Le premier voyage [ Science-Fiction ]

Wouh! Ca promet ^^ "Tancredi", ça me fait penser au nom de la doctoresse dans "Prison break"!

Bizarre... Bizarre...

Par la suite, j'ai un type qui s'appelle Steadman, c'est aussi dans Prison Break, non ?

la forme du texte est original, mais le fond n'est pas vraiment ce que l'on attend d'un prologur je pense, un prologue, c'est sencé nous apprendre des choses sur l'avent histoire, mais là c'est plus un résumé, ou... je sais pas trop comment le califié.
d'après moi, ça en dit pas assez, même si c'est pas mal. enfain c'est ce que j'en pense, tu en fait ce que tu veu.

En fait, au départ, c'était pas un prologue, mais j'ai considéré ça comme un prologue parce que ça m'arrangeait au niveau de l'écriture dela suite...

C'est un peu une sorte de bande annonce, si tu préfères...

ok, ça explique pas mal de choses !!

Chapitre I

Journal du commandant de bord

Aujourd’hui mardi 13 Octobre 2046. Avons dépassé le cap d’Herleport. Devrions atteindre base de réapprovisionnement n°11212b mercredi 20 octobre 2046 au plus tard. Cargaison : 450 tonnes de minerai de fer ; 1200 tonnes de minerai d’or ; 12 kilogrammes de bois.

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Peter observait le commandant Steadman rédiger son journal. Il était fasciné par cet homme. Une véritable personne d’expérience… L’allure bourrue, mais intelligent et droit comme peu l’étaient encore… C’est en tout cas ce que pensais Peter. Un jour, ce serait lui qui écrirait le journal de bord… Commandant Tancredi… Ca sonnait bien…

« TANCREDI ! AU POSTE DE PILOTAGE !! DE SUITE ! »

Ca c’était la voix douce et fluette de Briar Costbridge, l’assistant du copilote. Peter s’exécuta, il savait ce qu’aurait été capable de lui faire Costbridge s’il n’obéissait pas au quart de tour au moindre de ses ordres. Il était connu pour sa dureté envers ses subordonnés. Il avait été rétrogradé à ce poste après avoir arraché l’oreille droite d’un ingénieur qui l’avait défié. Au poste de pilotage, Peter retrouva Julius Clager (prononcer kleïgueur) et Frank Losting, les pilote et copilote. Heureusement pour Peter, Costbridge était parti. Il n’aurait pas à supporter ses consignes sans queue ni tête et incessantes. Il s’assit près de Frank et le questionna :

« Alors, du nouveau ? »

Sans lever les yeux de son radar, il lui répondit, tel un robot :

« Non, rien à signaler. Nous venons de dépasser Los Angeles. »

Il faut savoir que dans cette région de la galaxie, chaque étoile portait le nom d’une ville des USA, allant de Big city, petite village de 40 âmes dans l’Utah, à New York pour la plus grosse.

Peter continua, pour faire la conversation :

« Notre position est bonne ? »

Le copilote le regarda dans les yeux, le teint virant au rouge :

« Vous pourriez faire votre travail ?
- Et c’est quoi mon travail ?
- Nous laisser faire le notre ! »

Peter venait de se voir infliger une répartie cinglante… De se faire « casser », comme on disait, parait-il, dans les années 2000… Ils avaient vraiment un drôle de vocabulaire, en ce temps-là ! Peter se rassit, et se tus. Durant plusieurs heures, il resta là, captivé par le travail des deux hommes. Enfin, il décida de regagner son étroite cabine. Il marchait le long du couloir d’acier, lorsqu’un petit objet qui luisait à ses pieds attira son attention. C’était une petite montre en or, qu’il aurait pu mettre autour de son pouce sans pratiquement de mou. Il pensa naturellement à l’amener au commandant Steadman, mais il était fatigué de sa longue journée, mais surtout du voyage en lui-même. Cette expédition durait depuis maintenant près de sept mois, et il était vraiment temps qu’ils atteignent la terre. Aussi décida-t-il de remettre tout ceci au lendemain.
Il avala son repas en poudre (verser dans un grand saladier, et ajouter de l’eau), accompagné d’un bon pichet d’eau en poudre (verser dans un pichet, et ajouter de l’eau). Il se coucha rapidement, et en moins de quinze secondes, il avait sombré au doux royaume des rêves.

C'est bien court! Il y a que cette partie, ou y en a d'autres?

Bon en tout cas, c'est pas mal du tout, à part que quelques petites choses ne vont pas :

Citation :

Peter retrouva Julius Clager (prononcer kleïgueur)

La prononciation, je pense pas que ce soit utile de la mettre, le lecteur doit se débrouiller tout seul.

Citation :

Peter se rassit, et se tus.

"se tus" ==> "se tut" (petite faute d'orthographe J'ai pas pu m'en empêcher!)

Citation :

Il pensa naturellement à l’amener au commandant Steadman, mais il était fatigué de sa longue journée, mais surtout du voyage en lui-même.

Tu mets deux fois "mais" de suite, ça le fait pas, j'aurais plutôt mis "mais il était fatigué, en grande partie à cause du voyage."

Citation :

Il avala son repas en poudre (verser dans un grand saladier, et ajouter de l’eau), accompagné d’un bon pichet d’eau en poudre (verser dans un pichet, et ajouter de l’eau).

Ce qu'il y a dans les parenthèses, soit tu les introduis pour les mettre dans la phrase avec des tirets, soit tu les dis, parce que c'est pas spécialement utile non plus.


Voilà donc à part ces quelques petites choses, c'est très bien ^^

Soeurdunefolle a écrit:

C'est bien court! Il y a que cette partie, ou y en a d'autres?

Oui, il y en a d'autres.

Soeurdunefolle a écrit:

Citation :

Peter se rassit, et se tus.

"se tus" ==> "se tut" (petite faute d'orthographe J'ai pas pu m'en empêcher!)

C'est ce que j'avais mit, mais cet abruti de Mr Word s'est entêté à me dire que c'était faux ! Donc comme avec un s, il acceptait, j'ai laissé ça... J'ai préféré faire confiance à Word qu'à moi-même...

Soeurdunefolle a écrit:

Citation :

Il pensa naturellement à l’amener au commandant Steadman, mais il était fatigué de sa longue journée, mais surtout du voyage en lui-même.

Tu mets deux fois "mais" de suite, ça le fait pas, j'aurais plutôt mis "mais il était fatigué, en grande partie à cause du voyage."

Oui, j'ai rajouté le second mais en le tapant, et j'ai pas fait gaffe au reste de la phrase...

Soeurdunefolle a écrit:

Citation :

Il avala son repas en poudre (verser dans un grand saladier, et ajouter de l’eau), accompagné d’un bon pichet d’eau en poudre (verser dans un pichet, et ajouter de l’eau).

Ce qu'il y a dans les parenthèses, soit tu les introduis pour les mettre dans la phrase avec des tirets, soit tu les dis, parce que c'est pas spécialement utile non plus.

Petit détail absurde que je n'ai pas pu m'empêcehr de mettre...

RobinDHER a écrit:

C'est ce que j'avais mit, mais cet abruti de Mr Word s'est entêté à me dire que c'était faux ! Donc comme avec un s, il acceptait, j'ai laissé ça... J'ai préféré faire confiance à Word qu'à moi-même...

Eh ouai, Mr Word c'est un pas doué! Je serais toi, à part pour l'orthographe des mots, fait pas confiance à Word, en particulier pour la conjugaison!

PFFFF je suis nul en critique.
J'ai rien a dire, je n'avai même pas remarquer celle que t'a fait seurdunefolle, mais elles sont vrais. Je met le meilleur truc du sondage, c'est trop de calité pour que je puisse critiquer

Merci ! mais tu exagère ^^...

sa fait plus penser au résumer qui ce trouver a la quatrième page que a un prologue, mais sa donne envie d'en savoir plus en tout cas

Euh... Je ne parle pas du prologue... J'ai posté le premier chapitre, trois posts plus bas ^^...

Génial ton texte, avis d'en lire plus ! Mais un peu répétitif, mes good pareil !

voilà la suite :




Il était près de 6h PM lorsque Peter se réveilla. Bien que « fut réveillé » soit plus adapté, car la douce vois de Briar Costbridge, il s’en serait bien passé. En effet, l’assistant du vice copilote débarqua dans la cabine de Peter, l’interpellant de cette manière pleine de circonspection :
« TANCREDIIIII ! »
Ayant ainsi tiré Peter de sa torpeur, qui se demandait à présent d’où avait bien pu venir ce tremblement de terre spatial tout en recollant ses tympans, Costbridge enchaîna :
« Le commandant veut voir tout l’équipage au poste de pilotage, IMMEDIATEMENT ! Alors cous vous bougez ! »
30 secondes plus tard, Peter était au poste de pilotage. Il retrouva tout le reste de l’équipage, composé en tout et pour tout d’une vingtaine d’hommes. Le commandant Steadman prit la parole.
« Messieurs, nous sommes dans un situation critique, ou plutôt, nous le serons très rapidement si on ne fait rien. Nous avons été accroché par une sorte de sonde qui…
- Hum, hum !
- Oui, vous avez raison, Michael. Mr Scofield, notre ingénieur, vous l’expliquera bien mieux que moi.
- Alors voilà. Quelqu’un, dont on ignore tout, à introduit à bord un émetteur-récepteur, qui bloque les commandes du vaisseau. On ignore quand et surtout comment cet objet à été mis à bord, mais on sait qu’il a été activé hier à 11h09 PM. Je pourrais –je pense-, le désactiver facilement, mais je n’ai pas la moindre idée de où il se trouve. Nous pourrions, bien sûr, le rechercher, mais, étant donné la taille du vaisseau, cela pourrait prendre des semaines, voire des mois or ; nous avons exactement pour seize jours de nourriture et d’oxygène. Soit, d’après mes calculs, 994 chances sur mille de mourir de faim et d’asphyxie. Autant dire que nous n’avons aucune chance de nous en sortir de cette façon.
Mais mon génie, qui est grand, à bien évidemment trouvé une solution (L’intelligence du professeur Scofield n’avait d’égale que sa mégalomanie). Mais, comme vous vous en doutez peut-être, cette solution à un prix. La vie de l’un d’entre vous. Le héros qui accomplira cette mission aura des chances de survie avoisinant zéro. Il s’agit d’une mission très simple. Théoriquement. Accrocher un bloqueur d’ondes en un endroit stratégique du vaisseau, empêchant ainsi l’émetteur-récepteur espion de fonctionner. Seulement, il y a un hic. Une fois le bloqueur posé, le rétablissement des commandes entraînera aussitôt une considérable prise de vitesse -pas de courant-, ce qui larguera notre homme. C’est évident, même si vos cerveaux arriérés ne peuvent pas comprendre.
Il nous faut un héros pour cette tache. Un homme qui n’a pas froid aux yeux. Qui est ce héros ? Qui est volontaire ? »

Ce fut ce moment que choisit Peter pour sortir de son demi-sommeil. Il était dans un état second depuis que l’ingénieur avait commencé ses explications, et cela lui rappelait ses cours de maths d’antan, et ses longues heures de sommeil. Il n’entendit donc que ces quatre dernières phrases, et ce fut malheureux pour lui. On voulait un héros. Il se sentait l’âme d’un héros. Il est vrai que de voyager plusieurs mois aux côtés de Briar Costbridge sans se suicider relevait de l’héroïsme.
Alors que tout le monde regardait ses pieds en sifflotant, il dit d’une voix déterminée :
« Je suis ce héros. J’accomplirai cette mission. »
Le commandant, stupéfait de voir un des membres les plus jeunes de son équipage accepter une telle responsabilité, l’applaudit en disant :
« Applaudissez tous ce jeune homme, qui va donner sa vie pour nous sauver ! »
Peter ne put s’empêcher de répliquer :
« Oh, vous savez, c’est une façon de parler ! Je le fais aussi pour moi, vous savez ! Mais quelle est la nature de cette mission, au juste ? »
Scofield lui dit en aparté :
« Retrouvez-moi dans ma cabine dans une heure, je vous expliquerai tout cela plus en détails. »
Peter sortit, la tête pleine de rêves de gloire. Il allait devenir un héros ! Respecté et admiré de tous ! Il ne connaissait rien de sa mission pour cause de RTS (Rattrapement du Temps de Sommeil), mais ça avait l’air vachement important… Il prit un bon quart d’heure pour rentrer dans sa cabine s’habiller décemment (Il s’était habillé un peu vite, et portait actuellement ses chaussettes aux mains et ses gants au pieds), mais on l’interpellai sans cesse : « Quel courage ! » ou encore : « Merci pour votre dévouement ! »… On aurait dit qu’il venait de s’engager pour une mission suicide ! Il arriva enfin dans sa cabine, et s’assit sur son lit. Voilà que sa douleur à la cheville lui reprenait… Depuis son accident, il y a deux ans, cela lui revenait régulièrement. Il avait été renversé par une antique voiture, celle qui roulait encore à l’essence. Heureusement, elle roulait à moins de 200 Km/h, au lieu des 670 autorisés. Il s’en était tiré avec 15 jours à l’hôpital. Malgré sa douleur, il était très enthousiaste quant à sa mission. C’est alors qu’il le vit. Un petit morceau de papier, roulé sur son oreiller. Il le prit, et vit qu’il était écrit, en parfait anglais :

« Cher Mr Tancredi,
Vous êtes entré en possession d’un objet nous appartenant, hier à 11h09 PM. Nous avons donc été obligé d’activer la puce de sécurité. Nous vous serions reconnaissant de nous le restituer dans les délais les meilleurs. Le cas échéant, nous nous verrions dans l’obligation d’engager une procédure de récupération.

Veuillez agréer de mes sentiments les plus distingués, soyez assuré de mon amicale et entière collaboration, bien à vous pour toujours et à jamais dans l'unique but de servir l'espérance de votre satisfaction, dis bonjour à ton père et à ta mère, embrasse le chien, bonne pétanque, met ton écharpe fait froid dehors. Veuillez agréer de mon amour le plus inconditionnel et soyez assuré de mon entière dévotion quand à votre service, transmettez nos amitiés à madame, que le bonheur submerge votre demeure jusqu'à ce que les plafonniers fleurissent avec des ballons des connffetis des serpentins et des petites filles en robe rose avec des sucettes. Veuillez agréer de notre désir de votre corps contre le notre dans l'espoir mieux vous servir et éventuellement prendre un sauna un après-midi, soyez sûr que nous sommes incliné à 180° pour vous accomoder et témoignez de nos meilleurs attouchements, servez-vous le frigo est là ya la télé, faîtes comme chez vous, appelle mon cousion il a un 4x4 il va t'aider à déménager, ya les petits paniers de fruits, les petits cerf-volants les petits anges tous nus. Bien à vous.


MM. Spock et Brok. »

Peter relut ces quelques lignes plusieurs fois, puis il comprit. Un blague. C’était forcément une blague. Ha, ha. Il reposa le bout de papier, et fit comme s’il n’avait jamais existé.

Tu le fais exprès! Michael Scolfield! C'est encore un nom de Prison Break! Mdr!

Enfin bref, tu mets toujours des parenthèses pour rien! Pour le RTS d'accord, mais les chaussettes au mains et les gants aux pieds, trouve le moyen de l'introduire dans le récit.

Citation :

car la douce vois de Briar Costbridge

voix

Citation :

Alors cous vous bougez !

Faute de frappe.

C'était la pause orthographe

Il est vraiment bête (pour ne pas employer un autre mot ), ce gars! Lol Si j'ai bien compris, c'est lui qui a l'émetteur-récepteur espion, c'est ça?

Je crois que j'ai tout dit... c'est bien!

Holalala !

J'ai fait deux fautes de frappes sur 100 lignes de récit ! Quelle horreur ! Il y en a qui fon 20 fautes en 2 lignez (non je ne vise personne) !

Oui je sais, roh c'est bon hein!

Et puis c'est pas ma faute si j'ai pas d'idées pour les noms...

Oui, c'est lui qui a l'émetteur, mais il ne le sait pas... Et oui, il est bête, mais c'est ças qui est intéressant !

Lorsque Peter retrouva le professeur Scofield une demi-heure plus tard, il avait totalement effacé le petit mot de sa mémoire. Il avait cette rare faculté de pouvoir oublier ce qu’il souhaitait et de se convaincre que quelque chose ne s’était jamais passé ou n’avait jamais existé. La doublepensée, comme l’appela un auteur du 20e siècle dont le nom m’échappe. Le professeur tenait à bout de bras une combinaison spatiale. Mais pourquoi donc ? What for ? Le professeur lui expliqua rapidement. Il devait sortir accrocher une sorte de boîtier à un endroit impossible de la coque du vaisseau (Mais pourquoi justement là ?!). Et il connaissait la suit. Enfin, c’est ce que lui assurait le professeur parce que lui, il n’en savait rien. Il devait partir dans deux heures maximum, ce qui lui laissait le temps de « dire au revoir », comme disait le professeur Scofield…

Il passa donc deux heures à déambuler dans le vaisseau, imaginant sa vie une fois de retour sur terre… Sa vie de héros… Puis l’heure fatidique arriva. 9h30.Il était très angoissé à l’idée de sortir seul dans l’espace pour une mission si floue, mais bon… Si on lui avait confié, ce devait être sans grand risque…

Il enfila la combinaison. Il sortit. Il décolla. En l’absence de pesanteur, à peine se propulsa-t-il un tout petit peu qu’il fit un bond de dix mètres… Heureusement, il était accroché au sas… Après être revenu un fois chercher le petit boîtier qu’il avait oublié dans le sas, puis une seconde fois pour prendre le mécanisme d’accrochage, il avait tous les atouts pour réussir sa mission. Enfin, presque, puisqu’il dû revenir une troisième fois récupérer le papier où il avait noté les instructions. Il commença alors sa traversée. Il avait une importante distance à parcourir pour atteindre le point précis où il devait poser le « bloqueur », comme l’appelait Scofield…

Après plus de trois quarts d’heure à jouer des pieds et des mains pour avancer, il y arriva enfin. Il s’approcha doucement de l’endroit exact, comme un fauve qui s’approchait d’une proie. Il tenta de se harnacher, mais il n’y avait rien de susceptible de l’accrocher à proximité… Tant pis, il ferait confiance à son équilibre… Il se contorsionna pour attraper le petit engin, mais… Qu’est-ce qui s’enfonçait dans sa grasse cuisse de cette manière ? Ah oui, bien sûr, la minuscule montre, qu’il avait toujours dans sa poche… Il la sortit pour l’admirer… Au bout d’un moment, il remarqua quelque chose qui lui avait échappé la première fois…

Cette montre comportait 13 chiffres ! Elle allait de 1 à 13, puis revenait à 1… Etrange… Treize étrange, même (ha, ha)… Il l’observa avec effarement quelques minutes (le temps que l’information monte au cerveau), puis il vit autre chose… En minuscules lettres, manifestement en plusieurs langues, mais la plupart avec de drôles de signes, on pouvait lire : « Spock et Brok’s » … Ca lui rappelait vaguement quelque chose, mais quoi ? Il trifouilla dans son esprit, mais aucun souvenir ne lui revint. Bah… Sans aucune importance… Sûrement un des 4 fabricants de montres à l’ancienne restants… Il les avait souvent vus au Libertel…

Il rangea finalement le frêle objet, puis sortit enfin le « bloqueur ». Il était sur le point de le poser, quand le talkie-walkie que Scofield lui avait confié sonna. Malheureusement, Peter ne sut jamais ce que le professeur avait à lui dire. Et moi non plus d’ailleurs, car il moura avant que j’ai eu le temps de le lui demander, assassiné par le FBI en tentant d’aider son frère à s’évader de prison, mais ceci est une autre histoire.

Jamais Peter ne décrocha ce téléphone qui vibrait dans sa combinaison. Il bascula dans l’infini. Quand l’équipage le vit sombrer avec le petit boîtier, ils en restèrent cois. Ils en restèrent d’autant plus cois que les commandes répondaient à nouveau. C’est à ce moment là que pilote et copilote s’écrièrent en cœur : « Ca marche ! On peut sauver cet abruti ! Allez, go ! ». Malheureusement, c’est aussi à ce moment là que le commandant Steadman dit : « Non. Pas de risques inutiles. Il est mort. On continue notre chemin. ». C’est ce jour là que le grand commandant Steadman perdit l’estime de ses hommes. Mais à propos de pieds, revenons à nos moutons.

Voici Peter qui sombrait, et revoyait ses souvenirs. Son enfance, sa mère qu’il aimait tant… Ses souvenirs inconscients… C’est alors que la vérité lui sauta aux yeux… Une mission suicide… C’était une mission suicide… Abruti… Il vit le vaisseau s’éloigner, et il s’aperçut qu’il pleurait… Tout au fond de lui, une voix lui criait : « Abruti ! Tant pis pour toi ! Tu l’as bien mérité ! Abruti ! Abruti... »

Tiens, j'ai oublié de critiquer ton chapitre! Bon bah je le fais.

Citation :

La doublepensée, comme l’appela un auteur du 20e siècle dont le nom m’échappe.

Est-ce que l'emploi du "je" signifie que la personne qui raconte fait partie de l'histoire, ou bien à enquêter après les faits, comme l'auteur des DAOB?
Finalement, en relisant la phrase "Et moi non plus d’ailleurs, car il moura avant que j’ai eu le temps de le lui demander, assassiné par le FBI en tentant d’aider son frère à s’évader de prison, mais ceci est une autre histoire.", je pense que c'est comme pour les DAOB. Non?

Citation :

Mais pourquoi donc ? What for ?

Ca sert à quoi de le mettre en anglais?

Citation :

Et il connaissait la suit.

J'embête le monde, je sais, mais t'as oublié le "e"

Citation :

Il enfila la combinaison. Il sortit. Il décolla.

Ca fait un peu lourd je trouve

Citation :

Enfin, presque, puisqu’il dû

Je réembête le monde, mais il y a un "t" à "dû".

Citation :

Treize étrange, même (ha, ha)…

T'as pas honte de faire un jeu de mots pareil??? Mdr


Chapitre bien agréable à lire en somme

Citation :

Est-ce que l'emploi du "je" signifie que la personne qui raconte fait partie de l'histoire, ou bien à enquêter après les faits, comme l'auteur des DAOB?
Finalement, en relisant la phrase "Et moi non plus d’ailleurs, car il moura avant que j’ai eu le temps de le lui demander, assassiné par le FBI en tentant d’aider son frère à s’évader de prison, mais ceci est une autre histoire.", je pense que c'est comme pour les DAOB. Non?

Oui, un peu comme Lemony Snicket, si tu veux.

Citation :

Ca sert à quoi de le mettre en anglais?

Ca sert à rien de le mettre en anglais, c'est juste que le jour où j'ai écrit ça je venais d'avoir un cours d'anglais où elle nous avait gonflé pendant une demi-heure avec ce p***** de what for qui veut dire "dans quel but, ça exprime le but alors que why c'est la cause ! Bref, passons...

Citation :

J'embête le monde, je sais, mais t'as oublié le "e"

Citation :

Je réembête le monde, mais il y a un "t" à "dû".

Ah, la petite pause orthographe^^... Je progresse, tu n'en as détecté que deux^^...
Mais pour la deuxième, je n'en suis pas si sûr que toi.

Citation :

Ca fait un peu lourd je trouve

Ah bon... Je trouve pas, mais tu as peut-être raison...

Citation :

T'as pas honte de faire un jeu de mots pareil??? Mdr

Si, j'avoue que j'ai un peu honte... Mais j'adore les jeux de mots, aussi nuls qu'ils soient ! Et vive les deux minutes du peuple !

RobinDHER a écrit:

Citation :

Ca sert à quoi de le mettre en anglais?

Ca sert à rien de le mettre en anglais, c'est juste que le jour où j'ai écrit ça je venais d'avoir un cours d'anglais où elle nous avait gonflé pendant une demi-heure avec ce p***** de what for qui veut dire "dans quel but, ça exprime le but alors que why c'est la cause ! Bref, passons...

Bah j'apprends quelque chose alors! ^^

RobinDHER a écrit:

Citation :

Je réembête le monde, mais il y a un "t" à "dû".

Ah, la petite pause orthographe^^... Je progresse, tu n'en as détecté que deux^^...
Mais pour la deuxième, je n'en suis pas si sûr que toi.

Je suis sûre à 99%! Si ça avait été le participe passé, oui, il y avait rien, mais là c'est du passé simple, donc il y a une terminaison, c'est-à-dire le "t". Et y a pas d'accent je crois... ça je suis sûre à 70%

Ah bon, donc tu as sûrement raison...