CHIMERA [Fantastique et Réaliste ]

Bien voila. Le debut d'un roman que j'avait commencer. Que jai écrit a la première personne. Dit moi ce que vous en pensé, et ésiter pas a donner des conseils, je suis ouvert a tout proposition. Et surtout a tout critique. Ce n'est qu'encore un brouillon, alors vous pouvez tout dire

CHAPITRE 1
LE CHOC DES CHIMERES

Voici un peu plus de un an, que je suis ce que je suis aujourd’hui. Une personne a la fois comme tout le monde et a la fois étrange et mystérieuse. Je n’ais que dix sept ans, et j’ai vécu des choses que personne ne peut imaginer. A la base j’étais qu’une adolescente tout a fait normale, entouré d’amis, a qui je faisait entièrement confiance. J’avais une vie des plus paisibles, une famille super. J’avais tout ce qui fallait pour être heureuse.

Aujourd’hui tout a changé. J’ai du me faire de nouveaux amis après que les miens aient été assassiné. Il ne me reste que mon frère de quinze ans, qui a survécus au génocide cas subit ma famille. La planète a été assombrie par des forces inconnues. Où que vous, vous trouviez sur la Terre, il vous sera impossible de voir le ciel. Un orage couvre la sphère depuis un an. La population de la terre a été devaster. Le chef de la résistance, estime qu’il ne reste plus que désormais moins de cinquante pourcent de la population.

Rien n’est hasard, et ceci à commencer le soir, ou j’ai cru que j’allais mourir. Le soir où tout ceci a commencé. Aujourd’hui je n’ais qu’une envie, ces de sauver le monde, dans le qu’elle nous vivons. Je veux réparer l’erreur de ce soir la. Ah oui, je m’appelle Léna, et je vais tout vous raconter. Du comment et du pourquoi. Et comme je vous l’ai dit, tout à commencer il y a un an, jour pour jour.

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Ceci prit commencement le premier aout 2006, la journée donnait sur sa fin, et moi j’étais sur le chemin qui me permettait de rentrer chez moi. Il était six heures, et il faisait encore chaud, comme si on se trouvait en début de journée de canicule. Comme je le disais, j’étais sur le chemin du retour, et il me restait encore plus de dix minutes de marche, avant d’atteindre ma maison, qui ce trouvait dans un petit village appeler « Le chêne », qui se trouvait à proximité de Thorens Glières. Sur la route il n’y avait pas de voiture, et peu de gens restait sur leur terrasse. La plus part préférait rester a l’ombre, dans le frais de leur cuisine.

Afin d’aller plus vite, j’avais décidé de couper a travers champs. A Nantizel, au lieu de suivre la route principal, j’avais prit un chemin, menant dans les bois. Dans ceux ou tout a vraiment commencé, là ou j’ai vue ce qui ma marquer a toujours. Là où j’ai crus que j’allais mourir. Le début de mon aventure. Je suivis la route, défilant devant quelque maison, la dernière, devant la qu’elle je passais ressemblais plus a un débarrât. Les vitre de la maison, en était presque opaque. Le crépit, manquait a des endroits de la maison, ou des poules, tournait autour de cette dernière. J’étais presque sûr d’avoir vue un rat, passé devant la porte d’entré. S’en était désolant de voir, cette maison dans cet état, sachant qu’elle était encore habitée. J’avais toujours entendu dire, au tour de ma famille, qu’autre fois cette maison, était un lieu des plus chaleureux.

Je venais de dépasser la maison, ce qui signifia, que j’entrais enfin dans le bois. Qiu par le futur, fut nommé «  Comalétia Enasolia », qui voulait dire «  la naissance des chimères ». Le feuillage n’était pas épais, l’entré de la forêt était du genre lumineuse. J’avançais, normalement, confiante en moi, n’imaginant pas ce qui était sur le point de ce produire. Vous, devez surement vous demandez pourquoi j’insiste autan sur cette évènement, ces parce que ceci, a été le plus grand virage que l’humanité et connu. Je venais de rentrer dans une sorte de deuxième forêt. Donc le feuillage était beaucoup plus épais, celle-ci était plus composée de sapin. Je marchais tranquillement, me repassant, ma journée dans ma tête, lorsque je cru entendre un cri. Ceci ne m’avait pas vraiment alerté, car je savais que dans ce bois ce trouvait une cabane, et qu’il n’était pas rare que des gamins vienne y jouer. Mais moi quelque année auparavant, y était venu jouer, avec des amis.

Un deuxième cri retenti, suivit d’un ce qui avait pu être « non ! Laisser moi ! », Se qui ma jeter un froid. A cette instant, je savais que j’aurai du partir en courant, loin d’ici, et ne rien dire. Mais la curiosité avait prit les dessus, et ma mauvaise conscience, si on peut l’appeler comme sa, m’avait ordonné d’aller voir d’où venait ces cris. J’étais donc sortit de mon chemin, entrant dans les profondeurs du bois ; connaissant ces lieu par cœur, j’avais pu supposer avec certitude, que ces cri devait surement venir de la cabane. Et je ne m’étais pas tromper.

Bon, je suis le premier à réagir.

Dès le début de ton texte, tu nous parles de ton histoire exceptionnelle, des choses incroyables, que de toi dépends l'avenir du monde, etc.
Si tu ne l'as pas encore fait, va lire les quelques conseils que j'ai posté dans "Ecrire"; ca peut t'être utile. Tu y trouveras beaucoup de réponses aux erreurs que tu fais.
Je vais entrer dans le vif du sujet, et te dire la principale chose qui m'a marqué: La Ponctuation.
Des virgules à tort et à travers, durant tout le texte, à toutes les phrases, tous les deux mots. Cela casse le rythme, et empêche le lecteur de se prendre dans l'histoire. Après 2phrases, j'avais envie d'arrêter. A peine la phrase commencée, que tu balances déjà une virgule, qui n'a rien à faire la. Une virgule peut etre utilisée pour une mise en évidence, une courte explication, un léger développement de ton idée, de l'état d'esprit, de l'action, ou quoi, mais pas à tort et à travers. Tu dois pouvoir laisser respirer le lecteur, mais pas le bloquer tous les deux mots.

Bon, passons: il y a eu outre plusieurs fautes d'orthographe, mais je laisse soeur d'une folle s'en charger, vu que c'est son vice, lol.

Citation :

qui a survécus au génocide cas subit ma famille

Le "cas" n'a rien à faire las, et on ne dit pas un génocide subit, on dit un génocide perpétré contre...

Citation :

La planète a été assombrie par des forces inconnues. Où que vous, vous trouviez sur la Terre, il vous sera impossible de voir le ciel. Un orage couvre la sphère depuis un an

Gros problème de temps ici, tu nous racontes l'histoire au passé, et puis tu dis: trouviez, et puis sera. Il y a quelque chose qui cloche, là. Puis à la phrase suivante, tu passes au présent. Essaie de mettre de l'ordre dans tout ca.

Ensuite, tu nous parles du chef de la résistance: mais tu dis aussi qu'il reste 50% de la population mondiale; il reste donc plus de 3 milliards d'êtres humains, donc il n'y a qu'un seul chef pour 3 milliards de personnes? Essaie de le rendre un peu réaliste, et fais une douzaine, une vingtaine, un millier de chef, ou sinon, c'est complètement absurde.

Citation :

Rien n’est hasard, et ceci à commencer le soir, ou j’ai cru que j’allais mourir. Le soir où tout ceci a commencé.

C'est un peu redondant, non? Une seule des deux phrases, et encore, retravaillée, doit suffir, sinon ca semble un peu limite...

Citation :

Voici un peu plus de un an, que je suis ce que je suis aujourd’hui

Et comme je vous l’ai dit, tout à commencer il y a un an, jour pour jour.

J'ai recopié la 1ère et la dernière phrase de ton intro, et tu ne trouves pas qu'il y a quelque chose qui cloche? Tu te mets d'accord, soit il y a un an, jour pour jour, soit il y a plus d'un an. Mais il ne peut y avoir les deux.

Bon, passons au conté de l'histoire proprement dite.

Citation :

Ceci prit commencement le premier aout 2006, la journée donnait sur sa fin, et moi j’étais sur le chemin qui me permettait de rentrer chez moi.

"Ceci prit commencement", ce n'est pas une tournure géniale; je me doute que lorsqu'on écrit on tente d'impressionner par de belles phrases, mais il ne faut pas le faire au détriment de la langue francaise. Utilise des phrases et des termes simples, tu auras tout le temps d'enrichir ton vocabulaire plus tard.

En outre, tu répètes deux fois en cinq lignes que tu étais sur le chemin du retour. Je doute que le fait que tu sois absolument sur le chemin de retour pour chez toi soit à ce point obligatoire. Tu pourrais aller chercher du pain, cela ne changerai rien. Pas besoin de bourrer le crâne du lecteur avec de telles répétitions.

Citation :

fin d’aller plus vite, j’avais décidé de couper a travers champs. A Nantizel, au lieu de suivre la route principal, j’avais prit un chemin, menant dans les bois. Dans ceux ou tout a vraiment commencé, là ou j’ai vue ce qui ma marquer a toujours. Là où j’ai crus que j’allais mourir. Le début de mon aventure. Je suivis la route, défilant devant quelque maison, la dernière, devant la qu’elle je passais ressemblais plus a un débarrât.

Ici, ton récit est un peu incohérent, si c'est une tentative maladroite d'instaurer l'atmosphère inquiétant, c'est un peu râté. Tu nous parles que tu te baladais tranquillement, puis "c'est ici que j'ai cru que j'allais mourir" et enfin, tu te re-baladais tranquillement. C'est un peu décousu, et cela donne une impression bizarre, comme si tu avais vite fait rajouté le truc sur la mort après, dans le but d'instaurer une tension. Excuse-moi de te dire ca, mais c'est contingent, et râté. Tu peux retirer sans soucis cette phrase la, ou alors, tu la laisses, mais tu ne reprends pas le récit comme si de rien n'était. Tu dis un truc du genre:
Je sentais comme une certaine tension dans mon dos, et tout à coup mes poils s'hérissèrent.
Mais reparler à la 1ère personne en suivant la balade, c'est assez compliqué.
Ah oui, tant que j'y suis, si tu es réellement sur de vouloir écrire ton roman à la 1ère personne, attends-toi à de multiples problèmes. Oh, bien sur, il y a toujours moyen, mais n'écrire toujours que dans les perceptions personnelles d'un personnage est parfois malaisé.

Citation :

Le feuillage n’était pas épais, l’entré de la forêt était du genre lumineuse.

Bon, du genre "lumineuse", cela ne veut pas dire grand chose:
le feuillage n'était pas épais, si bien que la clarté du soleil se faufilait entre la multitude de feuille, et écalairait passablement mon chemin.
Ou les rayons du soleil, ou je ne sais quoi.
Ce n'est pas l'entrée qui est lumineuse, c'est le soleil qui la rend lumineuse. En outre, lumineuse n'est pas un "genre", et donc les deux expressions ne peuvent s'accoupler sans heurter.
Ensuite, une nouvelle kyrielle de virgule, au bord de l'overdose.

Puis vint la phrase:

Citation :

Un deuxième cri retenti, suivit d’un ce qui avait pu être « non ! Laisser moi ! », Se qui ma jeter un froid.

L'évênement mis en citation devrait jeter un froid, glacer quelques secondes le lecteur, ou l'intriguer, mais la tournure de tes phrases balaye cette possible inquiétude. On ne te sent pas horrifié(e), ni suprise, ni attérée, ni intriguée, ou quoi, alors le lecteur ne l'est pas non plus. On a juste l'impression que tu viens de nous lire la météo du jour et donc l'effet est coupé.
Reprends calmement cette phrase, ainsi que pas mal d'autre, et réécrit les calmement, car je pense que tu t'es un peu dépéché pour écrire tout ca, et que donc tu n'as pas excessivement bien travaillé.

Une dernière chose, même si mon précédent paragraphe peut aussi s'appliquer à toutes tes dernières phrases, ben on ne peut pas:
"supposer avec certitude", ou "certifier avec un doute", ou "monter en descendant".
Ce sont par définitions deux termes quasiment antonymes.

En résumé, je pense que ton texte pourrait être correct si tu t'y appliques sérieusement, car là, il reste quand même pas mal de chose à travailler.

Merci pour ta critique, qui est plutôt construtrice. Sa me donnera du boulo, pendant mes vac, parce qu'en se moment je me fait *****.

En tout cas tu confirme ce que je pensai de ce texte.
Je savait qu'il y avait pas mal de mauvaise tournure, et pas mal de chose a reprendre, et ta critique va permettre des les reprednres calement, encore merci.

forner a écrit:

Bon, passons: il y a eu outre plusieurs fautes d'orthographe, mais je laisse soeur d'une folle s'en charger, vu que c'est son vice, lol.

Y a pire que moi, hein!

forner a écrit:

Citation:
qui a survécus au génocide cas subit ma famille

Le "cas" n'a rien à faire las, et on ne dit pas un génocide subit, on dit un génocide perpétré contre...

En fait je crois qu'il voulait dire "le génocide qu'a subie ma famille". C'est une faute d'orthographe, quoi.

Sinon, j'ai pas grand-chose à dire, étant donné que forner a tout dit

Pour les fautes d'orthographes je m'excuse, j'ai pas pour habitude de me relire.

pourtant c'est en se relisant et surtout en se corrigeant (et pas seulement l'orthographe) qu'on devient écrivain

Oui, je sais.
Je tien pas a faire ecrivain, mon métier.

Mais me relir j'aime pas. Sa fait sept fois que je relie le debut d'Atlantis pour corriger, et sa me soul mais trop

peut-être que tu serais plus à l'aise en écrivant un script ou en co-écrivant : tes scénars et les mots d'un autre (qui se taperait la relecture et l'orthographe )

Si sa te dit de te taper 200 page A4 taille 16 de correction, a ton bont vouloir ^^