CHAPITRE 1
« AU TEMPS DE L'ATLANTIDE »
Dans la vie il y a un commencement a toutes choses, et pour cette histoire cela débute il y a un peu plus de dix mille ans, sur une île perdu au niveau de l’équateur. Les eaux étaient déchainées et des vagues d’une hauteur vertigineuses venait ce fendre contre les falaises de l’île, alors que le ciel s’assombrissait de plus en plus avec l’apparition soudaine d’immenses cumulus noir. Des éclaires avaient aussi faire leurs apparition alors qu’une pluie intense avait commencé a tombé, et le vent soufflant, faisait volé tout sur son passage, plissant les arbres qu’il croisait. Sur cette île ce trouvait une immense ville implanté le long des côtes et des plages, ainsi qu’au centre, tout ça relié par des sorte de route couverte. L’architecture de celle-ci était un mélange harmonieux entre le style grec ancien et une architecture futuriste et sobres. Habitée par des milliers de personnes, ceux-ci ce retrouvait dans une position dans laquelle ils n’avaient aucun moyen de faire face.
-Les citoyens habitants prêt des côtes et des plages son prier de ce replier au centre de l’île. Ceci est pour votre sécurité.
Cette voix douce avait retenti dans toute la ville, mais malheureusement pour certain il était trop tard, cette alerte n’avait jamais pu atteindre leurs oreilles, leur vie retiré par la tempête. Les rues qui ce trouvaient au abord de l’île étaient en partie noyer sous les eaux glacial de l’océan, alors que le peu de survivant qui ce trouvait dans ces zones était monté dans les hauteurs des tours, espèrent survivre, tendit que d’autre avec rejoint le centre de l’île, là où ce trouvait les bâtiments important. C’est au milieu de l’île que ce trouvait le palais au Sénateur, les structures politiques, commerciales, militaires, scientifiques, mais aussi les structure social. Mais le plus important de tous, était le centre logistique, le lieu qui permettait d’avoir tout contrôle sur la ville.
Tel un coup de fouet, une nouvelle vague était venue frapper l’île, dévastant tout su son passage avec une force meurtri. Il y avait eu de nouveau mort, et un bâtiment détruit qui aurait été préférable que celui-ci reste intact.
-Monsieur ! Cria le techniciens Ohéro d’une voix forte.
Il y régnait un brouhaha impressionnant dans la salle de contrôle de la ville, les techniciens couraient dans tout les sens pour chercher des solutions aux problèmes que causait cette tempête. Sur le grand écran, des centaines de compte rendu défilait, alors qu’au centre de celui-ci était affiché un plan de l’ile vue du ciel, des notes apparaissait toutes autours. Des symboles défilaient eux aussi dans tout les sens, alors que des interférences faisaient leur apparition a chaque coup de tonnerre. Mais dans la zone Est du plan quelque choses de plus important avait fait son apparitions, un bâtiment s’était soudainement affiché en rouge.
-Monsieur ! Avait de nouveau crié les techniciens.
-Que ce passe-t-il ?
-Les Camisoles !
-Qu’est-ce qu’elles ont ? Voulu savoir le dirigeant de la salle.
-Elles…elles…elles viennent d’être détruite par une vague. Les capteurs biométriques nous indiquent qu’il y a encore des signes de vie. Je vous affiche les caméras de surveillances.
Cette nouvelle avait eu pour conséquence d’instauré le silence dans le centre de gestion, alors que pendant ce temps à droite de l’écran trois fenêtre avaient leur apparition, montrant en directe les décombres des camisoles. Il s’agissait de prison temporaire pour les Rapianes, des humains cannibales qui sans que personne comprennent, avaient été touché par une folie qui leur donnait envie de ce nourrir de la chair humaine. Au fil du temps, la population les avait surnommées : « Les créatures de l’ombre », car il s’attaquait aux personnes qui avaient eux la mal chance de passé dans un lieu infâme et sombre.
-Condamné le secteur Est ! Avait ordonné le dirigeant Veldo Atali.
-Quoi ? Pardonné ma franchises dirigeant mais ont ne peut rien faire de telle sans l’accord du grand conseil, s’était exclamé le technicien Ohéro. De plus je me permets de vous rappeler que plus de huit mille personnes ce trouve encore dans ce secteur, tendant de survivre, si ont leur bloque l’accès aux autres sections nous les condamnons eux aussi.
-Je sais tout ça ! Mais nous devons impérativement confiné les Rapianes, alors fait ce que je t’ordonne de faire Ohéro. Pour ce qui est du grand conseil je m’en occuperais moi-même.
-Bien monsieur…
Et sans rien dire de plus il avait ce qu’on lui avait demandé de faire, se retournant vers sa console de contrôle il avait avec regret effectué la manipulation et un signal avait retenti pour confirmé la commande. Sur l’écran, le secteur Est s’était affiché en rouge, signalant ainsi que ce secteur était en quarantaine.
Dans le ciel la pluie dansait sous les effets du vent dévastateur et les vagues venaient ce fendre de plus belle contre les falaises, quand aux nuages de plus en plus sombrent ils étaient déchirée par des éclaires de plus en plus fort. Dans le secteur Est tout devenaient sombre aussi, lentement les grandes portes se fermaient allant ainsi bloquée l’accès aux autres sections. Il avait fallu que quelques secondes pour rendre cet endroit inaccessible, les survivants restant étaient bloqués avec les Rapianes qui ce déplaisaient librement et ce donnait à cœur joie de manger les cadavres qu’ils trouvaient sur leur route. Tout était en ruine, les voies de déplacement étaient impraticables et il y avait des centaines de cadavres qui se trouvaient inerte, comme des manakins cassé qu’on aurait posés dans les décombres pour montrer une scène tragique. Mais pendant ce temps là, le grand conseil avait été dans l’obligation de ce réunir.
-Cette tempête est entrain de détruire la ville, s’était exclamé soudainement Starya. Et au dernière nouvelle le secteur serais condamné, nous perdons du terrain face a cette tempête, avait-elle rajouté tout en passant sa main droite dans ces cheveux blond.
-Comment ? Le secteur Est serais en quarantaine ? Le dirigeant Atali devra répondre de ces actes, avait dit Virka, une conseillère téméraire. En prenant une telle décision il a condamné plus de huit mille personnes.
-Nous savons ceci, et il est normal qu’il répondre de ces actes, mais n’est pas à ce débat. Comme on le sait tous ici, cette tempête détruit peu à peu Atlantide, notre priorité est de trouvé une solution avant que nous soyons tous tué. Notre bouclier est défectueux, et nous n’avons aucuns autres moyens de protections. Et lancé une évacuation massive nous est impossible, avait expliqué le conseillé Molsoc sur un ton grave.
-Enclenchons alors la Tava-u.
D’un coup le silence avait prit place aux seins des conseillés.
-Vous plaisanté Zerac ?
-Non Starya.
-Tu ne le sais peut être pas mais la Tava-u est réservé qu’au cas d’extrême urgence.
-Ah ! Parce que ce qui nous arrive n’est pas une urgence ?
-Ce n’est pas la meilleure des solutions, trancha Virka.
Pendant un instant le silence avait de nouveau prit place, puis quelqu’un prit la parole.
-Virka à raison, nous avons d’autres solutions, avait une femme a la voix douce. Pour ma par je peux vous proposé toute autre chose.
-Et pouvons nous savoir de quoi il s’agit ?
-Il suffira simplement d’utilisé l’une de nos neuf chimères, avait-elle proposé. En employant la bonne nous pourront ainsi gagner du temps, qui permettrait a nos techniciens de trouver une solution pour réparé notre bouclier.
Désormais on pouvait voir dans le regarde de chacun des conseillés, une inquiétude légère et une part d’interrogations, ce demandant comment une chimère pourrait les protéger de l’ouragan.
-Et tu tombé sur la tête Nados ? Tu sais autant que moi que l’emploi de la magie ne dois pas être prit a la légère, il y a des règles.
-Je sais, mais là il dépend de notre survis.
Tout les deux ce regardèrent droit dans les yeux.
-Je suis dans le regret de constaté que tu as malheureusement toujours la mauvais habitude de contredire les règles et ce quel quelle soit. Mais ce n’est plus une surprise venant de vous Nados, avait fait remarqué Molsoc d’un ton sec. Je propose d’attendre. Nous serons bientôt dans l’œil, ce qui une fois dedans laissera assez de temps à nos techniciens de trouver une solution.
-Attendre ? Ton vieille âge fini par te faire perdre la raison Molsoc, s’exclama Nados.
Des « Oh » avait surgit lorsqu’elle avait insinué que Molsoc était devenu un vieux fou.
-Ton insolence te perdra…
-Je suggère un vote, trancha soudainement Starya d’une voix douce. Que ceux qui pense que le conseillé Molsoc a raison de vouloir attendre, lève la main droite bien haut ou ne se taise a jamais.
Sans grande surprise Molsoc fut bien évidement le premier a levé la main, suivit rapidement par Starya, Zerac, Virka, ainsi que deux autres membres du grand conseil.
-A six contre neuf, les voix vont pour la proposition de Molsoc.
La déception ce lisait facilement sur le visage de Nados Ling, ayant perdu son sang froid devant tout le conseil, elle avait perdu toute crédibilité devant les autres qui se demandaient pourquoi une telle rivalité subsistait entre eux deux.
-Très bien nous attendrons, répondu Nados.
Un dernier silence avait prit place au sein des conseillés alors que un par un ils quittaient la salle, partant ensuite chacun de leur côté, dans une direction différente. Pour Nados Ling, elle avait prit la direction de ces quartier personnel, seul dans le couloir, elle en avait profité pour ce parlé a elle-même :
-Que m’arrive t-il ? Pourquoi ais-je perdu mon sang froid ? Au fond je pense comme lui, nous devons attendre, Molsoc a raison, la traversé de l’œil laissera assez de temps au techniciens. Alors pourquoi ? Pourquoi le contredis-je tout le temps ?
-Orop dess quessia tarua quessia.
-Qui est la ?
-Uvos etentas ocos janarta issi niate dess imperia retross etria thecoss.
-Répondez ! Qui est là ?
Soudainement un rire aigu et glacial sur un air d’amusement avait retenti, raisonnant ainsi dans tout le couloir. Inquiète. Nados Ling regardait toute autour d’elle, cherchant d’où pouvait provenir cette voix, voyant qu’il y avait personne, elle avait reprit le pas, mais un pas beaucoup plus rapide.