Le paisible univers des jeunes écrivains en herbe... |
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| Mon chti roman ^^ | |
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Vadcar76800 Auteur
Nombre de messages : 12 Age : 33 Date d'inscription : 30/01/2009
| Sujet: Mon chti roman ^^ Ven 30 Jan - 19:08 | |
| Will, la planète paradisiaque
Chapitre 1 : Une découverte surprenante
Monsieur Julien et madame Estelle Borel avaient toujours eu cette envie d'habiter à la campagne, non pas parce qu'ils ne se plaisaient pas en ville, mais car ils ne s'étaient jamais plu dans un quartier assez défavorisé. Ils avaient passé leurs dix dernières années avec ces bruits d'usines et cette pollution incessante, mais ils pouvaient être désormais tranquils et profiter d'un calme plat, campagnard. Deux grands enfants composaient leur vie, prénommés Elyse, l'ainée, et Jason, le cadet. Ces deux personnages avaient des caractères différents, à savoir qu'Elyse était plutôt calme et réservée, contrairement à Jason, qui était agitateur. Leurs points communs étaient rares. Les Borel s'éxilèrent à Romilly - Sur - Andelle, une ville très calme, qui ne comptait que très peu d'habitants. Jadis, ils s'étaient plu en ville, à Saint-Etienne-Du-Rouvray, mais cottoyer des gens qui n'avaient pas le sens du respect ne les avait pas trop enchanté. Il y avait souvent des personnes méprisantes, qui passaient leur journées dehors, à s'en prendre aux plus jeunes qu'eux. Leurs enfants étaient leurs principales victimes. Ils profitaient surtout d'Elyse et de sa timidité car ils savaient qu'elle ne dirait rien si ils lui faisaient des misères. Les habitants du quartier étaient différents, de par leur culture, leur couleur de peau, leurs origines... Les enfants Borel en souffraient à longeur de journées mais n'osaient pas en parler à leurs parents, par peur de représailles. Mais un beau jour de janvier, Jason prit les choses en main, il leur révéla tout, jusqu'à les convaincre de déménager. Julien n'avait pas d'emploi, officiellement. Il aimait rechercher des nouvautés, faire des découvertes mais ce qu'il aimait faire par-dessus tout, c'était bricoler. Il vivait avec le chômage, les allocations familiales et était fier ainsi. Quand à sa femme, elle était mère au foyer, préférant garder ses enfants, scolarisés au collège le plus proche de leur domicile : Louise Michel. Monsieur Borel était brun et bien coiffé. Le plus souvent, il portait des pulls en laine qui se mariaient bien avec des jeans bleus, délavés, comme beaucoup de gens lui faisait remarquer. De temps à autre, il mettait des shorts pour être à son aise. Estelle était de petite taille, et avait des cheveux noirs et longs. Elle s'habillait souvent avec une longue jupe bleue ainsi qu'un gilet rouge en laine mais aimait aussi les jeans ou les tee - shirts. Leur arrivée à la campagne était des plus difficiles, ils avaient loué une caravane grâce aux aides sociales, qui contenait très peu d'espace. Le temps était souvent très médiocre, ce qui n'empêchait pas les gens aux alentours de loger dans des caravanes. La ville logeait également les habitants dans des maisons. Elle représentait un vaste terrain vague, avec de l'herbe, et animaux tels que des vaches, des poules... Il y avait une aire de jeu, avec des buts pour jouer au football, ou encore des paniers de basket. Au premier contact avec leurs voisins, le visage des Borel en disait long sur leur joie, ils passaient le bonjour à tout monde, mais personne ne les regardait vraiment en face. Ils se contentaient plutôt de les dévisager, de leur lancer des regards dédaigneux, sans que quelqu'un ne comprenne. En toute ignorance, les parents Borel décidèrent de regagner leur logement, afin de s'occuper des premiers rangements, des premières tâches ménagères. De leur côté, les enfants rejoignirent le terrain ; des jeunes de leur âge jouaient au football. Ils étaient cinq exactement. Il y avait un garçon, de couleur de peau noire, une fille rousse, un garçon avec de l'embonpoint, un autre handicapé physique, ainsi qu'une fille, petite de taille. Ils jouaient paisiblement, lorsqu' Elyse dit : - Bonjour, pouvons-nous jouer avec vous ? Nous sommes nouveaux. Le garçon noir eut un sourire. - Avec plaisir, dit-il. Moi, c'est Samuel Koumba. Voici Vincent Time - il désigna du doigt le garçon avec de l'embompoint -, Jessica Scrout - il fit de même pour la rousse -, Jean Naimarre- là, c'était l'handicapé qu'il visa -, et enfin Eva Nouissement- il parlait de la fille de petite taille -. Jason et Elyse rirent soudain. - Désolé, dit Jason, mais vos noms de famille et prénoms sont drôles. Les cinq " footballeurs " baissèrent la tête. - Nous somme habitués, dit Samuel, avec dégoût. Mais enchantés de faire votre connaissance Jason et Elyse étaient redevenus sérieux, échangeant même un regard interrogateur. - Oui, expliqua Samuel, qui jouait les porte-paroles, nous sommes dans cette ville depuis un bon bout de temps, et personne ne respecte notre différence physique, on nous insulte gratuitement. Je trouve ça injuste. - Nous sommes désolés, s'excusa aussitôt Jason, qui avait vécu ce genre de situation dans son ancien quartier. Nous avons aussi été victimes de mépris. Les gens nous prenait pour des chiens. - Alors quelles sont vos différences ? Vous n'êtes pas noir, ou handicapé. - Nous avons un style vestimentaire différent du vôtre, car nous sommes pauvres, expliqua Elyse. Mais qui peut bien vous insulter ici ? Vous devez connaitre tout le monde... - Ce sont des personnes agressives, grandes de taille et autoritaires. Ils font tout pour nous contrarier. Nous sommes leurs esclaves. Ils sont au même nombre que nous, mais deux fois plus costauds, intervint Vincent Time. - L'union fait notre force, dit à son tour Jessica Scrout, pour se donner du courage et de la volonté de réussir. En tout cas, je suis ravi d'avoir fait votre conaissance. - Nous aussi, reconnu Jason, le sourire aux lèvres. Etant donné que Jason et Elyse avaient vécu de pareilles situations dans leur ancien quartier, il était difficile pour eux de refuser d'aider une bande de gens différents les uns comme les autres, eux aussi victimes de personnes physiquement supérieurs à eux. Jason avait constaté que lui et sa soeur étaient assez à leur aise en leur présence et que s'ils avaient un quelconque problème, ils savaient à qui en parler. Une chose est sûre, le mental de tous s'était renforcé et ils étaient prêts. Alors qu'ils échangeaient leur amitié, une bande de cinq garçons vêtus de vestes en cuir, tous de grandes tailles, et coiffés de gel s'approchèrent d'eux. L'un d'eux avait une crête, il semblait être un chef. Le chef de son groupe. - Alors on s'est fait des amis ? demanda-t-il d'un regard dédaigneux. Vous ne nous présentez pas vos copains tous droits venus d'une poubelle ? Sa blague le fit rire un petit bout de temps et sa bande s'y joint, ils ne pouvait plus s'arrêter. - Qui êtes-vous pour nous parler de cette façon ?, s'emporta Jason. Elyse sentit son coeur faire des bonds. Elle aurait voulu être à la palce de son frère pour ne pas les provoquer mais c'était impossible. Samuel Koumba avala sa salive, les autres regardaient leurs pieds. Le garçon à la crête avait retrouvé son sérieux. - Mais on est nouveau à ce que je vois, dit-il. Personne ne m'a jamais parlé sur ce ton ici, tout le monde me respecte ! Pour la peine, tu auras une punition. Mais comme tu es nouveau, je saurais être clément avec toi. Lave mes chaussures avec ta salive. - Et puis quoi encore ? s'emporta de nouveau Jason. Personne n'a peur de vous maintenant que nous sommes là ! Pas vrai ? Il s'était tourné vers Samuel, comme s'il voulait lui faire rappeller leur accord. Mais personne d'autre ne bougea le petit doigt, sûrement par peur. - Je vois que tu es seul contre nous cinq, lança le garçon à la crète, avec un sourire sarcastique. Nous sommes les terreurs de ce camping. Personne d'autre d'entre tes amis ne bougera, malgré votre soi-disant pari. Il était clair que Jason ne comprenait plus rien, il s'était arrangé avec Samuel et les autres pour se défendre contre n'importe qui et voilà que personne n'agit alors face à face avec cinq garçons massifs. A contre-coeur, il dû se raviser, changer de balle de camp, il devait même jusqu'à aller laver les chaussures de ce qu'il semblait être le chef avec sa salive, car personne d'autre ne viendrait l'aider, il était bien trop seul. De plus, son visage ne devait pas montrer de haine, car la bande des cinq garçons pouvaient se ruer sur lui. L'exécution fut immédiate, les autres ne pouvaient qu'observer la scène avec un certain dégoût. Jason fit ce que le chef lui demanda, ce dernier regardant s'il faisait son travail correctement. Il n'y avait que dans sa tête que la rage se faisait le plus ressentir. Devait-il préférer la campagne ou la ville ? Etait-il fait pour être pris pour un esclave ? Que penseraient ses parents s'ils savaient ça ? Tout à coup, en entendit la voix de Julien Borel, depuis la fenêtre entrouverte de la caravane. C'était là que Les cinq garçons à la veste de cuir s'en allèrent, en prenant bien le soin de rapeller à Jason et aux autres qu'il n'était pas necessaire de répéter la scène à quiconque. Samuel dit un dernier au revoir à Jason et Elyse, mais c'était un au revoir amer car personne n'avait osé le défendre et surtout respecter leur pact. - Les enfants, le repas est prêt ! cria Julien. Ce soir-là, la famille Borel dina dans le calme et la joie de se retrouver. Julien raconta à sa femme qu'il se plaisait à la campagne, et vint le moment où il posa la même question à ses enfants qui n'osèrent en dire plus sur le sujet. - Qu'est-ce-qu'il ne va pas ?, interrogea Julien, un peu perplexe. Elyse et Jason échangèrent un regard. - On a du mal à s'acclimater, c'est tout, mentit Elyse. Il n'y a rien ici ! - Ce n'est pas nécessaire de s'énerver, dit Estelle d'un ton parfaitement calme. De toute façon, je suis sûre que vous allez vous plaire. Le haussement de ton d'Elyse avait choqué tout le monde, même Jason qui sentait qu'elle pouvait tout raconter sur ce qui s'était passé avec les cinq garçons, car elle ne s'était pas trop manifesté. Estelle et Julien échangèrent un regard, se demandant qu'est ce qui avait bien pu se passer pour que leur fille réagisse comme ça. D'un côté, Elyse et Jason se savaient condamnés à tout dire, les parents n'allaient pas les lâcher d'une semelle, mais d'un autre, ils pouvaient éviter de parler du sujet et laisser tomber. Julien et Estelle étaient adultes après tout, ils savaient beaucoup de choses sur leurs enfants, notamment leur façon de penser. - Nous sommes fatigués, dit Jason, en bâillant. En tout cas, je vais aller me coucher, moi. - Moi aussi, dit Elyse. - Attendez !, dit Julien qui voulait à tout prix savoir ce que ses enfants avaient en détournant la conversation. Je vous aie inscrit au collège du coin et vous y irez demain. Il s'appelle Emile Zola. Et je peux d'ores et déjà vous dire que beaucoup d'enfants de nos voisins y sont inscrits. - Super ! mentit de nouveau Jason qui craignait que la bande des cinq garçons méchants y soit aussi. Une fois couchés, Elyse et Jason ne s'endormirent pas immédiatement. Ils parlèrent de la journée qui était passée, et surtout de cette rencontre avec la bande des cinq garçons méprisants à la veste de cuir. Comment pouvait-il y avoir des problèmes à la campagne alors que d'habitude le calme régnait ? C'était dans les quartiers où les provocations et bagarres se produisaient le plus souvent. Pourquoi Estelle et Julien avaient décidé d'y habiter alors qu'ils se plaisaient à St-Etienne-Rouvray ? Ces derniers les avait laisser se reposer car le lendemain serait une rude journée pour eux. Le lendemain matin, au réveil, le temps était maussade et les enfants eurent du mal à sortir de leurs couettes. Ils avaient discuté jusqu'à une heure du matin. Julien se dirigea vers ce qui ressemblait à une cuisine et trouvit une lettre qui sentait le parfum. - Merci d'avoir pensé à moi, chérie, dit - il à Estelle, lorsqu'elle le rejoint. Elle était encore endormie mais il l'embrassa. Il paraissait être de bonne humeur. - Mais de quoi parles-tu mon amour ? demanda Estelle, incrédule. - Bien de cette lettre parfumée que tu m'as faite livrée... - Mais je ne t'ai rien f... - Si, regarde, coupa Julien, qui lui montra la lettre. - Désolée, mais ce n'est pas moi qui te l'ai envoyée, protesta Estelle. As-tu pris le temps de la lire, au moins ? Julien hésita. - Non, avoua-t-il, son sourire ayant disparu. Déconcerté et sûr de lui, il lu à haute-voix :
Cher famille Borel,
Je me permets de vous écrire aujourd'hui afin de vous annoncer une nouvelle importante. En outre, on m'a confié une mission vous concernant, et dont moi - même ai la noble tâche d'accomplir. J'y reconnais sa grandeur, et j'y est mis tout mon coeur à l'ouvrage. Ce que j'ai à vous dire pourrait créer un changement dans votre vie. Bien-entendu, vous-même êtes maîtres de votre vie, mais ce que je sais démentirait les informations qu'on vous aurait données. J'espère avec force que tout sera pris en compte. Je vous annonce officiellement que vous êtes nés sur une autre planète, Will et qu'elle a été créée par vos ancêtres, il y a environ six milliards d'années. Je peux d'ores et déjà vous dire qu'il existe un livre où l'on y raconte la vie de vos ancêtres. De plus, un problème majeur existe : il y a toujours des habitants au moment où je vous écrit, et ils subissent deux heures de catastrophes naturelles par jour, comme les tornades... Celles - ci ont été laissées volontairement par vos ancêtres, lorsqu'ils ont quitté Will. C'était pour créer un passage secret entre cette planète et la Terre. Ils ont conçu Will pour que vous connaissiez le bonheur, le vrai. Bien - sûr, je ne suis q'un assistant, mais je ne sais où se trouve ce passage secret. De plus, pour le créer, ils durent apporter trois boules de cristal qui renfermaient des poudres uniques de couleurs bleue, blanche et rouge. Mais il y a encore un problème : ces trois boules seraient éparpillées dans un endroit encore méconnu en Haute - Normandie. | |
| | | Tlina Co-Admin
Nombre de messages : 1025 Age : 35 Localisation : quodam loco in orbi terrae Loisirs : go, lire & écrire (bien sûr), écouter the klaxons, commencer des romans inachevés Date d'inscription : 04/06/2007
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| Sujet: Re: Mon chti roman ^^ Sam 31 Jan - 13:05 | |
| C'est assez sympathique comme texte. Il y a deux ou trois détails un peu naïfs (je trouve) et quelques fautes par-ci par-là mais on sent que c'est une bonne base. Selon moi, c'est encore à améliorer mais c'est vraiment un bon début. | |
| | | Vadcar76800 Auteur
Nombre de messages : 12 Age : 33 Date d'inscription : 30/01/2009
| Sujet: Re: Mon chti roman ^^ Sam 31 Jan - 14:22 | |
| Eh bien, je te remercie pour ton petit commentaire qui m'a beaucoup fait plaisir et je compte me servir de ton aide. Qu'est-ce-qui ne va pas selon toi ? | |
| | | Barbara Auteur
Nombre de messages : 63 Age : 46 Date d'inscription : 26/01/2009
| Sujet: Re: Mon chti roman ^^ Sam 31 Jan - 16:31 | |
| Je trouve que l'idée de base de ton histoire est bonne. Des exilés sur Terre, c'est pas mal. Il y a ensuite plein de possibilités pour faire une histoire.
Mais il y a beaucoup de fautes d'orthographe. Certaines phrases sont mal construites. Par exemple, dès le début, au lieu d'écrire "Monsieur Julien et madame Estelle Borel", vaut mieux mettre "Monsieur et madame Borel". Tu préciseras leurs prénoms respectifs plus tard. Comme pour "si ils lui faisaient des misères", ce n'est pas la meilleure façon de dire qu'elle était leur souffre-douleur. Il y a une phrase qui me gêne: "un garçon avec de l'embonpoint, un autre handicapé physique". Ce passage laisse sous-entendre qu'un embonpoint est un handicap. Cette allusion peut être mal interprétée par un lecteur qui aurait lui-même de l'embonpoint. L'embonpoint n'est pas un handicap. C'est l'obésité à un certain niveau qui peut l'être.
J'espère que ce que je te dis là ne te vexe pas trop... C'est pas facile de recevoir des critiques et ensuite de les mettre à profit pour améliorer son texte, mais c'est pour ça que tu as posté ton texte ici, non? | |
| | | Vadcar76800 Auteur
Nombre de messages : 12 Age : 33 Date d'inscription : 30/01/2009
| Sujet: Re: Mon chti roman ^^ Sam 31 Jan - 17:10 | |
| Parfaitement, toutes les critiques sont bonnes à prendre, je suis aussi ici pour m'améliorer et je trouve que tes critiques sont vraies mais bon, certanes expressions font mon style, ce qui ne veut pas dire que je ne compte pas les changer... Je suis inscris sur plusieurs forums ( 4 je crois ) et m'a insulté parfois, pris pour un moins que rien alors que je sais que ce n'est pas ce que je suis ! Bref, tes conseils sont bons, je vais les prendre. Merci. | |
| | | Barbara Auteur
Nombre de messages : 63 Age : 46 Date d'inscription : 26/01/2009
| Sujet: Re: Mon chti roman ^^ Sam 31 Jan - 17:32 | |
| Il y en a qui insultent pour se donner de l'importance. Ils se croient plus malins et méprisent ceux qu'ils jugent "inférieurs" à leur propre talent. Ils pensent qu'agir ainsi va les faire passer pour des gens brillants. Il ne faut pas leur accorder d'attention à ceux-là. Comme disait ma grand-mère adorée qui a passé du temps à corriger mon premier roman: "Cent fois sur le métier tu remettras ton ouvrage" et moi je rajoute: "Quand on veut vraiment quelque chose, on fini toujours par y arriver" (comme dans "Retour vers le Futur" ). | |
| | | Vadcar76800 Auteur
Nombre de messages : 12 Age : 33 Date d'inscription : 30/01/2009
| Sujet: Re: Mon chti roman ^^ Sam 31 Jan - 18:49 | |
| Merci de ton soutien c'est gentil vraiment | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mon chti roman ^^ Dim 1 Fév - 0:12 | |
| Je n'ai pas encore pris le temps de lire le texte, je veux juste dire que je ne suis pas d'accord avec ça : "Il y a une phrase qui me gêne: "un garçon avec de l'embonpoint, un autre handicapé physique". Ce passage laisse sous-entendre qu'un embonpoint est un handicap." > Non, au contraire, si on dit "l'un [a] de l'embonpoint", tandis que l'"autre [est] handicapé physique", on met justement les deux caractéristiques en opposition : On dira couramment "L'un blond, l'autre brun", pourtant, ça ne sous-entend en aucune manière qu'un blond est brun ou vice-versa. De même, si on dit "L'un était blond, l'autre avait les yeux bleus", ça sous-entend justement, même si ce n'est bien sûr pas explicitement précisé et donc pas certain, que le blond n'a pas les yeux bleus, et vice-versa.
Les autres critiques sont pertinentes, par contre ^^ |
| | | Tlina Co-Admin
Nombre de messages : 1025 Age : 35 Localisation : quodam loco in orbi terrae Loisirs : go, lire & écrire (bien sûr), écouter the klaxons, commencer des romans inachevés Date d'inscription : 04/06/2007
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| Sujet: Re: Mon chti roman ^^ Dim 1 Fév - 21:57 | |
| - Citation :
- Les habitants du quartier étaient différents, de par leur culture, leur couleur de peau, leurs origines...
Ca par contre, ça peut carrément être mal pris. On pourrait comprendre que tu dis "ils sont différents DONC ils persécutent les enfants Borel", et avec la référence à la couleur de peau on pourrait te taxer de racisme. Bien sûr je ne crois pas que ce soit le cas, mais utilise une formule moins ambiguë. | |
| | | Barbara Auteur
Nombre de messages : 63 Age : 46 Date d'inscription : 26/01/2009
| Sujet: Re: Mon chti roman ^^ Lun 2 Fév - 11:01 | |
| - Oscar Wilde a écrit:
- Je n'ai pas encore pris le temps de lire le texte, je veux juste dire que je ne suis pas d'accord avec ça : "Il y a une phrase qui me gêne: "un garçon avec de l'embonpoint, un autre handicapé physique". Ce passage laisse sous-entendre qu'un embonpoint est un handicap." > Non, au contraire, si on dit "l'un [a] de l'embonpoint", tandis que l'"autre [est] handicapé physique", on met justement les deux caractéristiques en opposition : On dira couramment "L'un blond, l'autre brun", pourtant, ça ne sous-entend en aucune manière qu'un blond est brun ou vice-versa. De même, si on dit "L'un était blond, l'autre avait les yeux bleus", ça sous-entend justement, même si ce n'est bien sûr pas explicitement précisé et donc pas certain, que le blond n'a pas les yeux bleus, et vice-versa.
Les autres critiques sont pertinentes, par contre ^^ Ta remarque est très juste, Oscar, mais dans la phrase, pour que ce que tu dis soit exact, il aurait fallu qu'on trouve une virgule: "un garçon avec de l'embonpoint, un autre, handicapé physique, " et préciser son handicap pour bien comprendre. Ou alors, qu'il y ait écrit "l'un des garçons avait de l'embonpoint, l'autre un handicap physique" et il faut aussi préciser de quel handicap il s'agit. | |
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