La guerre des ombres [ Fantasy ]

Bon! Un peu plus loin, je vais poster mon roman un peu plus loin. Voici déjà le résumé:


Il existe plusieurs mondes dans plusieurs réalités. Un de ceux-ci se nomme Borëa, et c'est le monde le plus chaleureux qui n'est jamais existé. Sauf depuis cet accident, cet atrocité, ce désespoir. Un jeune garçon, nommé Macrisard, détruit cette paix, activant une prophétie...celle de la fée...de l'espoir...
La jeune Aurelianne la trouva, gravée sur le grand chêne de la forêt de son grand-père.
Elle ouvrit le passage et passa à Borëa.
Pauvre petite, elle devra affronter Macrisard, et peut-être Micatrice!
Elle devra affronter, avec ses amis, maints danger comme des plantes meurtrières, des spectres destructeurs d'âmes et des gargouilles broyeuses d'os, tout ça pour un petit accident...

Et si vous voulez voir le prologue, il faut que vous criez "la suite, la suite, la suite!" ...
Sinon c'est pas de suite!

Je trouv que ça fait un peu trop "cliché fantastique"...

Innovez un peu !!

Petite conseil, tu devrai revoir ton résumer. Tu la pas mit au bon temps et on ce fait presque .... a le lire.

Fan! Tu veut rire! Ça dis quasi rien!
Anyway (de toute façon, pour les anglophobes), vous voulez pas la suite?

Si si on veut la suite !!! On veut la suite, on veut la suite !!

Ne fait pas attention à Mero, il dit qu'on se fait ***** mais c'est que son avis à lui !!
Et puis lui aussi ses résumés sont ennuyeux et pleins de fautes d'orthographe (donc toi le temps ça passe). Donc ça arrive à tout le monde !!

Ton résumé est bien je trouve, c'est original et ça donne envie de lire ton histoire, c'est un petit aperçu qui n'en dit pas trop mais nous présente déjà ton personnage, tes mondes, et les ennemis.
Ton monde fantastique à l'air interessant, surtout les plantes meurtrières et autres ennemis, c'est original. Et tu as inventés de très jolis noms de personnages !!!

N'hésite pas à percéverer.
Que les critiques soient négatives ou positives, n'arrête pas pour autant de nous montrer ton travail et de continuer d'écrire !!! Cela s'annonce bien donc n'hésite pas à nous le faire partager même si ça déplait à certains.

Concernant tes clichés, il y en a mais ça on ne peut pas éviter d'en utiliser certains si on est dans le domaine de la fantasy et du fantastique. Tu es jeune donc je pense que avec le temps tu réussiras à utiliser tes propres idées, jamais utilisées ailleurs !!!

Bonne continuation !!!

Tabarouette! Ça ça me donne le goût de vous la montrer la suite! (En passant, le prologue c'est le "pourquoi" du "comment" le méchant est-il devenu méchant...) Ah et la suite c'est pas "tout" le prologue. Juste un petit bout... (Disons que j'ai pas eu le temps de tout le mettre sur ordi...)
La voici:


La guerre des ombres

T.I

Prologue :
La fin de l’insousciance

Il était une fois, un monde paradisiaque, ou la guerre n’existait pas. La légende parlait de plusieurs mondes qui se reliaits par des portails projetant leur énergie vers d’aures. L’univers dont je vous parle, était à cette époque particulièrement magiquement magnifique. Ce monde se composait d’immenses montagnes, de forêts magnifiques, de mer remplis de monstres marins assoifé de tout ce qu’il y a de plus sadique et de sombres cavernes remplies de danger pour tous les innocents qui osent s’y aventurer. Une technologie mystique extrêmement avancée pour ce monde semi-médiéval, une verdure infinie et des peuples merveilleux en harmonie. Ces terres fabuleuses ont pour nom : Azeviel. Ce monde était divisé en quatres grandes parties : Borëa, un des plus beaux pays, seulement accessible par les contrées Boréales des mondes; Eucalidria, dont le seul passage se trouve aux terres les plus arrides, l’équateur de chaques mondes;
Austrianna, le pays du sud et passible par le sud; et Nightmapolis, le pays accessible seulement au cœur du pays de l’enfer…
Presque tout était parfait, comme le fonctionnement, la vie, les créatures, sauf pour cette exeption. Ce petit hic… sauf les grottes de feu. Ces mystérieuses cavernes plongeaient dans le cœur du monde. Peuplées de démons, elle fesait un asile impénétrable pour les plus affreux monstres de l’univers. Toute personne étant entré dans ce fourneau éternel n’en est jamais ressortit. Vous devinez pourquoi? Et non, ils ne sont pas tous morts…il existe un sort pire que la mort… Ils ont mutés, transformé en spectres terribles ou en orcs impitoyables. La surface était si douce comparée à la guerre et la souffrance inévitable s’ils y rentraient… Peut-être le mal allait il triompher, à cause de ce garçon…ou peut-être pas…

Un jour, ce jeune garçon au sombre destin naquît. Il avait pour nom : Macrisar. Sa vie fut celle d’un paysan bien normal, son père étant boulanger et sa mère couturière. La vie était toujours magique. Parfois, il allait voir les mages user de leur spectaculaire magie pour l’admiration du public, ou sinon, il allait faire un tour chez le vieux conteur pour écouter ses belles histoires de dragon, de princesses, de chevaliers et de sorciers. Il était pacifique, et jouissait d’une vie douce comme celle de la plupart des borëens, habitants de Borëa. Mais il était trop vulnérable. Les mois passèrent et l’empereur de Nightmapolis, le pays des cauchemars, commençait à s’ennuyer et à vieillir. Il fallait lui trouver un héritier, mais comme il n’avait ni femme, ni enfant, il allait enchanter un borëen innoçamment puissant et l’attirer dans un piège qui lui ferais prendre la tête de l’empire du mal. Mais bien sûr, Digzali, l’empereur actuel, allait lui préparer une mutation digne des ténèbres. Alors, il envoya ce sortilège de magie noire vers le seul homme qui avait des chances de bien gouverner, Macrisar. Un nom qu’il aimait bien, il devait bien l’avouer…Plus tard, une soif de pouvoir inouïe enveloppa le jeune borëen. Le jeune homme continuait sa vie, même si la démence pour le pouvoir le fesait sombrer caque jour un peu plus dans la folie. Lorsqu’il fut complètement contrôlé par la force nommée ténèbres, il fit des préparatifs pour une aventure : Une épée, un poignard, une armure de cuir brun, une longue vue et une gourde d’eau. Il se coucha avec inquiétude, croyant qu’il était atteind d’une maladie dangeureuse, tel que la peste noire, ou une autre maladie horrible. Lorsqu’il s’endormit, ses rêves furent peuplés de cauchemars horribles, du genre que Borëa allait être attaqué par des monstres immondes, et ce qui le répugnait le plus, c’était qu’il en était le chef. Toute tentative d’échapper à cette autre consience qui le gardait bien ancré au pays des rêves était inutile. Le jeune homme essaya une fois, mais sans succès. Il se tappa, se pinça, se frappa même, mais c’était toujours sans effets. Il craignit alors que c’était vrai qu’il devenait malsaint, alors il fut parcourut de violents sanglots et soudain, il vit une jeune fille, une fée, participer à la bataille. Sa bravoure et sa grâce enviaient Macrisar, qui tombait peu à peu amoureux de cette jeune fille qui envoyait des étincelles dorées avec sa douce chevelure. Elle maniait une splendide dague qui embrochait chaque ennemi, un à la fois. Soudain, elle se retourna vers lui et lui jeta un regard noir. Ses ailes bleutées s’agittèrent d’impatience et elle alla lui transpercer le cœur. Mais un troll alla frapper violamment la tête de la fée qui lui arracha un œil. Une quantité de sang incroyable gicla sur les combattants qui prenaient peu à peu l’avantage chacun leur tour. Lorsque Macrisar commençait à aimer pour de vrai la fée, il se sentit prit de vertiges et aspiré dans un tourbillon infini. Le décor autour de lui s’éffaça de plus en plus, jusqu’à ne plus exister du tout. Tout était devenu noir, complètement noir. Puis, une lumière rougeâtre commença à transpercer les rideaux d’ombre et à peupler complètement la vue du borëen. Mais soudain, il se sentit libre d’ouvrir les paupières et il le fit, à contrecoeur. Il revit alors qu’il était dans sa petite maison campagnarde, son lit à moitié déchiré ar les âges et le vieux bois pourri qui sentait le moisi. Le jeune homme se leva et s’habilla, et tout lui revenait en tête : De sa naissance, à sa soif d’aventure. Il reprit son équipement de voyage et sortit de sa maison. L’air était doux et mêllé au parfum de la ferme. Le jardin remplit de grandes fleurs roses se balayaient au vent et le ciel était bleu clair, illuminé par le pâle soleil doré qui dominait les astres. Une légère brise vint s’épanouir et jouir de la chaleur qu’émanait le garçon. Prenant son courage à deux mains, il traversa le village avec détermination. Connu dans toute la place, on apercevait souvent une main qui se secouait tendrement en sa direction, ou un soupir venu de la bouche des jeunes filles qui disait admettons :
Qu’il est beau! Ou encore : Dommage qu’il ne veuille pas avoir d’enfant! Et Macrisar répondait toujours d’un sourir chaleureux, ce qui vesait parfois évanouïr ses admiratrices. Le chemin de pierres menait tout droit dans le palais, donc il arriva sans trop de problèmes. Macrisar alla demander une quête des plus insensée à la reine Borëenne Nilosä XVI de Lira. Il déclara, comme demande :

- Votre excellence, mon cœur n’a fait qu’un bond lorsque j’ai pensé à une aventure remplit de dangers. Puis-je vous demander de faire partie d’une de ces épopées magiques?

- Aucune guerre ne nous entoure, et aucun monstre de l’île ténébreuse de Nightmapolis ne nous inquiète, lui répondit-la reine. Les seuls torts que les borëens ont viennent des grottes de feu. Leurs démons assassinent nos mineurs pendant leur sommeil. Mais je n’envairrai jamais un jeune garçon de vingts ans dans cette quête suicidaire. Pour t’empêcher de faire des bêtises, je vais t’offrir une garde royale.C’est une fée nommée Aryanna.

À cet instant, une jeune fille aux cheveux ondulés et d’ambre entra dans la salle du trône. Les deux ailes de miel ouverte, elle projetait de beaux rayons multicoclores sur les murs de briques. Macrisar supposa qu’il s’agissait d’Aryanna. Mais, soudain, une émotion qu’il n’avait jamais connu -sauf pour l’autre fée qui peuplait ses rêves- le conquit. Son cœur battait la chamade, il suait de partout et ne pouvait la quitter des yeux. Il découvrit alors l’amour envers quelque chose de réel.

- Me voici, votre majesté, déclara la suposée et assurément Aryanna.
- Bonjour, jeune fille, lui répondit Nilosä. (Elle se retourna vers Macrisar) Voici ta garde personnelle, Macrisar!
- Et oui! continua la jeune fille aux ailes couleur de miel.

La voix de la fée traversa l’esprit de Macrisar, le purifiant. De toutes les choses douces qu’il avait vu, Aryanna était la plus belle. C’est alors qu’une soudaine envie de l’emmener avec lui, lui passa par la tête. Ce qu’il ne se doutait guère, était qu’Aryanna aussi découvrait l’amour envers Macrisar. Alors la reine s’écria :

-Maintenant, partez jeunes gens. Et Macrisar, Aryanna t’a à l’œil.

Alors, Macrisar et Aryanna partirent du château royal.

Plusieurs semaines passèrent, et les deux borëens s’avouèrent enfin chacun leur tour leur amour. Après une nuit de rêve ressemblant à une lune de mielle, ils apprenèrent subitement qu’Aryanna était tombée ensceinte d’un fils, ce qui découragea grandement les jeunes filles du quartier. Mais Macrisar devint de plus en plus agressif, dut au sortilège de Digzali, et l’enfant devait naître bientôt…

MERCI CYANIDE

Dankawawah! Vous trouvez-ça comment???

Prière de poster ceci dans le topic orthographe avant que je donne mon avis...

perso, j'aime bien.
(je cherche une critique constructive depuis que tu me la montré hier ce texte)

Je sait... -___-"
Tlina, il faut que je l'en voit à orthographe avant de poster ici?

C'est juste ce que je dis quand je vois des fautes dans les premières lignes d'un texte. (T'inquiète, Mero aussi a subi ma correctionnite aiguë...)

C'est vrai que ça peut s'appeller une maladie!
Je te l'envoie!

Halchel a écrit:

cet atrocerie

Ca, c'est vraiment une ATROCITE!!!!


Bon, le prologue maintenant.
Le début était laborieux, aussi bien dans les phrases que dans ce que tu racontais, jusqu'au moment où tu racontes le rêve que Macrisar a fait! Là j'ai trouvé ça bien et ça m'a donné envie de lire la suite!
A la fin, l'histoire de leur "lune de miel", c'est un peu trop rapide je trouve. Enfin je veux dire, tu nous fais un mini paragraphe où ils font leur "lune de miel" et tout de suite après on apprend que la fée est enceinte!
Certaines phrases sont mal tournées ou reflètent trop le langage qu'on utilise quand on parle, ça le fait pas.

Euh... je crois que c'est tout!

Petite question: Aryanna, ça viendrait pas de Arya dans Eragon par hasard?

Je trouve cela pas mal....

Comme dit Soeurdunefolle par contre travaille bien tes constructions de phrases et attention aux répétitions et fautes d'orthographes...

Bon travail

Moais je sait...
Mais soeurdunefolle, pas du tout! C'est un genre de "Arianne", mais avec un "anna" après. Mais je voulais un non plus fantastique que "Arianna", alors, j'ai mis un "Y"...
(Par exemple, Aryan, la gardienne de la prophétie, oui!)

oO- Cyanide -Oo a écrit:

Concernant tes clichés, il y en a mais ça on ne peut pas éviter d'en utiliser certains si on est dans le domaine de la fantasy et du fantastique. Tu es jeune donc je pense que avec le temps tu réussiras à utiliser tes propres idées, jamais utilisées ailleurs !!!

Je ne veux pas dénigrer la fantasy, mais des idées nouvelles, c'est pas tous les jours qu'on en voit dans ce style...

Halchel a écrit:

Moais je sait...
Mais soeurdunefolle, pas du tout! C'est un genre de "Arianne", mais avec un "anna" après. Mais je voulais un non plus fantastique que "Arianna", alors, j'ai mis un "Y"...
(Par exemple, Aryan, la gardienne de la prophétie, oui!)

C'était juste une question anodine ^^

euh... dans ton sondage tu as mis les choix : "poche" et "mioche" en clair ça veut dire quoi ?

Je te diraisce que ça veut dire précisément mais c'est plutôt négatif...

Poche: Pas bon du tout
Mioche: Dégeulasse!!!!!!!!
Disons que j'espère juste pas avoir de "poche" ou de "mioche"..
(Ah, ces français, ils faut tout leur expliquer...--")

a c'est claire on est une bande d'ignorant ! lool

ps : je te met ma critique des que je peut, certainement demain, j'aurais plus de temps. je vois ça dans le car et je te dit tous demain promis.)

Halchel a écrit:

Poche: Pas bon du tout
Mioche: Dégeulasse!!!!!!!!
Disons que j'espère juste pas avoir de "poche" ou de "mioche"..
(Ah, ces français, ils faut tout leur expliquer...--")

C'est pas de notre faute non plus si on comprend pas votre langage, aussi! Non mais oh

alors avant de commencé, j'aimerais rappellé pour Mero et Robin qui on posté au début que Halchel n'a que 11ans. c'est normale que son texte ne soit pas parfait.

bon alors déjà désolé, oui hiers j'ai oublié
voilà donc je vais commencé ma critique, bon tu risque de prendre peur parce qu'elle est super longue, mais ne t'inquiet pas, c'est toujours comme ça... ( Cyanide te le confirmera.) mais si tu prend peur rien qu'en voyant ce commentaire, je jure de ne jamais te montré les feuilles que tu ma permis de photocopier. même sous la torture. lool sinon tu prendrais une crise cardiaque.
non au fond c'est pas parce que ce que je dis fait trois kilomettre de long que forcément ça veu dire que c'est nul, au contraire, et puis aucuns, je dis bien aucun, texte n'attint la perfection. de toute manière tu as 11 ans, tu as le temps encore pour amélioré tes écrits.

bon trève de plaisantris, commençons...

Citation :

Il était une fois

c'est trop banal, et puis lorsque tu commence une histoire il faut trouvé quelque chose de "spéctaculaire" pour que le lecteur ais envie de lire le texte.

Citation :

La légende

j'ai un peut l'impréssion que tu en parle comme si tu supposais qu'on savait déjà qu'il y avait une légende dans l'histoire, mais c'est pas évident. et puis comme j'aime bien dire (j'ai du la piqué à un prof celle là ) il faut concidéré que le lecteur est ignorant, il est bête il ne sait rien, il faut tous lui expliqué. en gros c'est ça.

Citation :

magiquement magnifique

Si tu di seulement magnifique, ça suffira, lool tu en rajoute un peut, ça fait "lourd" mais surtout ça veu pas dire grand chose.

Citation :

Ce monde se composait d’immenses montagnes, de forêts magnifiques, de mer remplis de monstres marins assoifé de tout ce qu’il y a de plus sadique et de sombres cavernes remplies de danger pour tous les innocents qui osent s’y aventurer.

Je ne suis pas certaine que le mots soit vraiment adapté. à toi de voir.

Citation :

Une technologie mystique extrêmement avancée pour ce monde semi-médiéval, une verdure infinie et des peuples merveilleux en harmonie.

Alors ça, c'est le genre de chose, qui me fait rire, car on oubli souvant que même si il s'agit d'un monde imaginaire inventé de toute pièce, on sait éforcé de crée une atmosphère, ici médiéval, de l'ancien temps, avec des épée et tous, mais pourtant, on y trouve de la thechnologie lol. je sais ce que tu voulais dire, mais voilà ça fait sourir, c'est comme si je te diais, qu'on était chez les chevalier, et qu'il avait une technologie avencé. dans ce cas, pourquoi se battent ils avec des épée et non avec des révolvers et des mitralette ??
lool

Citation :

Ces terres fabuleuses ont pour nom : Azeviel.

alors là je donne une critique globale, sur ce point, garde le même temps, et oui c'est important, car où ça se passe aujourd'hui, ou sa se passe hiers, mais pas les deux à la fois.

Citation :

Presque tout était parfait, comme le fonctionnement, la vie, les créatures, sauf pour cette exeption. Ce petit hic… sauf les grottes de feu.

Alors déjà nous avons une petite répétition, mais j'y reviendrais toute à la fin. et puis voit tu, le mots "Sauf" n'est pas très ien adapté à un texte écrit. en effet ça s'emploie plus à l'oral que à l'écrit. je suis sur que toi même si tu relisais la phrase tu te dirais qu'il y a un hic, comme tu dis.

Citation :

Ils ont mutés, transformé en spectres terribles ou en orcs impitoyables.

Déjà tu utilise le mot muté et transphormé, alors ont pourrais croire que c'est pour le style, je veu dire que c'est fait expret, enfin tu vois ce que je veu dire lol. mais pour celà il aurait fallu que tu utilise 2 fois le même mots. car là ont pourrais plus considéré celà comme une petite répétition.

Citation :

Un jour, ce jeune garçon au sombre destin naquît.

Un garçon ? mais parce que tu nous à parlé d'un garçon ? lool introduit notre ami Macrisar autrement, car lorsque tu dis, " Ce garçon", tu considère que nous le connaissons déjà. or, ce n'est pas le cas, à moins que je me trompe...

Citation :

Sa vie fut celle d’un paysan bien normal,

Personnellement, ( à oui parce que je donne souvant mon avis, je dis souvant comment moi je l'écrirais.) j'écrirais donc ce passage ainsi :" Sa vie fut celle d'un paysant tous ce qui à de plus tranquille."
voili voilou.

Citation :

La vie était toujours magique.

je sais pas ce que tu en pense, mais je trouve que cette phrase sert un peut à rien, car elle ne sui pas la logique de la précédente. enfaite ça fait même assez bizarre de la trouvé ici en plein milieu.

Citation :

Parfois, il allait voir les mages user de leur spectaculaire magie pour l’admiration du public, ou sinon, il allait faire un tour chez le vieux conteur pour écouter ses belles histoires de dragon, de princesses, de chevaliers et de sorciers.

lol alors oui comme suvant dans ton texte les choses aparaissent d'un coup. quand on lit le debut de ton prologe, nous n'avons pas forcément l'impréssion qu'il s'agit d'un texte de fantasy, et puis là en un petit claquement de doitgs, la magie apparait. lol, tu devrais nous mettre dans l'ambience des le debut...

bon désolé je dois partir, mais je revien demain, ou en tous cas très vite. ( et oui pour les vacance on dit les pipite HOURA !! lol le premier qui me dit qu'il finit demain, il aura affaire à moi )

bon je te laisse, mais je suis déjà certaine que tu regrette de m'avoir demandé de lire ton texte