Chapitre 1
une vie presque normal
Des années passèrent, le temps s'écoula, la violence quant à elle continuait a accroître , plus le temps passait, plus les esprit s'échauffaient. La guerre commençais a ce formé petit a petit, pour un jours explosé, de tout manière, il faudrait bien que ça arrive un jour ou l'autre. Pendant ce temps, le petit prince du monde, l'enfant prodige grandissait a l'écart de tous ça, il ignorait ses origine, en faite, il fallait bien l'avoué, il ignorait qu'il avait été adopté. Pour lui, ses parents était ses parents point, mais en même temps, a 10 ans on ne se rend pas bien compte que le monde ne tourne pas forcément rond dans notre vie. On ne comprend pas, les adultes nous mettes a l'écart...
Le château était immense, tous de blanc, on aurait dit qu'il était enneigé. Ses tours montait très haut dans le ciel, on avait l'impréssion qu'il allais percé les nuages, qu'ils allaient se dégonflé, comme des ballons de baudruche.
En haut, tout en haut de la plus grande des tours, dans l'aile ouest du château, un garçon était accoudé a une fenêtre, perdus dans ses pensé, il regardait l'extérieure avec amertume. Le temps était mosscade depuis quelque temps. Il n'avait pas d'âme, respirait mal, le monde semblais suffoqué. Le garçon regarda au bas des rempart, dans l'herbe luisante des jardins. Un jeune homme s'y dressait. Il était grand, le regard brillant, les cheveux brin, le visage fin plutôt beaux garçon.
Le visage du garçon se mit a brillé d'une lueur de plaisir, il se redressa et courut sans s'arrêter. Dans les escalier il faillît tomber a plusieurs reprise, mais se redressa à chaque fois. Il traversa devant des domestiques, il sotait par-dessus les obstacles sans prendre garde au gens qu'il pouvait bousculé.
- eh, fait attention Nadero! s'exclama sa mère.
Il ne fit pas attention, traversa le pont levis et courus jusqu'à son ami. Lorsqu'il fut a sa hauteur, Nadero souris, et le garçon se mit a courir a ses coté, ils coururent dans l'herbe humides. Illard ils continuèrent a courir, échappant au cris de protestation. Lorsqu'ils se considérèrent à bonne distance, il s'arrêtèrent, les mains posé sur les genoux écaillant de reprendre leur souffle.
Les deux garçon se regardèrent, ils ne bougeaient plus, le regard transparent.
Le visage de Roman fut traversé par un sourire, puis il céra son jeune complice dans ses bras.
- comment tu vas ? demanda le garçon.
- bien, très bien même, je vais toujours bien quand tu es dans les parages, répondit t-il en continuant a avancé a ses coté. qu'est-ce que tu fait dans le royaume des rosé ?
- je passe voir un vielle ami...
Les deux garçons avancaient toujours dans la forêt sombre du royaume.
- que se passe t-il ? demanda Nadero.
- rien, rien du tous répondit t-il le regard fixé par terre tout en marchant au coté de son ami.
- qu'est-ce qui te perturbe autant, on dirais un mort vivant.
eh! oh! Tu m'entend ?
- ne t'inquiette pas, c'est rien, c'est juste que... des truc qui circule, des brides de conversation des adultes. Des choses qui me font un peut peur.
- des choses vraiment grave en l'occurrence, parce que là, vus ta tête... tu veut en parlé ?
- non, répondit Eleyo, tu ne pourras pas faire grand choses de toutes façon, puis si personnes ne tant a parlé, c'est qu'ils doivent avoir une bonne raison.
- arrête, lança Nadero en sottant du botte de terre pour se mettre devant Eleyo. Que se passe t-il ?
- c'est la guerre, le 21 prochain, la guerre éclatera, et le prince du monde conduira son peuple à la victoire.
- la prophétie... mais je croyais que le prince n'était pas encore née. Encore hier, j'entends mon père dire que l'on avait plus aucune chance, que la reine gagnerait.
- le 21 prochain, ce sera un jour très spéciale, déclara Eleyo !
- ouais, la vie tel qu'on la connais s'arrêtera
- non, tu sais se qu'il y aura le 21 ? Se qui fait que se jour est spéciale ? demanda Eleyo.
- si tu ne parle pas de la guerre, alors de quoi ? Nadero cherchait, il se triturait les méninge, mais ne voyait pas. Le 21 serait un jour important, et pas seulement pour l'histoire.
- le 21, se sera ton anniversaire, tu auras 11 ans.
- oui, mais ça n'a que peut d'importance à comparé de se qui se prépare.
- tu n'as donc rien retenus de nos cours d'histoire ? La prophétie dit, que le jour du onzième anniversaire du petit prince, la guerre commencera, il se lève et viquera la sorcière.
- Est-ce que tu es entrain de dire que... commença Nadero en se figeant.
- que tu est le prince.
- non, tu plaisante, c'est pas possible, s'emporta Nadero.
- ... les adultes sont inquiet, et moi aussi.
Nadero avait le regard fixe, il ne savait pas si il devait avoir peur, ou si il devait pas s'en soucié, pensé que se n'es qu'une rumeur. Mais se n'aurait fait que accroître son inquiétude, le plus simple était de poser la question, de demandé au adulte. Nadero avait un peut peur de se qu'on lui dirait, après tous, la vérité effraye souvent, mais surtout, ses parents était t-ils ses parents ? Tout ses questions qui l'effrayais.
Un bruit lointain se fit entendre dans les fourrages, alors que les deux jeune garçons se morfondaient dans leur silence, un cris persans se fit entendre, les garçon se retournèrent, regardant par là où le cris provenait.