Extrait

Bonjour,
avant de poster dans Vos textes, je poste ici afin de corriger mes fautes d'orthographe, sivous voyez des repetions prevenez moi ^^ mais est ce que vous pourrez corriger mes fautes de syntaxes s'il vous plait . j'ai beaucoupde probleme dans ce domaine là
je compte editer ce message apres


c'est un extrait de mon roman, il doit se situer au milieu normalement :

Ce soir là, une pluie impétueuse commença à se répandre sur la cité. Dans mon lit, je me crispai. Mes tournements vont me torturer encore et encore jusqu’au bout de mon existence. Comme tous les soirs auparavant, j’essai de me rendormir, de ne pas y penser, mais comme toute les fois c’est en vain. Cela ne sert à rien. Il faut que je sorte car si je reste encore plus longtemps là, je m’étoufferai, je ne peux faire autrement. Je ne peux fuir l’inévitable. Je prends pas la peine de me couvrir et sors pour respirer un peu. A peine ai-je posé un pied à l’extérieur que mes jambes bougent tous seuls. Mon esprit réalise seulement quelques secondes plus tard que je me suis mis à courir dans les ruelles dépeuplées d’une cité inconnue. Je n’entends rien d’autre que mes battements de cœur. Le temps s’est arrêté en cet instant. J’arrive dans un coin de la ville (je décrirai le lieu plus tard) et mon corps s’arrête de lui-même. Je me rends compte que je devrai passer la nuit dehors, étant donné que je ne connais pas le chemin de retour. C’est l’obscurité profonde, il y a rien autour de moi. Je suis tout seul …
La pluie efface, balaye, cache, libère. J’essaie de me calmer, d’oublier, alors je ferme les yeux, mais des flashs familiers se répètent dans ma tête. Je m’écroule par terre. Mes cauchemars me paraissent de plus en plus réels. Je les vois distinctement, ils sont si réels que j’ai envie de les effleurer pour une dernière fois… ainsi les larmes coulent. Je retiens à peine un sanglot étouffé. Mes larmes chaudes coulent sur ma peau froide, elles soulagent mon cœur meurtri. Je m’arrête. Je serre les poings attrapant par là quelques grains de sable. Je suis Arzhael, fils de Arzel, roi d’Arzhvael et de dame Elerinna. Je n’ai pas le droit de lamenter sur mon sort. Je dois prendre sur moi et venger ma famille. Oui, venger ma famille, restaurer l’honneur. Je ne vis que pour cela : pour venger. Il me reste plus rien. Depuis, je n’ai plus personne. Je suis seul, la solitude est mon amie, elle ne me fait pas peur. Pourtant, j’ai un vide en moi, mon cœur est déchiré, il met sa main droite sur son cœur comme si on l’arrachait. Je hurle de rage contre l’Univers entier et moi même. L’eau qui sort de mes yeux est souillée, elle n’a nul raison d’y être. Je dois venger car je ne veux plus de ce sang pur sur moi .
- Arzhael ?

Avant de faire quelque correction que ce soit, j'ai besoin de savoir une chose : ton texte est-il au présent ou au passé ?

au present

La correction arrive avec un peu de retard !


Ce soir, une pluie impétueuse commence à se répandre sur la cité. Dans mon lit, je me crispe. Mes tournements (??? tourments, tu veux dire ?) vont me torturer encore et encore jusqu’au bout de mon existence. Comme tous les soirs auparavant, j’essaie de me rendormir, de ne pas y penser, mais comme toutes les fois c’est en vain. Cela ne sert à rien. Il faut que je sorte car si je reste encore plus longtemps là, je m’étoufferai, je ne peux faire autrement. Je ne peux fuir l’inévitable. Je prends pas la peine de me couvrir et sors pour respirer un peu. A peine ai-je posé un pied à l’extérieur que mes jambes bougent toutes seules. Mon esprit réalise seulement quelques secondes plus tard que je me suis mis à courir dans les ruelles dépeuplées d’une cité inconnue. Je n’entends rien d’autre que mes battements de cœur. Le temps s’est arrêté en cet instant. J’arrive dans un coin de la ville (je décrirai le lieu plus tard) et mon corps s’arrête de lui-même. Je me rends compte que je devrai passer la nuit dehors, étant donné que je ne connais pas le chemin de retour. C’est l’obscurité profonde, il y a rien autour de moi. Je suis tout seul …
La pluie efface, balaye, cache, libère. J’essaie de me calmer, d’oublier, alors je ferme les yeux, mais des flashs familiers se répètent dans ma tête. Je m’écroule par terre. Mes cauchemars me paraissent de plus en plus réels. Je les vois distinctement, ils sont si réels que j’ai envie de les effleurer pour une dernière fois… ainsi les larmes coulent. Je retiens à peine un sanglot étouffé. Mes larmes chaudes coulent sur ma peau froide, elles soulagent mon cœur meurtri. Je m’arrête. Je serre les poings attrapant par là quelques grains de sable. Je suis Arzhael, fils de Arzel, roi d’Arzhvael et de dame Elerinna. Je n’ai pas le droit de lamenter sur mon sort. Je dois prendre sur moi et venger ma famille. Oui, venger ma famille, restaurer l’honneur. Je ne vis que pour cela : pour venger. Il me reste plus rien. Depuis, je n’ai plus personne. Je suis seul, la solitude est mon amie, elle ne me fait pas peur. Pourtant, j’ai un vide en moi, mon cœur est déchiré, il met sa main droite sur son cœur comme si on l’arrachait (qui met sa main droite sur son coeur ???). Je hurle de rage contre l’Univers entier et contre moi même. L’eau qui sort de mes yeux est souillée, elle n’a nulle raison d’y être. Je dois venger car je ne veux plus de ce sang pur sur moi .
- Arzhael ?

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Je me suis contentée de corriger les fautes d'orthographe mais il y a beaucoup de maladresses d'expression, qui tranchent d'autant plus qu'il y a de très bons passages. Je te suggère de relire attentivement ton texte.
Sinon, pour la logique, j'ai mis au présent les verbes au passé simple du début de l'extrait.

merci ^^

pourrait tu m'eclaircir pour les maladresses d'expression .

enfait tu n'aurait pas des astuces pour que je corrige mes maladresses ?

Eh bien dans certaines phrases, soit tu en rajoutes, soit tu n'es pas claire. C'est d'autant plus marquant qu'il y a une vraie recherche de style dans ton texte...

Je te détaille si tu veux...

Citation :

jusqu’au bout de mon existence

Le mot "bout" me semble un peu lourd, "fin" est plus commun mais plus logique dans ce contexte.

Citation :

Comme tous les soirs auparavant

Je ne comprends pas la fonction du mot "auparavant"... Tu veux dire "comme tous les soirs précédents" ? Et même ainsi c'est pas très joli... Pourquoi ne pas dire simplement "comme tous les soirs" ?

Citation :

mais comme toutes les fois c’est en vain.

Déjà tu répètes le mot "comme" dans la même phrase. Soit c'est involontaire, auquel cas il faut l'enlever, soit c'est voulu : il faut alors plus le marquer, peut-être même en répétant carrément "comme tous les soirs" (d'autant plus que le mot "fois" est un peu maladroit).

Citation :

car si je reste encore plus longtemps là

Là aussi ce morceau de phrase a l'air bancal et déséquilibre la phrase où il se trouve. En fait je dirais qu'ici tu ne donnes pas assez de détails. Le mot "là" est vague : précise "enfermé dans cette chambre" ou "immobile". De plus, le "encore plus lontemps" est redondant : il faudrait trouver quelque chose de plus léger.

Citation :

dans un coin de la ville (je décrirai le lieu plus tard)

Tu n'as pas besoin de le dire. Le problème, c'est que cette parenthèse dévoile, à un moment de tension psychologique, l'artifice de l'écrivain en train d'écrire son texte... et c'est mal venu si tu veux que le lecteur ressente directement les émotions du personnage. Sans le faire exprès, tu prends de la distance et je ne crois pas que ce soit nécessaire.

Citation :

et mon corps s’arrête de lui-même

Il y a le verbe arrêter dans la ligne juste au-dessus, ça fait une répétition pas très agréable.

Citation :

j’ai envie de les effleurer pour une dernière fois

On dit soit "pour la dernière fois" soit "une dernière fois", sans "pour".

Citation :

Je serre les poings attrapant par là quelques grains de sable.

Le "attrapant par là" casse le rythme. Ce serait bien de remplacer ce participe présent par une subordonnée relative, par exemple.

Citation :

Je ne vis que pour cela : pour venger

La répétition du pour est pas très belle, moi je remplacerais "pour venger" par "la vengeance", c'est plus souple.

Citation :

Depuis, je n’ai plus personne.

Depuis quoi ?

Citation :

il met sa main droite sur son cœur comme si on l’arrachait

Alors là j'ai rien compris. C'est qui "il" ?

Citation :

L’eau qui sort de mes yeux est souillée, elle n’a nulle raison d’y être

D'être où ? Dans ses yeux ? Et quel rapport avec le fait qu'elle soit souillée ?

Je rappelle que beaucoup de ces critiques relèvent de mon goût personnel et pas de mon travail de correctrice (car je corrige l'ORTHOGRAPHE, moi...). Tu as parfaitement le droit de les rejeter en bloc et de les trouver débiles.

Citation :

Je rappelle que beaucoup de ces critiques relèvent de mon goût personnel et pas de mon travail de correctrice (car je corrige l'ORTHOGRAPHE, moi...). Tu as parfaitement le droit de les rejeter en bloc et de les trouver débiles.

Au contraire ça m’aide beaucoup ^^c’est grâce aux critiques qu’on s’améliore.
en tout cas merci, vais les corriger ^^