LES REGRETS DU TEMPS

Voila Tlina comme tu me la demandé je poste ceci en orthographe :

LES REGRETS DU TEMPS

CHAPITRE 1

Un an. Nous y voici, voilà un an jour pour jour que tout est fini, que nous tentons tous de nous reconstruite, que nous tentons de retrouvez une vie. Aujourd’hui nous sommes le 11 mai 2008, et pour la première fois depuis des mois, je vais devoir faire un discours devant les survivants, et je dois avouez que ce genre d'exercice ne m’accroche pas vraiment. Si seulement je pouvais fuir loin d’ici, rester seul, et prendre mon temps. Si seulement à notre époque ont avaient su prendre le temps, peut être que tout ceci ne serais jamais arrivé. Désormais nous apprenons à prendre le temps, a réfléchir aux décisions que nous devons prendre mais surtout aux conséquences que ces décisions pourraient avoir pour le futur.

Voici aussi un an que tu nous as quittés, que tu m’as quitté, que tu es parti loin, loin de ce monde dévasté. Je regrette de ne pas avoir prit le temps de te dire ce que je pensais, te dire comment je t’aimais, te dire que tu étais plus qu’un ami, que tu étais mon autre. J’aurai voulu prendre ce temps, les choses sont passées bien trop vite et toi tu es parti bien trop tôt. Tu as toujours été là pour moi, et je regrette de ne pas l’avoir été plus avec toi, je m’en veux tellement, je regrette une chose, je regrette d’avoir laissé filler le temps entre mes doigts.



Le printemps avait enfin prit place sur l’hiver glacial que nous avions connu, tout doucement le paysage reprenais vie, les feuilles venaient de nouveau habiller les arbres, et les oiseaux revenaient au pays. Dans les montagnes en haute altitude il restait de la neige. Le printemps était ma saison préférer, elle signifiait pour moi la renaissance de tout chose, le retour a la vie. Mais s’était aussi à cette époque que je fêtais mon anniversaire, et dans un peu plus de un mois j’étais sur le point de soufflé mes vingt trois bougies. Aujourd’hui une brise très légère soufflait, alors que dans le ciel le soleil était à son zénith. Il y avait très peu de nuage, et si on prenait le temps d’écouté, on pouvait entre les premiers chants des oiseaux déjà revenu du sud.

Malheureusement je ne pouvais prendre aujourd’hui le temps de profité de ce renouveau, il me fallait me rendre au plus vite a mon peut être futur lieux de travail, et sans plus attendre je m’étais empresser de mettre ma veste, mon écharpe, et de mettre mon sac sur dos, puis j’étais sorti de mon appartement. Une ancienne chambre de bonne, positionné d’un vieil immeuble qui se trouvait en plein centre ville. Dans la rue les gens avançaient droit devant eux, certain avait une allure sûr d’eux même, d’autre avançaient tête baissé, alors qu’une majeur parti d’eux avançaient les oreillettes dans les oreilles ce qui leurs permettait d’écoute de la musique, alors qu’un mineur parti téléphonais, parlant de travaille, ou racontant ce qu’il avait fait de leur week-end. C’était le même refrain à chaque fois que je descendais dans la rue, et je m’apprêtais à en faire de même, et sans plus attendre j’avais mit les écouteurs de mon baladeur mp3 dans mes oreilles, et je m’étais dirigé vers l’arrêt de bus le plus prêt.

Il régnait un brouhaha comme si le silence était parti de ces rue a tout jamais, et qu’il n’était plus la peine de l’attendre, car tous s’avaient que le silence ne reviendrais surement jamais dans ces rue. Les mains dans la poche de ma veste, j’avais droit devant moi, le regard lointain, observant gens que je frôlais, s’était la seul chose que j’avais à faire, je regardais si je ne connaissais pas quelqu’un dans se amas de personnes. Telles des beilles quittant la ruche pour allé ramasser le pollen, ces gens parteint travailler pour récolter le fruit de leur labeur. Après dix minutes de marche a l’arrêt de bus, une sorte de bois de verre posé prêt d’une route, où gens de la ville avait pour habitude d’attendre leur bus qui leurs permettrais ainsi d’attendre leur destination.

Grace à la musique je n’avais pas vue le temps passé, après quelques minutes le bus était enfin arrivé, comme tout le monde, ou du moins presque, j’étais monté dans le bus comme si de rien n’était, montré ma carte passe partout qui m’avait couté une sacré petite fortune, puis enfin je m’étais assise a l’une des rares place encore libre, alors que les autres s’était retrouvé dans l’obligation de resté debout. En observant les gens dans le bus, je me sentis soudainement banale. La plus par de ceux qui se trouvait dans se bus écoutait de la musique grâce a leur baladeur numérique, comme je le faisais. Alors que d’autre le regard lointain, regardait par la vitres, les passants dans les rue ainsi que les diverses boutiques qui défilais devant nos yeux. Chacun suivait sa route comme si de rien n’était.

LES REGRETS DU TEMPS

CHAPITRE 1

Un an. Nous y voici, voilà un an jour pour jour que tout est fini, que nous tentons tous de nous reconstruire, que nous tentons de retrouver une vie. Aujourd’hui nous sommes le 11 mai 2008, et pour la première fois depuis des mois, je vais devoir faire un discours devant les survivants, et je dois avouer que ce genre d'exercice ne m’accroche pas vraiment. Si seulement je pouvais fuir loin d’ici, rester seule, et prendre mon temps. Si seulement à notre époque on avait su prendre le temps, peut-être que tout ceci ne serait jamais arrivé. Désormais nous apprenons à prendre le temps, à réfléchir aux décisions que nous devons prendre mais surtout aux conséquences que ces décisions pourraient avoir pour le futur.

Voici aussi un an que tu nous as quittés, que tu m’as quittée, que tu es parti loin, loin de ce monde dévasté. Je regrette de ne pas avoir pris le temps de te dire ce que je pensais, te dire comment je t’aimais, te dire que tu étais plus qu’un ami, que tu étais mon autre. J’aurai voulu prendre ce temps, les choses sont passées bien trop vite et toi tu es parti bien trop tôt. Tu as toujours été là pour moi, et je regrette de ne pas l’avoir été plus avec toi, je m’en veux tellement, je regrette une chose, je regrette d’avoir laissé filer le temps entre mes doigts.

UN PEU PLUS DE DEUX ANS AUPARAVANT


Le printemps avait enfin pris la place de l’hiver glacial que nous avions connu, tout doucement le paysage reprenait vie, les feuilles venaient de nouveau habiller les arbres, et les oiseaux revenaient au pays. Dans les montagnes en haute altitude il restait de la neige. Le printemps était ma saison préférée, elle signifiait pour moi la renaissance de toute chose, le retour à la vie. Mais c’était aussi à cette époque que je fêtais mon anniversaire, et dans un peu plus d'un mois j’étais sur le point de souffler mes vingt-trois bougies. Aujourd’hui une brise très légère soufflait, alors que dans le ciel le soleil était à son zénith. Il y avait très peu de nuages, et si on prenait le temps d’écouter, on pouvait entre les premiers chants des oiseaux déjà revenus du sud.

Malheureusement je ne pouvais prendre aujourd’hui le temps de profiter de ce renouveau, il me fallait me rendre au plus vite à mon peut-être futur lieu de travail, et sans plus attendre je m’étais empressée de mettre ma veste, mon écharpe, et de mettre mon sac sur mon dos, puis j’étais sortie de mon appartement. Une ancienne chambre de bonne, positionnée dans un vieil immeuble qui se trouvait en plein centre-ville. Dans la rue les gens avançaient droit devant eux, certains avaient une allure sûre d’elle-même, d’autres avançaient tête baissée, alors qu’une majeure partie d’entre eux avançait les oreillettes dans les oreilles ce qui leur permettait d’écouter de la musique, alors qu’une mineure partie téléphonait, parlant de travail, ou racontant ce qu’ils avaient fait de leur week-end. C’était le même refrain à chaque fois que je descendais dans la rue, et je m’apprêtais à faire de même, et sans plus attendre j’avais mis les écouteurs de mon baladeur mp3 dans mes oreilles, et je m’étais dirigé vers l’arrêt de bus le plus proche.

Il régnait un brouhaha comme si le silence était parti de ces rues à tout jamais, et qu’il n’était plus la peine de l’attendre, car tous savaient que le silence ne reviendrait sûrement jamais dans ces rues. Les mains dans la poche de ma veste, j’avais droit devant moi, le regard lointain, observant les gens que je frôlais, c’était la seule chose que j’avais à faire, je regardais si je ne connaissais personne dans cet amas de personnes. Telles des abeilles quittant la ruche pour aller ramasser le pollen, ces gens partaient travailler pour récolter le fruit de leur labeur. Après dix minutes de marche à l’arrêt de bus, une sorte de boîte de verre posée près d’une route, où les gens de la ville avaient pour habitude d’attendre leur bus, qui leur permettait ainsi d’attendre leur destination.

Grace à la musique je n’avais pas vu le temps passer, après quelques minutes le bus était enfin arrivé, comme tout le monde, ou du moins presque, j’étais montée dans le bus comme si de rien n’était, montrer ma carte passe-partout qui m’avait couté une sacrée petite fortune, puis enfin je m’étais assise à l’une des rares places encore libres, alors que les autres s’étaient retrouvés dans l’obligation de rester debout. En observant les gens dans le bus, je me sentis soudainement banale. La plupart de ceux qui se trouvaient dans ce bus écoutaient de la musique grâce à leur baladeur numérique, comme je le faisais, alors que d’autres, le regard lointain, regardaient par la vitre, les passants dans les rues ainsi que les diverses boutiques qui défilaient devant nos yeux. Chacun suivait sa route comme si de rien n’était.



UN TRUC IMPORTANT ET CA COMMENCE A M'ENERVER DE DEVOIR LE REPETER (ça te vise pas en particulier mais le monde francophone en général)
QUAND UN NOM EST AU PLURIEL, IL PREND UN -S OU UN -X A LA FIN (sauf s'il finit par s, x ou z). LES ADJECTIFS QUI LE QUALIFIENT (déterminants, qualificatifs attributs, épithètes ou apposés) PRENNENT AUSSI UN -S !!! S'IL EST SUJET D'UN OU PLUSIEURS VERBES, TOUS LES VERBES DONT IL EST LE SUJET SE METTENT AU PLURIEL !!!!!! ABSOLUMENT TOUS !!!!!!!!!!!!!!!
Au contraire, s'il est au singulier, PAS DE S ni de x ni n'importe quoi, et les verbes restent au singulier SVP !
D'autre part, évite de confondre infinitif et participe passé. C'est pas compliqué : si ton mot finissant par é est un adjectif, ça ne peut être qu'un participe ! (donc pas de "ma saison préferer" beuaaaaarh (j'ai la nausée))
Enfin, arrêtez de me torturer ces pauvres participes passés en -i qui ne vous ont rien fait. Une méthode simple : vous en faites un adjectif qualifiant un nom féminin. Ex : la lettre écriTE, la fugitive priSE, la table miSE donc j'ai écriT, j'ai priS, j'ai miS.

Merci pour cette correction Tlina. La prochaine fois que je posterais un texte je te promet de me relir avant.

Autre petite astuce pour ne pas confondre participe passés et infinitifs du premier groupe: remplacer le mot par un verbe du troisième groupe, et la faute se fera sentir tout de suite. Par exemple:

"J'ai regarder la télé."
On remplace "regarder" par "prendre", ça donne "J'ai prendre la télé.", on voit bien que ça colle pas, qu'il faudrait dire "J'ai pris la télé" (même si ça a pas beaucoup de sens, grammaticalement c'est correct), et donc on écrira "j'ai regardé la télé."

OKI, merci du conseil.