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 Les textes de la première manche.

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Era
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MessageSujet: Les textes de la première manche.   Les textes de la première manche. Icon_minitimeMer 26 Mar - 15:53

Texte 1
Tlina


Rêve prémonitoire ?
ou Pour quelques secondes d'amour





Je suis tombée sur lui au coin de la rue des Etourneaux, sans m'y attendre le moins du monde.J'ai dû faire un bond d'au moins un mètre sous l'effet de la surprise, vu les regards ébahis que m'ont jetés les passants.
- Julien, dis-je dans un souffle, à peine remise de ma surprise.
C'est bien lui qui vient de surgir de la rue adjacente et, comme à chaque fois que je le vois ces derniers temps, les effets de sa présence ne se font pas attendre : mon coeur, cette espèce de grosse pompe à injecter le sang dans mes veines si j'en crois mes lointains cours de biologie, s'emballe sur un rythme endiablé, comme s'il avait décidé, sans l'accord de mon cerveau, de danser la salsa dans son coin ; résultat : le sang se presse, coulant plus vite et plus fort jusqu'aux extrémités de mes veines, même les petites veinules de la surface de l'épiderme sont soudain inondées, et mes joues s'empourprent spontanément et bien contre mon gré. Maudissant intérieurement, dans la partie de mon cerveau encore lucide, mes hormones de fin d'adolescence, je bégaye un "bonjour".
- Christelle, dit Julien de sa voix profonde, dont la chaleur m'évoque toujours, plus ou moins consciemment, la douce caresse d'un rayon de soleil sur ma peau... Il faut que je te parle.
Je sens les quelques débris de lucidité de mon esprit sombrer, et mes pensées se mettent à filer comme des astéroïdes, chutant et s'enflammant sans but ni logique, à la vitesse imprimée par mon coeur qui bat à tout rompre. Qu'il me parle ? Il faut qu'il me parle ? Qu'a-t-il d'important à me dire ? Pourquoi ce sourire sur ses lèvres, cet air doux et confiant qui transforme mes jambes en papier mâché ? Il faut m'appuyer sur le mur à côté de moi, je vais tomber... Mais que se passe-t-il ? Pourquoi cette expression dans les yeux de Julien, de mon ami, de mon ami que depuis quelques mois, sans oser le dire, par lâcheté, par peur de la vérité, je ne peux plus voir comme un ami ? Que va-t-il bien me dire ?
Mais Julien ne parle même pas. Comme s'il avait déjà lu toutes mes pensées, connu mes plus secrets désirs, il entoure ma taille de ses bras - mes yeux s'écarquillent, c'est trop beau, je n'y crois pas - il s'approche lentement - mon coeur a décidé de battre le record de nombre de battements à la seconde - il va m'embrasser - ma poitrine va exploser...
- Non !
Incroyable. Au dernier moment, mes mains se sont posées sur sa poitrine et d'un coup, violemment, l'ont repoussé. Dans un réflexe. Mon corps a comme agi malgré moi.
Julien est surpris. Un ange passe, des secondes interminables de silence pendant lesquelles je maudis mes bras, je maudis mes mains, est-ce que je leur ai demandé quelque chose à celles-là, qu'elles me laissent embrasser l'homme que j'aime, c'est moi qui commande ici...
Julien finit par balbutier, en fronçant les sourcils :
- Je suis désolé... Je croyais...
"Tu croyais bien !" veux-je l'interrompre, veux-je crier, envoyant timidité et amitié à tous les diables, prête à m'avancer vers lui, à me mettre, moi, à l'embrasser - mais ma bouche se révolte à son tour, et les mots qui en sortent ne sont pas ceux auxquels j'avais pensé :
- VA T'EN !
Julien ne comprend pas, mais sa susceptibilité se froisse et, dans un mouvement de colère, il me lance un regard furieux de dépit et d'affection blessée, me tourne le dos et traverse la rue à grands pas rageurs ; il pose à peine les pieds sur le trottoir d'en face que moi, alors qu'une grande voiture noire manque de le frôler, lancée à toute vitesse et ouvrant son chemin à grands coups de klaxon, je commence à faiblir, mes yeux s'embuent, fichues larmes, décidément, elles ne m'obéissent pas plus que le reste de mon corps... Qu'est-ce qui m'a prise... Qu'est-ce que j'ai fait...

...................................................

Drôle de rêve.
Voilà ce que je pense en me levant. Il arrive souvent qu'en rêve on adopte une conduite illogique mais là, c'est le comble de l'incohérence. Si cela m'arrivait, si je voyais Julien prêt à m'embrasser, bien sûr je n'hésiterais pas une seule seconde : je lui roulerais un patin à en faire pâlir Philippe Candeloro.
Drôle de rêve. Mais assez réel, assez précis. Une amie, il y a longtemps, m'avait dit que les rêves qu'on a l'impression de vraiment vivre peuvent être prémonitoires. Heureusement je ne crois pas à de telles idioties.
Il est temps d'aller à la faculté : je saisis mon manteau, mon sac, et je sors de mon petit appartement. Je presse le pas : l'heure tourne, si je rate le premier train je serai en retard... Je remonte la rue des Etourneaux, la gare n'est plus très loin...
Et là, surprise.
Mon bond a bien atteint les deux mètres.
- Julien, dis-je dans un souffle.
- Christelle, répond-il de sa voix, avec exactement le même ton, la même chaleur, la même expression, à la fois grave et douce que dans mon rêve ! Et se déclenchent soudain, simultanément, tous les dérèglements physiques que j'ai subis en songe : coeur trépidant, rougeur involontaire, jambes en coton, pensées qui filent... Mon rêve était prémonitoire ? Mon rêve était-il vraiment prémonitoire ? Il s'approche... Mais si ! Mon rêve, ce fichu rêve... Non, il ne l'était pas ! Ou pas entièrement, car il est si près... Je ne vais pas le repousser... Pourquoi ferais-je cela, j'aime tellement Julien... Il me prend par la taille... Pourquoi faudrait-il que je le repousse, que je refuse ce baiser... ces quelques secondes d'amour...
Non. Mes mains sont restées à leur place.
Quelques instants d'infini, quand nos lèvres se touchent.
Il relève la tête, le regard pétillant.
- Je t'aime, Christelle...
Je me dégage doucement.
- Il faut que j'aille à la fac, dis-je avec un sourire. Je te reverrai ce
soir, je te le promets.
Il me rend mon sourire, il s'éloigne avec un petit salut de la main, il traverse la rue...
La voiture noire surgit alors, et ses coups de klaxon hurlant se répercutent entre les façades des maisons qui bordent la rue, comme un chant de guerre, un chant de mort. Le bruit du choc me tétanise...
Les passants alentour éclatent en cris.
- Appelez la police ! les pompiers ! une ambulance ! Vite, vite ! Au secours ! Chauffard ! Ce jeune homme perd du sang !
Mais je reste là, sans bouger. Et je comprends le sens de mon rêve. Si je l'avais repoussé, il serait parti plus tôt, et la voiture n'aurait fait que le frôler... Voilà ce que j'aurais dû faire ; rejeter son baiser, sacrifier à sa vie ces quelques secondes d'amour pour lesquelles il gît là, au milieu de la rue... Pourquoi n'ai-je pas compris... Qu'est-ce qui m'a prise... Qu'est-ce que j'ai fait...


Edit : J'ai arrangé la mise en page. Tlina.
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MessageSujet: Re: Les textes de la première manche.   Les textes de la première manche. Icon_minitimeMer 26 Mar - 15:55

Texte 2
Elbereth



Rêver, c'est simple comme fermer les yeux. Rêver, c'est se soustraire, l'espace d'un instant, à une réalité parfois trop dure à porter. Je ne me rappelle aucun des rêves que j'ai, un jour, pu faire. Aucun, sauf celui que je vais vous conter. Habituellement, mes paupières s'alourdissent et, lentement, je sombre dans le noir néant du sommeil. À mon réveil, seules les ténèbres marquent ma mémoire. C'est ainsi que je pris peur, la première fois que la nuit me laissait des indices de mes vagabondages au clair de lune. Moi, qui ignorais toujours tout de mes songes, je me souvenais de chacun des détails. Je marchais, seule, sur une plage déserte au crépuscule. Le contact du sable mouillé d'écume sous mes pieds me faisait frissonner. Je ne pouvais qu'apprécier la légère brise qui faisait voler mes cheveux dans tous les sens. Et bercée par le doux son des vagues, je m'allongeais, les yeux rivés vers un ciel noir. Je me délectais de la caresse des éclats de pierre froids sur ma peau. Les heures passèrent et je fus bientôt fascinée par la beauté discrète d'une voûte céleste se constellant peu à peu d'étoiles. Mon imagination joua alors avec ces milliers de points brillants, leur faisant prendre les formes les plus inattendues et les plus poétiques. Couchée sur cette plage, je me sentais mieux que jamais. Quand soudain, j'entendis des bruits de pas derrière moi. Je me levais alors brusquement, fâchée que quelqu'un osait rompre ce moment de délicatesse mélancolique. Mais si la colère s'était emparée de moi, celle-ci s'était enfuie sans demander son reste, terrassée par l'oeil bleuté du nouvel arrivant. Mon regard plongé dans le sien, c'était comme si je l'avais toujours connu, j'avais l'intime conviction de n'avoir jamais attendu que lui. Il était grand et fin. Ses cheveux valsaient comme les miens au rythme du vent nocturne. Je savais son regard clair posé sur moi lorsqu'il me tendit la main. J'entendais battre son coeur à la chamade au creux de ma poitrine. Le mien était à l'unisson ; je le sentais nichée au coeur de ses bras. J'en avais désormais conscience : il était moi, ma moitié, mon âme soeur. Il était celui dont j'avais rêvé tous les soirs sans le savoir. Et il s'éloignerait encore de moi le matin venu, comme il avait fait jusqu'à maintenant. Je compris alors pourquoi je ne me souvenais plus de lui le matin venu : je n'avais pas réalisé que je ne pouvais pas vivre sans lui ; et mon amour de la vie était plus fort que celui que je lui portais.
Mais ce n'est plus le cas. Ce soir, je suis impatiente, je vais concrétiser mon rêve. Nous serons réunis dans un sommeil infini, nous vivrons enfin notre amour. Demain matin, je ne me réveillerai pas. Lorsque la mer se teintera du rouge du levant, nous nous enfoncerons dans le sein des déferlantes. Noyée sous ses baisers, j'en oublierai de me réveiller. Je l'aurai rejoint en paix, peu m'importe alors d'y laisser la vie...
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MessageSujet: Re: Les textes de la première manche.   Les textes de la première manche. Icon_minitimeMer 26 Mar - 15:56

Texte 3

Blaine

ZOMBIES
Ou les tracas d’un mort pour rester vivant



Tout commença lorsque je rentrais chez moi après une journée de travail particulièrement éreintante. J’étais un simple ouvrier travaillant dans l’assemblage d’automobiles. Rien de bien glorifiant, mais ce travail me permettait de payer mon loyer et autres petits plaisirs simples de la vie. J’avais l’habitude de m’y rendre en vélo. Je n’habitais qu’à seulement trois kilomètres de là et par souci écologique j’aimais prendre le moins possible mon véhicule. J’avais aussi une petite routine de couper parfois par le chantier qui juxtaposé mon quartier. Avec cette petite astuce je gagnais jusqu’à dix minutes de sommeil. J’adore dormir enfin, j’adorais, car le changement qui s’est opéré en moi ma privé de ce plaisir. Donc, comme à chaque fois, je filais sur mon vélo tout chemin à travers les dédales sinueux des routes en travaux évitant ici et là les différents ouvriers et camions qui parfois me barrer le chemin jusqu’à l’accident. Etais-je distrais ou juste fatigué enfin est que je ne vis pas surgir d’un tournant un énorme camion benne qui ne diminua pas sa vitesse lors de notre confrontation. Bien entendu, je fini perdant de ce déloyal combat et fît un bon de plus de dix mètres lorsque je fut percuté par le pare-choc de l’engin. Croyez- moi, la sensation ressentit lorsque ma tête heurta violemment le véhicule fut plus qu’étrange. Je m’attendais à une douleur violente et brûlante identique à celle lorsque l’on se cogne sur un objet quelconque, voir pire. Là, rien. Juste le son d’un choc et la sensation d’écrasement de ma boîte crânienne. J’avais presque la sensation d’être dans le Dalton terreur d’un grand parc d’attraction. Les sensations se valaient. Je me sentais écrasé et je ne voyais rien tellement mon corps voltigeait dans les airs en tout sens. Puis ce fut le noir complet. Voilà, pour moi, je pensais avoir fait le grand voyage sans retour. Pourtant, je me réveillais en sursaut alors que j’étais complètement dans l’eau. Il faisait sombre et le liquide qui m’entourait était légèrement trouble. Il fallait que je me calme. Respirer un grand coup, réfléchir. Pourquoi étais-je dans l’eau. Je regardais autour de moi. La panique que j’avais eue en me réveillant avait secoué le fond. C’était le pourquoi de l’opacité de l’eau. Vers la surface, j’apercevais la lune, c’est elle qui me donnait cet éclairage faible mais utile. Je tentais de remonter mais je n’y arrivais pas. J’essayais de voir pourquoi. La réponse était simple. Un morceau de ferraille m’avait empaler la jambe et me retenait prisonnier des flots. J’observais ma blessure. C’était en fait un tonneau éventrer. Une énorme étiquette fluorescente où était inscrite « Danger. Fluorixinique tritinnium. Agent de type C. Fût 257. Produit en Bêta-teste. » Il Avait été jeté là comme tant d’autres autour de moi. La preuve d’une future pollution par des industriels véreux. Mais ce n’était pas mon problème. Moi je voulais rejoindre la surface. Je pris ma jambe et la souleva de toutes mes forces. Je voyais les lambeaux de chairs se déchirer sous l’arrête irrégulière du métal. Pourtant je ne ressentais aucune douleur. Une fois fait, je pus rejoindre doucement la surface et une fois sortie de l’eau je m’assis sur la berge. Je me mis à grelotter sans pouvoir contrôler mon corps. Ce n’est pas le froid qui me causa cela ni la vue de ma terrible blessure qui étrangement ne saignait pas. Non ! Ce qui me terrifia c’est que j’étais resté pratiquement toute la journée au fond de l’eau et que pourtant je pouvais encore ouvrir les yeux. Je déglutit et pris mon pouls. A mon poignet puis a mon coup. Rien, je ne sentais aucune pulsation. Je remis une mèche de mes cheveux en place, me frotta les yeux puis me levant je regardais à droite puis à gauche après mon vélo. Il était certainement quelque part dans l’eau, au milieu du cimetière de baril. Tant pis, je rentrerais à pied. D’un pas franc et décidé, je fonçais vers mon habitation espérant ne rencontrer aucune âme qui vive. Après plusieurs minutes de marches, j’arrivais enfin devant chez moi. Ce fût un soulagement de pouvoir m’asseoir dans mon canapé. Au passage j’avais attrapé un linge et l’appliqua autour de ma jambe. Cela ne servait pas à rien puisque je ne saignais pas mais au moins cela avait l’avantage de me cacher la blessure. Il fallait réfléchir. J’étais à la fois hyper heureux d’être « vivant » mais paniquer à la fois de sentir un changement en moi. Il fallait en avoir le cœur net. Je pris dans la cuisine un petit couteau. Si j’étais mort, je ne ressentirais rien. Je le pressa sur mon ventre et. Non ! Si j’étais vivant, cela serait le meilleur moyen de me tuer. Il fallait que je me le plante à un endroit non-vital. Ce n’était pas le moment de se couper une artère. Je n’avais jamais penser que c’était si compliquer de se planter un couteau. Le centre de ma main semblait être un bon endroit. J’hésitais entre elle et mon pied mais je me dis qu’après tout ce dernier était peut-être plus important. Allez, c’était l’heure du teste. Je mis la pointe de la lame dans le creux de ma main, ces dernières tremblaient comme des feuilles, puis dans un terrible crie l’enfonça de toutes mes forces. Je ne pus cesser de crier. J’observais maintenant ma main, traversait de part en part par l’ustensile de cuisine. C’est seulement une fois le couteau retirait que mes cries cessèrent. Je n’avais rien ressenti. J’avais l’impression de piquer un couteau dans un morceau de viande avec os. Je fonçais vers la salle de bain. Ma tête était triste. Comme fatigué. Pourtant je n’avais pas envie de dormir. C’est là que les choses se compliquèrent…
J’avais bien tenté de garder mon travail. Camoufler ma main et ma jambe était une chose facile et un peu de maquillage masquait mon teint livide. Mais le véritable problème était l’odeur. La première semaine elle n’était pas encore trop forte, la deuxième j’arrivais partiellement à la camoufler sous une tonne de parfum. Mais la troisième je n’osais plus sortir. Je sentais le rance. Mon corps était en train de pourrire et je ne savais pas quoi faire pour l’arrêter. J’ais du donc arrêter mon travail pour cause d’odeur nauséabonde. Je ne pouvais pas me mettre en maladie, mon médecin m’aurait regardé de travers. Il fallait réfléchir. Mon hypothèse était que le pourrissement venait que mon cœur était arrêté. Il fallait donc que je trouve un moyen pour le relancer. J’avais quelques livres sur la médecine et chercha tout ce qui parler de cet organe. Me faisant un dossier complet, j’avais décidé que la meilleure chose à faire était de faire mes courses dans un hôpital. L’avantage avec cet endroit c’est que l’on peut y rentrer comme on veut. Il fallait bien organiser tout cela. Des outils, des livres, peut être même du sang composaient la liste de ce qu’il me fallait. Mais vous savez quand la malchance est sur vous, elle ne vous lâche pas facilement. Pourtant tout c’était bien passer au début. J’avais réussi à voler une blouse, pris les instruments chirurgicaux qu’il me fallait et avais fait l’acquisition de plusieurs poches de sang. Tout allait pour le mieux. Il a fallut que le jour où je fasse mes courses, se passe au même instant, au même endroit le transfert d’un dangereux criminel qui avait subi une opération. Je crois que la police n’a pas chercher bien loin lorsqu’une infirmière cria que je n’étais pas médecin quand je passais juste à côté d’eux. C’est qu’ils ont la gâchette facile ces gars là. Pourtant je leur avait crier que je n’étais pas la pour eux. Les balles sifflets autour de moi et heureusement, ma « zombification » ne m’empêcher pas de courir. A la sortie de l’hôpital, ma jambe était recouverte de sang. Je saigne ! Je saigne ! Criais-je alors, mon cœur c’était remis à battre peut être sous l’effort du sprint que j’avais fait mais ma joie fut de courte durée. Une balle avait traversée une poche de sang et cela m’avait recouvert le pantalon. Tel un criminel en cavale je rentrais chez moi. J’avais du travail avant de tomber en morceau. L’idée était simple. Je voulais remplacer mon cœur par une pompe. Après tout. Je sais assembler une voiture. Le corps n’est que de la mécanique biologique. Je choisis la salle de bain comme lieu d’opération. Je m’entourais de plusieurs glaces pour avoir plusieurs vues d’ensemble de mon corps et répartis sur une table les différents outils et produits nécessaires à mon travail. J’attaquais. Je découpais à la scie tout d’abord la cage thoracique pour avoir une vue d’ensemble bien dégager. Croyez-moi, je pense qu’un boucher-charcutier n’aurait pas mieux fait. Je pris après les écarteurs et dans un bruit sinistre de craquement écarta les deux ranger de côtes. Jamais je n’avais contemplé une telle intimité de mon corps. Soudain je ma frappa la tête. C’était bien moi ça, j’avais tout préparer sauf la pompe que j’avais laisser dans le salon. A chaque fois c’était pareil, je ne savais pas faire quelque chose sans oublier un petit détail. J’enrageais tout en traversant la pièce voisine. Quelqu’un sonna à la porte. Dans ma colère et oubliant mon état, j’ouvris la porte violemment. La personne qui se tenait devant moi était certainement représentant en vin. C’est ce que j’en conclu lorsque son catalogue s’écrasa sur le sol alors qu’il tomber évanouie à la renverse. Je pense qu’il n’apprécia pas la vue de mes poumons et de mon cœur. Je traînais le corps à l’intérieure et ne savant pas quoi en faire le mit dans le placard. Je penserais plus tard à son cas. J’avais encore du travail. Je pris la pompe et me remis à mon labeur. Je n’avais plus beaucoup de sang et le peu qui me rester était coaguler. Mais cela avait l’avantage de moins brouiller mon travail. Enlever le cœur était simple. Quelques coups de ciseaux ici et là et le tour fut joué. Le plus compliquer était de mettre la pompe à la place. Lorsque j’essayé d’attraper une artère pour la placer au bonne endroit, elle me filait entre les doigts comme un ver de vase que l’on veut prendre avec des gants. Après des heures de travail et de patience et quelques attaches plastiques, la pompe était enfin en place. Je devais maintenant la tester. Ce système m’obliger en permanence de me balader avec une batterie pour l’alimenter mais c’était un mal pour un bien. Je mis en route. Un petit bruit de pompage se fit entendre. Elle aspirais les litres de sang récupérer à l’hôpital. Cela semblais marcher. Le sang circuler à nouveau dans mes veines mais j’entendis derrière moi un bruit d’eau s’écouler. Je saignais. Je n’avais pas vu que j’avais été touché par un des policiers. Une balle semblait avoir sectionner une artère à l’arrière de ma cuisse. J’avais décidément beaucoup de retouche à faire. Surtout que ce n’était pas une mais cinq balles qui me touchèrent. Heureusement, étant célibataire, j’avais pas mal de notion en couture. Après trois heures de travail et mille trois points de sutures j’étais comme neuf, enfin presque. Malheureusement je ne pouvais plus rester chez moi. L’homme dans le placard préviendrait les autorités et je ne pouvais me résoudre de le faire taire. Je fuis. D’abord la ville, puis la région puis le pays. Si j’étais devenu un Zombie, j’étais aussi devenu immortel même si cela me coûtait beaucoup d’énergie et de temps pour rester humain. Je pense que se sont les cents première années qui furent les plus dure. Je cherchais continuellement ma place à travers mes semblables. J’étais devenu tour à tour un super héros essayant de protéger les villes du mal, mais mon état physique se dégrada rapidement sous les balles destructrices de mes ennemis, puis je devins messie pour guider les gens, mais ils avaient peur de moi et n’écoutaient pas mon message. Puis je me mis à apprendre. Si mon corps était mort. Mon esprit absorber les informations. J’étais la mémoire de mon peuple. Mais cela avait un prix. Car maintenant, j’étais seul. Je vivais comme un troglodyte sur cette planète devenue terre désertique après l’immense chaos qui la ravagea. Les survivant ont du fuir loin dans d’immenses forteresses volantes. Moi, toujours debout, plus machine qu’humain car la nanotechnologie remplaça depuis longtemps mais gadgets mécaniques qui me permirent de traverser le temps j’attendais impatiemment la fin qui ne venait pas. Doucement la température augmentait avec notre soleil devenant super-nova. J’attendais le jour où enfin je serais mort. Le temps à ce moment là étai interminable. Doucement je me vis me détruire mais le pire ce n’est pas cette mort qui arrivais mais ce sentiment d’être seul. J’allais finir ici abandonné de tous ayant vécu une vie d’errance et sans jamais avoir connu le véritable amour.
Voilà, maintenant tout autour de moi s’embrase et doucement la lumière aveuglante diminue. Puis le noir m’envahis.
Soudain un bruit terrible me réveille en sursaut. Ce maudit réveille matin hurle dans mes oreilles. Je regarde autour de moi. Il fait noir et pourtant je discerne les aspects muraux de ma chambre. Tout cela n’était qu’un affreux cauchemar. Quelle peur terrible. Ce rêve m’avait permis d’ouvrir les yeux sur un point. Je ne pouvais rester seul. Personne ne le devrait. Ce n’est pas humain de vivre comme cela. C’est cela d’être un vrai zombie. Il fallait agir.
J’avalais rapidement mon déjeuner. Il avait toujours du mal à passer à 04H30 du matin. Puis je me rendis au travail. Il fallait prendre mon destin en main. Cette fille que je n’osais pas aborder depuis plus de 4 mois et qui pourtant semble tout point d’accord à me connaître vu les regards longs et désireux qu’elle me jetait. C’était décidé aujourd’hui je lui parlerais. Mais je ne vis pas le camion arriver sur ma droite. Il me percuta de plein fouet. L’action semblait se dérouler au ralenti puis ce fut le noir. Lorsque je me réveillai. Mon corps était plongé dans l’eau…


FIN
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MessageSujet: Re: Les textes de la première manche.   Les textes de la première manche. Icon_minitimeMer 26 Mar - 15:56

Texte 4
Soso


Je sens l’odeur des fraises, une odeur fraîche et fine. Alors mon esprit est envahit par une sensation d’extase. Je fourre les fraises dans ma poche pour garder cette odeur rassurante avec moi. Mon amie m’attend, nous devons aller le trouver. Un tronc d’arbre nous permet de passer au-dessus de la rivière, puis nous courrons sur le sentier, très étroit car il est délimité par d’énormes buissons de ronces et nous nous écorchons de plus en plus, sans ralentir, car nous devons le trouver. Je sens toujours l’odeur des fraises qui m’encouragent. Fraises, ronces, course, ronces, fraises.
Soudain la maison arrive et nous sautons à l’intérieur. Elle nous emmène devant la grotte et je descends, je suis seule maintenant. J’avance avec détermination, et il apparaît devant moi, tout vêtu de blanc, il sourit, c’est alors que le vide s’ouvre sous mes pieds et que je tombe, dans une chute sans fin…

Laure se réveilla en sursaut et tâcha de se remémorer son rêve. Elle cherchait un homme qui devait lui dire quelque chose de très important, et elle l’avait trouvé, mais elle était tombée sans avoir rien pu entendre. C’était la même chose que la veille, donc c’était louche. La jeune fille s’habilla rapidement, avala son petit déjeuner et se rendit au parc où elle avait rendez-vous avec son amie Cassandre. Comme à son habitude, elle lui sauta dessus toute excitée : « j’ai fait le même rêve deux nuits de suite ! ». Cassandre parut tout de suite très intéressée, elle était passionnée par les rêves et en tenait un journal, de même que Laure tenait le sien. Cette dernière se mit à raconter son rêve avec passion et elles se lancèrent toutes deux à la recherche de la signification de celui-ci. Une demi-heure plus tard les deux amies étaient persuadées qu’un esprit voulait révéler un précieux secret à Laure. Après cette conclusion, la conversation dériva sur les esprits et elles se rendirent au centre commercial.
Le soir, Laure était déterminée à entendre ce que l’esprit voulait lui révéler. Malheureusement elle était si excitée qu’elle ne s’endormit que très tard et ne se rappela pas de ses rêves le lendemain matin, ce qui la mit de fort mauvaise humeur toute la journée, humeur aggravée par une mauvaise note en histoire, ce qui était exceptionnel. Finalement elle se coucha sans penser à rien.
La grotte est là, je m’avance et l’homme me sourit, mais le vide s’ouvre sous mes pieds…
Laure se réveilla stressée et joyeuse : son rêve était revenu, elle avait revu l’esprit, mais une fois de plus elle était tombée.
Une semaine plus tard, elle en était toujours à la même étape et se demandait si ce secret lui serait révélé un jour, mais Cassandre la rassurait et lui demandait d’être patiente. Alors elle patientait, et un soir elle sentit que quelque chose de nouveau allait se passer, elle en était certaine. La jeune fille ferma les yeux pleine d’espoir…

Je m’approche de la grotte, quelque part des gouttent tombent régulièrement, faisant un joli petit bruit clair. J’avance et le jeune homme apparaît devant moi, rayonnant dans ses vêtements blancs. Il sourit et m’annonce doucement : « J’ai été très heureux de te rencontrer, adieu ».
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MessageSujet: Re: Les textes de la première manche.   Les textes de la première manche. Icon_minitimeMer 26 Mar - 15:57

Texte 5
Benoic:


J'était devant un rideau de velour noir, j'entendais des voix derrieres, à côté de moi je distinguais les silhouettes de mes amis : Alex, Mica et Vincent. Et là je vis quelque chose qui m'étonna grandement : dans les mains de Mica sa vieilleguitare, une basse dans les mains de Vincent, et Alex était assis devant une imposante batterie. Je baissais les yeux et tombait d'émerveillement devant la magnifique Gibson SG que je tenait. Et là comme pour briser la magie de l'instant un type débarqua et me lança :
-Quand le rideau s'ouvre c'est à vous !
Alors j'eus peur de comprendre. Et mon intention fut vite confirmé : le rideau s'ouvrit, laissant mes yeux ébahi contempler une immense salle remplie d'une véritable foule qui scandait nos nom. Entre la foule et nous rien, si ce n'était une scene et des micros. Instinctivement je me retournais vers mes amis et leurs lançaient avec mon élégance naturelle :
-Euh...c'est quoi ce bordel ?
Sans que je comprenne pourquoi ma question les fit sourires. J'entendis vaguement la réponse d'un d'entre eux "on fait l'ouverture du festival anniversaire de Woodstock, trop fort nan ?". Mon sang ne faisait qu'un tour car je comprenais ce qu'on attendait de moi, hors il y avait trois problèmes :
1) Je ne savais pas jouer de la guitare
2) Je ne savais pas chanter
3) Je ne comprenais rien de tout ça.
Je finis cependant par avançer jusqu'au micro, terrifié comme peut l'être un petit enfant quand sa maîtresse le gronde. Mon regard se posa tout autour de moi. Et la musique commença : un petit rythme tout simple de la batterie, soutenu par la basse. Et puis sans que je m'en rende compte mes mains s'activerent sur la guitare en même temps que Mica. Alors des mots me vinrent à l'esprit, et pris d'un besoin irrépresible je me mis à les chanter. C'est à ce moment que je me rendis compte que je savais ce que je faisait. Alors je commençe à me détendre, parcourant la scène, jouant avec le public. Celui-çi semblait de plus en plus déchainé, et la liesse commençaient à se répendre dans toute la salle, les murs eux-mêmes semblaient trembler et le plafond semblait vouloir s'effondrer. Alors que j'entendais dans les coulisses le prochain groupe se préparer j'aperçu au loin, dans la foule, une jeune fille. Mes yeux se fixerent sur son visage, car oui je la connaissais. Cette fille était dans mon collège, c'était elle qui avait osé clamé la première qu'elle s'en foutait royalement d'être impopulaire. La première à avoir été elle même. J'avais le béguin pour elle depuis longtemps déjà...
En coulisse j'entendis qu'on me demandait de quitter la scene après ce morceau. Et là bien sûr une idée aussi ridicule que stupide me vint à l'esprit. Je m'approchais du bord de la scene, posait ma guitare au sol et faisait signe à mes amis de me rejoindre. Et je lançais dans le micro :
-Pfiuu, ça ma donné chaud moi, j'ai bien envie d'un bain..
Et Vincent me donna la réplique que j'attendais :
- De foule ?
Alors, écartant les bras je me laissas chuter dans le public. J'était porté par une véritable marée humaine, et alors qu'arrivait le nouveau groupe on nous posa au sol, et l'on assista au reste du spectacle avec les autres spectateurs, tout autant fou de joie.
Lorsque le dernier artiste de la journée eût quitté la scène tout le monde partit là où il avait prévu d'aller dormir. Alors que l'on arrivait près de la petit caravanne du groupe, je revis cette fille que j'aimais tant en secret, elle était là, splendide. Mes amis alors rentrèrent dans la caravanne, en masquant mal leurs sourires. Alors je m'approchais de la belle demoiselle, et je lui avoua mes sentiments.
-Oh non c'est trop glauque c'était pas à toi que je voulais parler ! S'exclama-t-elle
-C'est vrai ? béguyais-je
-Nan une mauvaise plaisanterie, bien sur que je t'aime. En fait je t'aimais déjà au college.
Alors d'un regard je sus que c'était avec elle que je voulais passer ma vie. Une vie "sex,drugs&rock'n'roll" bien sur, alors j'approchais mes lèvres des siennes et ce geste fut réciproque, et c'est alors que

je me réveillais. J'ouvris les yeux avec peines, et constatait que j'avais laissez mon MP3 allumé...c'était les plus belles heures de ma vie, mais c'était un rêve.
-J'sais pas pourquoi mais je sens qu'aujourd'hui sera une journée de merd**
Dis-je avec ma classe habituelle
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MessageSujet: Re: Les textes de la première manche.   Les textes de la première manche. Icon_minitimeMer 26 Mar - 15:58

Texte 6
MusyJ


Joé ouvrait des yeux de soucoupe. Il ce trouvait face a l’inspecteur chargé de lui annoncer la mort de son frère.
« -Il travaillait sur un chantier, apparemment il serait tombé d’une passerelle d’échafaudage.
- Ho non, c’est affreux.
- Qu’est-ce-qu’un chef de projet a à faire en haut d’un échafaudage ?
- J’en sais rien moi.
-
Ce qui est inquiétant, je veux dire pour vous, c’est le décet de vos
parents. De riches personnes dont la fortune a été séparée entre vous
et votre frère, votre frère qui a fait des bénéfices. Vous en revanche…
- Arrêtez, stop ! vous n’êtes pas en train de m’accuser là !
-
Ce n’est pas ma faute si votre frère avait pour seul famille un chien
apprivoisé. Ce n’est surment pas lui qui va hériter de toute sa fortune.
- Mais … j’aimais mon frère … jamais je n’aurais pu faire sa.
- Vous aimiez votre frère, ok, aimez vous vos dette ?

C’est
ainsi que Joé fut arrêté. Comment est ce arrivé ? La veille, il
s’attablait avec son frère. Il devait remettre sa ce soir. Il
l’attendait, et lors ce qu’on sonna, c’été un agent qui ce trouvait sur
le pas de la porte. Et maintenant, il été en garde à vue au
commissariat.
« -je suis innocent, ne cessait il de répéter, Pourquoi moi ?
- parce que c’est toi Joé »
Joé ce retourna en sursaut, pour voir son frère.
« -Qu’est ce que sa veut dire ? Qui êtes vous ?
- Quel manque de talk Joé. Tu m’a déjà oublié ?
- C’est pas vrais…je deviens fout, il n’est pas réelle.
-
Bien sur que non, je ne suis pas réelle. Tu n’aurais jamais fait de mal
a une mouche, alors évidement, après m’avoir tué, tu deviens fout.
- Non, ce n’est pas vrais, c’est impossible, je conduisait, j’allais à un entretien pour l’entreprise.
-
Alala, pour une foi que ceux qui t’arrive n’est pas joli joli, tu perd
la mémoire. Eh bien, ho moins on risque pas de ce perdre sans ta tête !
C’est pas grave si t’a perdu la boussole.
- Hein ?
- La boussole en or de papa, au poker, tu te rappel plus non plus ? Sa aussi tu pourra la racheter avec mon argent enflure.
- Non, ce n’est pas vrai.
- T’as pas perdu la boussole.
- Si mais je ne t’ai pas tué, par pour une boussole…
-
Pas juste pour une boussole. Tu ne te rend pas compte de ma fortune on
dirait. Bon je te laisse salle enflure. Y vienne te libérer les boulets.
- Quoi ?
Le frère de Joé disparut. Un gardien vin.
« Et bien, tu va continuer a parler tout seul pendent longtemps ? »
Il attendait une réponse, mais comme Joé restait muet, il repris :
« Monsieur Macron veut te voir, c’est l’inspecteur qui t’a envoyé ici. »
en disant cela, le garde ouvris la cellule de Joé, et l’accompagna dans le bureaux de l’inspecteur. Ce dernier pris la parole :
«
-Monsieur j’ai deux nouvel, deux mauvaises, vous avez une contravention
a payer, oui vous avez fait un exet de vitesse quand votre frère fut
tuer. Et en plus, nous n’avons plus de suspect pour son meurtre. »

C’est
ainsi que Joé fut libéré. Il toucha son héritage, et il en profita pour
payer : sa contravention, ses dette, la boussole de son père, et un
ouvrier pour un très bon travail sur l’échafaudage. A ce moment, Joé ce
réveilla en sursaut. Le front trempé de sueur il sauta sur son
téléphone et composa un numéro. Son frère répondit, qu’il été fout de
l’appeler a 2h du matin.
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MessageSujet: Re: Les textes de la première manche.   Les textes de la première manche. Icon_minitimeJeu 27 Mar - 18:41

C'est rigolo tout le monde a écrit son texte à la première personne,
je vous dis chapeau!!!
bravo à tous!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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MessageSujet: Re: Les textes de la première manche.   Les textes de la première manche. Icon_minitime

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