aux sombres voiles s'élancèrent vers le Corbeau. C'est ainsi que le combat pour la vie commença.
Au moment même où les assaillants atterrirent sur le pont du Corbeau, le capitaine Barbe d'Argent poussa un cri de guerre, vite repris en écho par son équipage. Tous s'élancèrent alors en brandissant leurs armes. Le vacarme des épées qui s'entrechoquaient parvint aux oreilles du Lion. Lui-même s'élança sur leurs ennemis en même temps qu'un éclair déchira le ciel. Tout n'était que confusion. Des corps commençaient à joncher le sol, le sang coulait à flots et le fracas du combat mêlé au tonnerre bourdonnait aux oreilles des combattants qui luttaient avec rage. Le Lion prenait tellement de soin à abattre ses ennemis qu'il ne sentait pas ses nombreuses blessures. Un homme l'avait atteint à l'épaule, un autre à la cuisse et un troisième à l'abdomen. Alors qu'il venait de tuer un ennemis (pas de "s") particulièrement robuste, il sembla enfin remarquer le sang qui coulait abondamment sur son corps. Un pirate profita de ce moment de faiblesse pour lui asséner le coup de grâce. Il lui enfonça son arme dans le dos. Le Lion s'effondra. Sa respiration était saccadée et il perdait énormément de sang. Il leva les yeux et parvint, à travers l'épaisse couche de nuages, à apercevoir les étoiles. C'est au son des cris, de la bataille et du tonnerre que le Lion ferma les yeux.

T'as qu'à mettre "Le Lion" comme titre ^^

Là comme ça je suis contente ^^

Ok merci je vais éditer le premier message =)
Par contre pour le titre je voulais mettre "Dernier combat" ou un truc du genre mais "Le Lion" c'est bien aussi... Vous en pensez quoi ?

Perso je préfère Le Lion mais c'est moi qui l'ai proposé donc...
Les autres, que vous soyez correcteur ou pas, vous pouvez donner votre avis!

Pour le titre, je pense que dernier combat c'est mieux parce que le lion on en a tout du long!!

Oui c'est un peu ce que je pensais aussi...
J'attends quelques autres avis si possible =)

Accroché au bastingage, le Lion observait la mer. Le Lion, c'était le nom que lui avait donné l'équipage, en référence à son encombrante crinière. En fait, il n'avait pas de véritable nom. Il ne connaissait pas non plus son âge exact ; il se donnait un peu moins d'une quarantaine d'années. Abandonné à la naissance, il avait vécu dans un orphelinat, bien que la plupart de ses nuits aient été passées dehors. Vers ses dix ans, le capitaine Barbe d'Argent l'avait enrôlé en tant que moussaillon sur le Corbeau. Depuis, il vivait sur ce bateau, ne descendant à terre qu'occasionnellement pour faire des provisions ou marchander. Ah !, la terre. S'il avait su que leur halte d'il y avait quelques semaines était la dernière, le Lion en aurait profité. Mais, à présent, il était trop tard. Le navire qu'on appelait La Mort approchait. On distinguait parfaitement ses voiles noires, symbole d'une mort prochaine. Le Corbeau n'était pas assez puissant, pas assez rapide. Il était inutile de fuir. Leur seul espoir résidait dans un combat qui, selon une grande partie de l'équipage, était perdu d'avance. Mais il fallait combattre quand même, et tuer le plus de pirates possible. Aussi redoutable fût-il au combat, le Lion n'aimait pas tuer. Il tuait stoïquement, avec résignation, mais jamais avec plaisir. Le navire aux voiles noires n'était plus très loin, à présent. Le Lion apercevait de loin ses occupants qui s’affairaient. Il avait entendu des histoires à leur propos ; comme celle qui disait qu'ils avaient détruit tellement de vies qu'on voyait leurs meurtres à travers leurs yeux(ça fait bizarre le à travers leurs yeux, peut-être pourrais tu présenter cela autrement, ex: lorsqu'on les regardait on voyait leurs meurtres luire dans leurs yeux). Le Lion jeta un regard alentour. Tout l'équipage du Corbeau avait l'air terrifié ; certains priaient tandis que d'autres restaient simplement immobiles. Le capitaine Barbe d'Argent, debout un peu à l'écart, regardait le navire aux voiles noires avec un regard dépourvu de peur et d'une profonde gravité. Sa barbe autrefois d'un gris scintillant pendait tristement, grise, sale et emmêlée. Le Lion eut un pincement au cœur. La vie ne lui avait rien apporté qu'il puisse regretter, hormis l'équipage. Après toutes ces années, c'était un peu comme une grande famille. La Mort était juste à côté. Dans un instant, son équipage débarquerait. Le Lion tira son sabre. À l'aide de longs cordages, les occupants du navire aux sombres voiles s'élancèrent vers le Corbeau. C'est ainsi que le combat pour la vie commença.
Au moment même où les assaillants atterrirent sur le pont du Corbeau, le capitaine Barbe d'Argent poussa un cri de guerre, vite repris en écho par son équipage. Tous s'élancèrent alors en brandissant leurs armes. Le vacarme des épées qui s'entrechoquaient parvint aux oreilles du Lion(juste une petite question remarque, il n'y a pas de pistolet?qui font aussi du bruit?, je titille un peu là ^^). Lui-même s'élança sur leurs ennemis en même temps(tandis ferait mieux je pense mais choisi ) qu'un éclair déchirait le ciel. Tout n'était que confusion. Des corps commençaient à joncher le sol, le sang coulait à flots et le fracas du combat mêlé au tonnerre bourdonnait aux oreilles des combattants qui luttaient avec rage. Le Lion prenait tellement de soin à abattre ses ennemis qu'il ne sentait pas ses nombreuses blessures. Un homme l'avait atteint à l'épaule, un autre à la cuisse et un troisième à l'abdomen. Alors qu'il venait de tuer(tu peux aussi mettre, d'abattre mais pareil choisi) un ennemi particulièrement robuste, il sembla enfin remarquer le sang qui coulait abondamment sur son corps. Un pirate profita de ce moment de faiblesse pour lui asséner le coup de grâce. Il lui enfonça son arme dans le dos. Le Lion s'effondra. Sa respiration était saccadée et il perdait énormément de sang. Il leva les yeux et parvint, à travers l'épaisse couche de nuages, à apercevoir les étoiles. C'est au son des cris, de la bataille et du tonnerre que le Lion ferma les yeux.



voilà je n'ai pas eu beaucoup de chose à dire ^^
sinon j'adore les deux dernière phrases!!!!!

Merci =)

J'ai corrigé, par contre jsuis pas sûre pour le truc "à travers leurs yeux" mais bon, dis moi si ça va.
Et les pistolets, j'y ai pensé en tapant le texte... Après j'ai aussi pensé aux canons, mais j'me suis dit tant pis. C'est pas trop gênant, si ?
Et pour le titre, pour l'instant je pense mettre "Dernier combat", mais si quelqu'un a une remarque...

Y a des éclairs pendant le combat, t'as qu'à rajouter une ou deux phrases pour dire qu'il pleut et que la poudre à canon était mouillée, donc inutilisable. Par contre les pistolets, je sais pas comment ça marche!
Mais c'est pas gênant sinon, perso le fait qu'il y en ait pas m'a pas choquée.

J'en sais pas plus que toi sur les pistolets... Par contre j'ai ajouté deux-trois trucs à propos des canons et de la pluie ( en gras ), dis-moi si ça va.

Accroché au bastingage, le Lion observait la mer. Le Lion, c'était le nom que lui avait donné l'équipage, en référence à son encombrante crinière. En fait, il n'avait pas de véritable nom. Il ne connaissait pas non plus son âge exact ; il se donnait un peu moins d'une quarantaine d'années. Abandonné à la naissance, il avait vécu dans un orphelinat, bien que la plupart de ses nuits aient été passées dehors. Vers ses dix ans, le capitaine Barbe d'Argent l'avait enrôlé en tant que moussaillon sur le Corbeau. Depuis, il vivait sur ce bateau, ne descendant à terre qu'occasionnellement pour faire des provisions ou marchander. Ah !, la terre. S'il avait su que leur halte d'il y avait quelques semaines était la dernière, le Lion en aurait profité. Mais, à présent, il était trop tard. Le navire qu'on appelait La Mort approchait. On distinguait parfaitement ses voiles noires, symbole d'une mort prochaine. Le Corbeau n'était pas assez puissant, pas assez rapide. Il était inutile de fuir. Leur seul espoir résidait dans un combat qui, selon une grande partie de l'équipage, était perdu d'avance. Mais il fallait combattre quand même, et tuer le plus de pirates possible. Aussi redoutable fût-il au combat, le Lion n'aimait pas tuer. Il tuait stoïquement, avec résignation, mais jamais avec plaisir. Le navire aux voiles noires n'était plus très loin, à présent. Le Lion apercevait de loin ses occupants qui s’affairaient. Il avait entendu des histoires à leur propos ; comme celle qui prétendait qu'ils avaient détruit tellement de vies que lorsqu'on les regardait dans les yeux, on y voyait se refléter leurs meurtres. Le Lion jeta un regard alentour. Tout l'équipage du Corbeau avait l'air terrifié ; certains priaient tandis que d'autres restaient simplement immobiles. Le capitaine Barbe d'Argent, debout un peu à l'écart, regardait le navire aux voiles noires avec un regard dépourvu de peur et d'une profonde gravité. Sa barbe autrefois d'un gris scintillant pendait tristement, grise, sale et emmêlée. Le Lion eut un pincement au cœur. La vie ne lui avait rien apporté qu'il puisse regretter, hormis l'équipage. Après toutes ces années, c'était un peu comme une grande famille. La Mort était juste à côté. Dans un instant, son équipage débarquerait. Le Lion tira son sabre. À l'aide de longs cordages, les occupants du navire aux sombres voiles s'élancèrent vers le Corbeau. C'est ainsi que le combat pour la vie commença.
Au moment même où les assaillants atterrirent sur le pont du Corbeau, le capitaine Barbe d'Argent poussa un cri de guerre, vite repris en écho par son équipage. Tous s'élancèrent alors en brandissant leurs armes. Le vacarme des épées qui s'entrechoquaient parvint aux oreilles du Lion. Lui-même s'élança sur leurs ennemis tandis qu'un éclair déchirait le ciel. Des gouttes de pluies jaillirent des nuages d'un gris soutenu. Tout n'était que confusion. Des corps commençaient à joncher le sol, le sang coulait à flots et le fracas du combat mêlé au tonnerre et au bruit de l'averse bourdonnait aux oreilles des combattants qui luttaient avec rage. La poudre des canons avait été rendue inutilisable par l'humidité. Le Lion prenait tellement de soin à abattre ses ennemis qu'il ne sentait pas ses nombreuses blessures. Un homme l'avait atteint à l'épaule, un autre à la cuisse et un troisième à l'abdomen. Alors qu'il venait de tuer un ennemi particulièrement robuste, il sembla enfin remarquer le sang qui coulait abondamment sur son corps. Un pirate profita de ce moment de faiblesse pour lui asséner le coup de grâce. Il lui enfonça son arme dans le dos. Le Lion s'effondra. Sa respiration était saccadée et il perdait énormément de sang. Il leva les yeux et parvint, à travers l'épaisse couche de nuages, à apercevoir les étoiles. C'est au son des cris, de la bataille et du tonnerre que le Lion ferma les yeux.

Pour la phrase sur la poudre à canon, je verrais plus quelque chose comme "La poudre des canons étant inutilisable à cause de l'humidité, le combat se déroula uniquement aux armes blanches"... Remarque... Peut-être que faut pas s'embêter
Sinon le reste me va.

Moi aussi je trouve que ça va très bien!
tu peux laisser le à travers leurs yeux ça ne dérange pas vraiment du tout!!
les pistolets marchent aussi avec de la poudre alors si ils sont mouillé c'est vrai que ça résout le problème!

Moi ça ne me dérange pas de remplacer ma phrase par la tienne, Soeurdunefolle ^^
Mais est-ce-que je précise aussi pour les pistolets ?

Non, finalement tu gardes la tienne et tu rajoutes l'histoire des pistolets dedans ^^

C'est fait =)
Et j'ai mis "Dernier combat" comme titre, comme je pensais mettre au départ.

Ouaiiiiis un texte de fini de plus! Je le laisse ouvert au cas où tlina aurait des objections!

Citation :

Ah !, la terre.

Bug de ponctuation ! Faut choisir : soit "Ah ! la terre." soit "Ah, la terre !"

Ah? Il me semblait l'avoir déjà vu plusieurs fois dans des bouquins pourtant... Du coup j'avais pas relevé.