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 CHIMERA ~ Le choc des chimères

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E-Nixe
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E-Nixe


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MessageSujet: CHIMERA ~ Le choc des chimères   CHIMERA  ~ Le choc des chimères Icon_minitimeSam 1 Sep - 12:16

CHAPITRE UN
LE CHOC DES CHIMERES



Je me souviendrais toujours de cette date, celle ou tout a commencé. C’était le premier Aout deux mille six et aujourd’hui nous somme le premier Aout deux mille sept. Je me souviens de chaque détail de ce qui produit comme si s’était hier mais je dois aller de l’avant pour pouvoir me sortir de là. J’ais du me forger un nouveau caractère, me faire une nouvelle place, ainsi que de me faire de nouveaux amis. Ne soyez pas inquiet, je vais tout vous expliquer, et vous pourrez ainsi vous rendre compte ce que j’ai faire pour survivre.

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Comme chaque mercredi, j’avais pour habitude de me rendre à pied chez ma cousine Elodie qui résidait dans un petit village au nom de « Les Chappes ». Il avait fait un temps magnifique tout la journée, mais celle-ci donnait déjà a sa fin. Il était environ six heures du soir et j’étais arrivé a mit chemin du trajet du retour. J’habitais dans une magnifique veille ferme retaper, la où avait vécu ma mère quand elle était petite, la résidante ce trouvait dans un virage eu centre d’en petit village nommé « Le Chêne » qui ce trouvait à proximité de Thorens-Les-Glières. Il y avait aucune voiture sur la route, permettant ainsi d’entendre les oiseaux chanter. Pour aller plus vite j’avais décidé prendre un raccourci à travers les bois. A Nantizel, au lieu de suivre la route principale, j’avais prit un chemin qui me menait dans un petit bois que je connaissais depuis toute petite. C’était ici que tout avait commencé.

D’un pas sûr je suivais ma route tranquillement tout en chantonnant des mélodies de chanson que j’avais entendue à la radio. Défilent devant les maisons, j’en profitais pour voir si quelque choses avait changé, mais sans surprise je vue que la dernier maison avait gardé le même aspect. Elle avait un aire abandonner, les volets avaient perdu leur peinture verte tendit que certain devait tenir grâce un miracle. La Porte était grande ouverte et donnait vue sur un couloir sale et poussiéreux, les vitres étaient devenu opaque du a la saleté, des poules trainer tout autour de la maison. Mais le plus désolant était que cette maison était encore habité, du mois c’est ce qui disait.

Le chemin était devenu caillouteux entamait une descente que j’avais prit avec prudence et après quelque dizaine de pas j’étais enfin entré dans le bois, celui où tout avait commencé. Les arbres étant assez séparez, la lumières pouvait pénétrer sans difficulté. Alors que je continuais a marché me repassant la journée dans la tête, un cri aigu retenti. Ceci m’avais pas vraiment alerté car je savais qu’à quelque mètre ce trouvait une cabane que des amis et moi avions fait quelque année auparavant. J’avais commencé a mit rendre alors qu’un deuxième cri aigu avait de nouveau retenti, suivit de « Non ! Laisser moi ! » Mais je n’étais pas sûr de ce que je venais d’entendre. Puis une fois de plus quelque choses avait été dit, et cette fois plus clair : « S’il vous plait ne me tuez pas ! » A cette instant précis je su que j’aurais du partir loin d’ici en courant, mais la curiosité était trop grande. Je voulais a tout prit savoir ce qui ce passait. Connaissant ces lieux comme le fond de ma poche, j’en avais déduit avec faciliter que ces cri venait de la cabane, je mi était approcher lentement, sans faire le moindre et une fois que je fus assez proche je m’étais cacher derrière un buisson assez épais pour pas me faire voir, mais aussi pas trop pour que je puisse voir parfaitement la scène.

Il y avait deux homme, un tenait durement une fille par le bras, tendit que le deuxième pointait une arme a feu sur la tempe de la petite. J’étais terroriser et je sentais mon sœur battre de plus en plus vite, ainsi que mes membres commencer à trembler. Je regardais la fille fixement, mais plus je le regardais, plus je me disais que je l’avais déjà vue. Après mur réflexion je me souvenu que c’étais la petite fille qui était passé la veille aux informations du soir, du au faite qu’elle était porté disparut depuis deux jour. Elle se débattait mais l’homme la tenait fermement.

-Je vous jure que je ne suis rien vue, je ne sais même pas de quoi vous parler, criai la jeune fille.

De ce que je me souvenais d’avoir vue à la télé cette fille venait d’avoir quinze ans, est résidait dans la banlieue de Paris, mais je n’arrivais pas comprendre ce qu’elle pouvait bien faire ici.
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MessageSujet: Re: CHIMERA ~ Le choc des chimères   CHIMERA  ~ Le choc des chimères Icon_minitimeSam 1 Sep - 15:04

CHAPITRE UN
LE CHOC DES CHIMERES




Je me souviendrai toujours de cette date, celle où tout a commencé. C’était le premier août deux mille six et aujourd’hui nous sommes le premier août deux mille sept. Je me souviens de chaque détail de ce qui s'est produit, comme si c’était hier, mais je dois aller de l’avant pour pouvoir me sortir de là. J’ai dû me forger un nouveau caractère, me faire une nouvelle place, ainsi que de me faire de nouveaux amis. Ne soyez pas inquiet, je vais tout vous expliquer, et vous pourrez ainsi vous rendre compte ce que j’ai dû faire pour survivre.





Comme chaque mercredi, j’avais pour habitude de me rendre à pied chez ma cousine Elodie qui résidait dans un petit village du nom de « Les Chappes ». Il avait fait un temps magnifique toute la journée, mais celle-ci tirait déjà à sa fin. Il était environ six heures du soir et j’étais arrivé à mi-chemin du trajet de retour. J’habitais dans une magnifique vieille ferme retapée, là où avait vécu ma mère quand elle était petite ; la résidence se trouvait dans un virage au centre d’un petit village nommé « Le Chêne » qui se trouvait à proximité de Thorens-Les-Glières. Il n'y avait aucune voiture sur la route, permettant ainsi d’entendre les oiseaux chanter. Pour aller plus vite j’avais décidé de prendre un raccourci à travers les bois. A Nantizel, au lieu de suivre la route principale, j’avais pris un chemin qui me menait dans un petit bois que je connaissais depuis toute petite. C’était ici que tout avait commencé.

D’un pas sûr je suivais ma route tranquillement tout en chantonnant des mélodies de chansons que j’avais entendues à la radio. Défilant devant les maisons, j’en profitais pour voir si quelque chose avait changé, mais sans surprise, je vis que la dernière maison avait gardé le même aspect. Elle avait un air abandonné, les volets avaient perdu leur peinture verte tandis que certains devaient tenir grâce un miracle. La porte était grande ouverte et donnait sur un couloir sale et poussiéreux, les vitres étaient devenues opaques à cause de la saleté, des poules traînaient tout autour de la maison. Mais le plus désolant était que cette maison était encore habitée, du moins c’est ce qui se disait.

Le chemin, devenu caillouteux, entamait une descente que j’avais prise avec prudence et, après quelques dizaines de pas, j’étais enfin entré dans le bois, celui où tout avait commencé. Les arbres étant assez séparés, la lumière pouvait pénétrer sans difficulté. Alors que je continuais à marcher, me repassant la journée dans la tête, un cri aigu retentit. Ceci ne m’avait pas vraiment alerté car je savais qu’à quelques mètres se trouvait une cabane que des amis et moi avions fait quelques années auparavant. J’avais commencé à m'y rendre lorsqu’un deuxième cri aigu retentit de nouveau, suivi de « Non ! Laissez-moi ! » Mais je n’étais pas sûr de ce que je venais d’entendre. Puis, une fois de plus, quelque chose avait été dit, et cette fois plus clairement : « S’il vous plait ne me tuez pas ! » A cet instant précis je sus que j’aurais dû partir loin d’ici en courant, mais la curiosité était trop grande. Je voulais à tout prix savoir ce qui se passait. Connaissant ces lieux comme le fond de ma poche, j’en avais déduit avec facilité que ces cris venaient de la cabane, je m'en étais approché lentement, sans faire le moindre bruit, et une fois que je fus assez proche, je m’étais caché derrière un buisson assez épais pour ne pas me faire voir, mais aussi pas trop pour que je puisse voir parfaitement la scène.

Il y avait deux hommes, un qui tenait durement une fille par le bras, tandis que le deuxième pointait une arme à feu sur la tempe de la petite. J’étais terrorisé et je sentais mon cœur battre de plus en plus vite, ainsi que mes membres commencer à trembler. Je regardais la fille fixement, mais plus je la regardais, plus je me disais que je l’avais déjà vue. Après mûre réflexion je me souvins que c’était la petite fille qui était passée la veille aux informations du soir, parce qu’elle était portée disparue depuis deux jours. Elle se débattait mais l’homme la tenait fermement.

-Je vous jure que je n'ai rien vu, je ne sais même pas de quoi vous parlez, criait la jeune fille.

Selon ce que je me rappelais avoir vu à la télé, cette fille venait d’avoir quinze ans, et résidait dans la banlieue de Paris, mais je n’arrivais pas à comprendre ce qu’elle pouvait bien faire ici.


J'ai corrigé aussi les fautes d'expression.
Deux ou trois détails :
=> On ne dit pas "donner à sa fin" mais "tirer à sa fin" ni "devenu opaque dû à la saleté" mais "devenu opaque à cause de la saleté" (dû étant un participe passé, tu ne peux pas le mettre à côté d'un adjectif ou d'un autre participe passé). Evite aussi "dû au fait que" quand tu peux mettre "parce que" tout simplement.
=> Tu confonds se et ce, et et est, la et : fais-moi penser à faire une fiche sur les synonymes...
=> En général tu as des problèmes avec les temps. Le passé simple, c'est pas ton point fort. Je te rappelle que le passé simple de voir c'est "je vis" et celui de se souvenir c'est "je me souvins". Le participe passé non plus, ce qui me fait me demander pourquoi tu fais autant de phrases avec le plus-que-parfait... surtout que ça casse un peu le rythme.
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MessageSujet: Re: CHIMERA ~ Le choc des chimères   CHIMERA  ~ Le choc des chimères Icon_minitimeSam 1 Sep - 18:51

Merci Tlina, c'est gentil.
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MessageSujet: Re: CHIMERA ~ Le choc des chimères   CHIMERA  ~ Le choc des chimères Icon_minitime

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