Eriomyn, le royaume des rêves[fantastique]

Encore une ébauche de roman immaginaire. Je ne sais pas même si je le continuerai, mais si le début plait peut être que je m'y remettrai

Minuit moins le quart.
J’allais enfin me coucher, comme tous les soirs. Ma journée n’avait pas été mauvaise mais affreusement banale.
Je m’étais levée à huit heures moins le quart, je m’étais habillée et j’avais terminé de préparer ma valise. Lançant un « bonjour » sans entrain à mes deux camarades de chambre, je m’étais maquillée, un simple trait de crayon noir et un peu de gloss. Puis j’avais traîné ma valise le long du couloir de l’internat et je l’avais posé devant l’entrée pour pouvoir la récupérer à deux heures et demi, à l’heure de la sortie. Rejointe par deux de mes amies, j’avais commencé ma journée de cours par un petit déjeuner à la cantine du lycée pour tenir le coup durant les quatre heures d’EATC qui me parurent interminables. Un déjeuner rapide, et singulièrement mauvais, et enfin une heure de français pour terminer ce vendredi ennuyeux comme le temps qui tenait à rester maussade depuis une semaine.
Mon père était venu nous chercher ; moi et trois amis.
Une fois chez moi je m’étais, comme d’habitude, assise devant mon ordinateur pour n’en bouger qu’à cinq heures pour me rendre à ma leçon d’équitation. Leçon correcte dans l’ensemble mais assez décevante de la part d’une passionnée comme moi.
C’est donc sans regret que j’avais quitté le club, rentrant chez moi prendre un bon bain, manger, discuter via MSN sur Internet puis monter me coucher, lassée de cette vie où chaque jour n’apporte presque rien de nouveau.
Maintenant dans mon lit, je lisais une dernière page avant d’éteindre la lumière.
Je me retournai plusieurs fois avant de tomber dans un sommeil agité.
Lorsque j’ai rouvert les yeux, un effroyable mal de tête troublait ma vue.
Clignant plusieurs fois des yeux je me redressai sur mon lit.
Posant une main sur ma tête et sentit un bandeau de tissu qui la ceignait.
Je distinguai tout juste une pièce plongée dans la pénombre.
Une couverture faite d’une étrange matière scintillante, très fine mais chaude et douce glissa sur ma poitrine, par réflexe je la retins. Bien m’en fit car je réalisai que rien d’autre ne couvrait plus mon corps mis à part un bandage entourant mon épaule droite et une partie de ma poitrine. Ma vue brouillée redevint plus nette et j’étouffai un cri de surprise, saisissant la couverture à deux mains, en découvrant cinq personnes autour de moi.
-qu’est-ce que… ?!

Bon, je vais te répondre pour ton texte, mais n'attends pas de miracle, car tu ne fais que décrire ta journée, ce qui est assez simple, et donc pas facile à critiquer. Si tu as la suite, je serais ravi de te donner un avis plus objectif, et plus poussé.
Tu nous contes ta journée ennuyeuse, mais je l'aurais imaginé plus cynique, que l'on sente vraiment que c'était pénible au possible. Mais c'est peut-être qu'au début de ton texte, tu nous dis qu'il est minuit moins le quart, et que donc le narrateur est déjà fatigué, et qu'elle se sent incapable de faire preuve de cynisme, ou du moins qu'elle n'en a pas l'envie, ce qui alors sert ton texte car cela nous met dans l'état d'esprit de l'auteur.

Sinon, à une ou deux reprises, tu pourrais alléger la tournure de certines phrases, en en scindant deux en une seule.

Sinon, fait attention, car vu que tu racontes à la première personne, tu risques de recontrer certains problèmes plus loin dans ton histoire. Mais sinon, je me demande ce que font cinq personnes dans ta chambre, et d'ou vient ce bandage???
Allez, envoie la suite.

j'ai écris la suite hier soir... je m'attend pas à un miracle mais bon, j'essaie de faire quelque chose de correct.^^

Je ne pus terminer ma question, étranglée par la surprise.
Un vieil homme à la longue barbe argentée s’approcha alors légèrement.
-Bienvenue parmi nous, jeune demoiselle. Je te prie de nous excuser de venir te voir dans ces… circonstances.
–Mais je puis t’assurer, ajouta-t-il en voyant l’expression de mon visage, qu’aucun d’entre nous (il désigna d’un geste de la main les quatre autres personnes présentes) n’a fait offense à ta pudeur.
Je ne sus que répondre, trop bouleversée. Mon regard se posa alors à tour de rôle sur les deux femmes et les deux hommes présents. La première femme était grande et mince, vêtue d’une étrange robe longue, à la coupe élégante, d’une couleur rouge sang, ses cheveux châtains grisonnant étaient tenus en chignon serré d’où ne s’échappait qu’une petite mèche de cheveux. Son visage était sévère mais elle sourit lorsque mon regard croisa le sien. La deuxième femme était plus petite, peut être un peu moins fine, plus jeune, elle portait un pantalon marron foncé et un top moulant beige, une dague pendait à son ceinturon, ses cheveux blonds roux lâchés tombaient avec élégance sur ses épaules. Elle me sourit également. Elle avait quelque chose de princier, son attitude peut être… Les deux hommes se ressemblaient trait pour trait. La seule différence était leurs yeux. L’un avait les yeux d’un vert intense, l’autre des yeux gris. Tous deux étaient bien battis, ils portaient une épée au côté et l’un d’eux avait un arc à la main et un carquois dans le dos.
Mon regard se posa à nouveau sur le vieil homme qui semblait être un sage sorti tout droit d’un conte imaginaire..
-Ah ! Oui, je crois que les présentations s’imposent. déclara ce dernier
Mes capacités de réflexion et de paroles revinrent subitement.
-Mais, comment… ? Où suis-je ? Qui êtes-vous ? Comment suis-je arrivée ici ?
Le vieillard sourit.
-du calme, jeune fille. Je vais répondre à vos questions, puis peut être consentirez vous à répondre aux nôtres ?
Je ne dis rien, attendant.
-bien. Où êtes-vous ? Vous êtes ici dans la cité de Vallieron, en Eriomyn.
Je le regardai d’un air incrédule. Mais il ne sembla pas le remarquer car il enchaîna.
-nous sommes différentes personnalités de la cité. Vous avez ici (il désigna la femme au visage sévère qui m’adressa un signe de tête) Katalina Leïn, Mage réputée, c’est elle qui vous a soignée. A côté de Katalina, Meredith Kamenbel (la seconde jeune femme fit un pas en avant), Sorcière diplômée récemment mais vite remarquée pour son talent à déceler la Magie Noire, elle travaille au service de Sa Majesté. Jarod et Keren Mediôn, jumeaux chasseurs de démons et enfin, Akiro Sajihan, prince d’Eriomyn.
Je remarquais alors pour la première fois un jeune homme qui s’était tenu dans l’ombre un peu à l’écart. Il s’avança d’un pas et m’adressa un signe de tête, avant de baisser la tête.
Il avait des cheveux noirs de jais mi-longs, il était assez grand, plutôt mince, j’eus le temps d’apercevoir dans son regard furtif, des iris d’une intense couleur bleue.
Malgré son évidente gêne il avait un port princier. Il se tenait droit, les mains dans le dos.
Il portait un pantalon de ce qui semblait être du cuir noir, une tunique de velours et des bottes de cuir. Une ceinture tenait une longue épée et un couteau de chasse.
-Enfin, reprit le vieillard, je me présente, je suis Altaran Kiom, Maître Sorcier et conseiller du Roi.
Je détachai à regret mon regard du prince Akiro pour le reporter sur Altaran.
-je… mais enfin comment … ?
-comment êtes-vous arrivée ici ? C’est ce que nous aimerions tous savoir. Vous savez à présent qui nous sommes et nous, aimerions savoir qui vous êtes… un garde vous a trouvé évanouie prêt des portes de la cité pendant sa ronde. Vous étiez, excusez-moi du terme, dans un sale état. Une équipe de mages vous a amené ici, au Centre des Guérisseurs. Grâce à Katalina vous êtes maintenant presque guérie. Mais dites-nous… qui êtes vous ?
Je dus faire appel à tout mon sang froid et à tout mon sens de raisonnement pour rester calme et répondre :
-je… je suis Lana Risal, je… je viens de France où je suis, ou du moins j’étais, étudiante au lycée, je ne comprends pas… je me suis endormie et…
Je me tu et ris alors de ma stupidité. Tout était clair maintenant !
-je rêve. N’est-ce pas, tout ceci n’est qu’un rêve !
Je regardais l’assemblée en espérant les voir approuvée mais tous me regardaient maintenant avec une expression d’intense surprise. Akiro avait relevé la tête et me regardait avec des yeux ronds.
-c’est… c’est impossible !
-quoi ? Qu’est ce qui est impossible ?
-vous venez du monde réel ! N’est-ce pas ? La Terre,
-ou… oui. Mais nous y sommes toujours sur la Terre n’est ce pas ?
-oui, bien sûr, lança Altaran d’un ton impatient, mais vous êtes maintenant dans un monde parallèle que bien peu de gens connaissent. C’est… c’est incroyable !
Il semblait maintenant en extase.
-voilà pourquoi ces vêtements étranges, cette arrivée mystérieuse… Oh Lana ! Vous ne pouvez comprendre …
Complètement perdue, je remontai un peu la couverture sur moi et demandai :
-expliquez-moi…
Il y eut un silence, puis Altaran prit une inspiration mais il n’eut pas le temps de prononcer le moindre mot. Akiro, le prince d’Eriomyn, s’avança alors :
-Eriomyn est un monde parallèle à celui dont vous venez, monde que l’on appelle le Monde Réel. Très peu de gens le connaissent, et très peu de gens y croient. Il y a là plusieurs siècles un homme est arrivé ici comme vous, il a été retrouvé aux alentours de la cité, blessé.
Cet homme est devenu une légende vivante puis un mythe après sa mort. Une prophétie fut faite, personne n’y crut jamais. Cette prophétie disait :
Venue d’ailleurs
En ce monde déchiré
Son regard rêveur
Sauvera la cité
Des démons du temps
Jaillis des ombres
Il y a bien des ans
Sans fin sans nombre
Nulle limite n’entravera son âme
En dehors de celle de son imagination
Là réside son pouvoir sans blâme
Laënorya sera son nom.
Il s’arrêta, son regard posé sur le mien.
-mais alors… vous vous trompez, ce… ce n’est pas moi. Je ne m’appelle pas Laënorya et… et je n’ai aucun pouvoir !
Akiro sourit
-vois-tu une autre jeune fille tombée du ciel, venue du Monde Réel ?
Je ne répondis pas.
-Tu dis t’appeler Lana… ce qui en Langage Perdu se traduit par Laënorya, Regard Rêveur.
C’est un nom noble et unique à ma connaissance.
Il se tut à nouveau. Je baissai la tête, les pensées se bousculant. Puis je me redressai et fixai les yeux bleus d’Akiro.
-Je n’ai plus le choix n’est-ce pas ? Je dois accepter que ceci ne soit pas un rêve…
-Je ne te forcerais à rien, Laënorya. Toi seule peut décider. Si ton imagination est assez grande pour que nous te soyons aussi réels que ton Monde, alors non, ceci n’est pas un rêve. Maintenant, si tu décide de croire que tout ceci n’est qu’un rêve qui ressemble à une réalité, alors nous ne serons qu’un rêve…
J’étais de nouveau perdue. Tout semblait si vrai… et si impossible.
Ce qui me fit prononcer les paroles suivantes, je l’ignore, le si beau regard du Prince Akiro, peut être…
-Je ne crois pas avoir jamais pu rêver quelque chose d’aussi réel… si je peux sauver un pays de démons, qu’ai-je à perdre ?
Le sourire du prince s’agrandit
-Tu as tout a gagné, Dame au Regard Rêveur.
Je sentis le rouge me monter aux joues. Altaran se manifesta alors à nouveau.
-Merveilleux ! dit-il, un grand sourire éclairant son visage ridé. Il y a tant de chose à faire.
Vous avez tant de chose à apprendre, vous devrez bien sûr rencontrer le roi, apprendre à maîtriser votre pouvoir…
Il s’arrêta en entendant un toussotement.
Katalina, la Mage, s’avança alors et s’exprima pour la première fois depuis le début de cette étrange situation.
-Altaran, permettez-moi de vous rappeler, que cette jeune fille vient tout juste de se remettre d’un terrible choc. Elle dort depuis deux jours, et elle est à peine réveillée que déjà vous lui planifiez un emploi du temps plus lourd que le vôtre. Elle a besoin de repos.
Altaran prit un air un peu honteux.
-oui… oui vous avez raison bien sûr Katalina. Bien, je vais aller apporter la nouvelle au roi.
Faites-moi savoir quand vous serez reposée et dispose par messager et le roi vous donnera les détails de votre rencontre. Mademoiselle…
Dit-il en s’inclinant devant moi avant de se retirer.
L’un des jumeaux parla à son tour
-ainsi, je pense que vous n’avez plus besoin de nos services, nous allons vous rendre votre intimité, Dame Laënorya.
Tous deux s’inclinèrent à leur tour et sortir de la salle que je découvrais alors, y portant enfin attention. Elle était raisonnablement petite, rectangulaire, les murs de pierre étaient ornés de tapisseries de couleurs dorée, argent et bordeaux. J’étais assise sur le lit dans un coin de la pièce, une armoire, une table et un fauteuil d’un style particulier meublaient l’espace.
A côté de la porte, un paravent masquait une vasque de marbre et un miroir.
Je revins sur les personnes encore présentes. Akiro déclara alors :
-je vais te laisser en compagnie de Katalina. Elle va vérifier que tes blessures soient bien guéries. Je reviendrais lorsque tu iras mieux et que tu seras en… meilleures conditions pour recevoir. A bientôt, Laënorya.
Il sortit à son tour, en passant il s’arrêta devant Meredith.
-merci d’être venue, tu peux disposer, Meredith.
-bien, Mon Prince.
Elle le suivit et je restai seule avec Katalina.
-bien, Mademoiselle, je vais devoir retirer ce bandage, me permettez-vous… ?
Qu’elle me vouvoie me troublait.
-vous pouvez me tutoyer, Madame.
Elle sourit et entreprit de défaire le bandage tandis que je maintenais la couverture comme je pouvais pour ne pas dévoiler plus qu’il n’était nécessaire de mon anatomie.
-alors appelles-moi Katalina. Bien, tes blessures sont guéries.
-Que m’est-il arrivé ?
-et bien… je ne sais pas vraiment. Tout ce que je sais se limite à ce que j’ai vu. Lorsque l’on t’a amenée ici tu avais plusieurs côtes brisées, ton épaule était luxée et tu avais une plaie à la tête. Apparemment, passer du Monde Réel au nôtre est dangereux, car le premier homme venu ici avait été retrouvé à peu près dans le même état que toi à ce que je sais.
Je ne répondis pas, la laissant retirer le bandage qui retenait mes cheveux.
Lorsqu’elle eut fini, ces derniers vinrent tomber devant mes yeux et j’étouffais un nouveau cri de surprise. Mes cheveux habituellement châtains clairs, lisses et désespérément plats étaient d’un noir profond, ondulant de reflet d’argent.
-qu’y a-t-il ? s’inquiéta Katalina.
-mes… mes cheveux ! Ils n’étaient pas comme ça !
-comment ça ?
Je me levai, et, m’entourant de l’étrange couverture me dirigeai vers le miroir.
J’observai mon reflet d’un regard stupéfait.
Il n’y avait plus rien de la lycéenne que j’étais. Plus de naine d’un mètre cinquante cinq, cinquante kilos, aux cheveux châtains et yeux marron, le visage pas encore débarrassé de l’acné. J’étais bien plus grande, ma silhouette était plus fine, élancée, ma peau plus pâle, mon visage était plus lisse, mes cheveux noirs gonflés de volume… et mieux que tout ; Mes yeux marron avaient pris une teinte noisette intense, claire et lumineuse.
-tu n’étais pas ainsi dans ton monde ?
-non… pas du tout. J’étais… beaucoup moins… jolie.
Je me détournai du miroir pour venir me rasseoir sur le lit.
Le regard vaguement posé sur le sol de dalles noires, je laissai aller mes pensées.
Tant de choses étaient arrivé en si peu de temps.
J’étais passée du statut de lycéenne ignorée à celui, si j’en croyais Altaran et Akiro, de Dame Au Regard Rêveur, au pouvoir inimaginable, objet d’une prophétie.
C’était beaucoup pour moi. Trop même.

La tartine que tu balances... Bon, je lirai ça dès que je pourrai, mais je pense pas que je saurai le faire aujourd'hui. Et ne commence pas non plus à te dévaloriser!

j'étais assez inspirée hier lol mais je ne te force pas à lire tu sais ^^

(je ne me dévalorise pas, j'essaie juste de rester réaliste )

ton histoire a l'air pas mal j'ai lu le début mais j'ai pas eu le temp de tous lire dsl mais des que je le fini je t'en parle dsl encord de ne pas avoir tous lu car je doit y allé dsl

Je ne suis pas obligé, j'adore lire! En plus les histoires fantastiques sont mes préférées, donc je ne me force pas!
Enfin, j'espère que ça t'aide ce que je te dis.

ça m'aide surement bien plus que tu ne peux l'imaginer

J'aime bien ton histoire ^^ C'est agréable, y a un mystère qui plane, t'as des noms de personnages originaux, j'aime bien ^^
Y a sûrement des trucs à critiquer, mais j'ai la flemme, donc je vais laisser forner le faire!

Bon! Allons-y, puisqu'on le laisse le grand soin de te commenter.

Note que l'emploi du temps demande quelques réflexions, car tu passes de l'imparfait dans le premier post, au passé simple dans le second. Il serait plus aisé d'écrire tout au passé simple.

Citation :

–Mais je puis t’assurer, ajouta-t-il en voyant l’expression de mon visage, qu’aucun d’entre nous (il désigna d’un geste de la main les quatre autres personnes présentes) n’a fait offense à ta pudeur.

Lorsque tu mets quelque chose entre parenthèses, comme ici, tu dois prendre des précautions, de sorte à éviter de sortir d'une grammaire correcte. Ici, par exemple, les parenthèses ne sont pas nécessaire. Tu peux très bien ajouter ce que tu y as mis à la fin de ton phrasé, en faisant quelque chose du type:
- Qu'aucun d'entre nous n'a fait offense à ta pudeur, fit-il, désignant d'un geste de la main les personnes présentes autour d'elles.
Cela passera beaucoup mieux que de mettre en quelques sortes en évidence son geste de la main. Sinon, je trouve très bien ta tournure de phrase (Le "offense à ta pudeur" fait très élégant.)
Pour les descriptions des personnes en présence, tu peux peut-être alléger certaines tournures, mais dans l'ensemble je trouve ça bien décrit. Par exemple,

Citation :

Son visage était sévère mais elle sourit lorsque mon regard croisa le sien.

Pourrait s'alléger quelque peu.

Citation :

La seule différence était leurs yeux. L’un avait les yeux d’un vert intense, l’autre des yeux gris.

Cela fait beaucoup de fois "yeux" en quelques mots. Il est possible de changer ça.

Bon, j'ai cours, donc je te terminerai tout ça ce midi...

je pense que si tout le monde te laisse commenter c'est parce que tes commentaires sont géniaux
bon courrage pour tes cours.

Zut... J'avais déjà 50 Iignes de commentaires, et j'ai appuyé sur "retour"... Le genre de truc qui met bien la rage, mais bon, ce n'est pas grave, je me souviens à peu près de ce que j'ai mis...

A un moment, d'une phrase à l'autre, tu passes du passé simple à l'imparfait, et ensuite de l'imparfait, au passé simple.
C'est sans doute une erreur:

Citation :

Je remarquais alors pour la première fois un jeune homme qui s’était tenu dans l’ombre un peu à l’écart. Il s’avança d’un pas et m’adressa un signe de tête, avant de baisser la tête.

"Remarquai" ne prend pas de "s" au passé simple, je suppose que c'est une petite erreur, et que tu n'as pas voulu le mettre à l'imparfait.

Ensuite, ce serait plus évident si tu introduisais progressivement certaines choses, cela permet au lecteur de se familiariser avec l'état d'esprit du narrateur.
Par exemple, tu devrais parler que dès son réveil, elle pense qu'elle rêve, c'est vrai, ce n'est pas tous les jours que tu trouves une demi-douzaine de personnes dans ta chambre, que tu es blessée alors que tu n'avais rien au moment de te coucher, et surtout que ces mêmes personnes soient habillées de vêtements surprenants.
Au fur et à mesure des discutions, elle serait convaincue qu'elle est vraiment réveillée, et que donc tout ceci est bel et bien inquiétant.

Sinon, l'idée de base est très bien, j'aime le fait de passer dans un autre monde sans que le héros sache quoi que ce soit. En plus, elle, son allure change également, donc cela rajoute du mystère.
Bref, tu vois, il n'y a vraiment pas grand chose de négatif à dire, quelques fautes de temps, très peu d'orthographe, encore moins de grammaticale, sinon, je trouve ça très bon. Le chant, en outre, que le prince conte, je le trouve très bien agencé.
Pas grand chose de négatif, et pas mal de positif. Mais s'il te plait, prend ton temps, si tu entreprends d'écrire la suite. Ne te dépêche pas à lancer ton héroine dans toutes sortes d'ennuis, installe-là d'abord dans le nouvel univers...
Enfin, je dis ça, mais je ne sais pas comment tu comptes t'y prendre, ni les emmerdements qui vont lui tomber dessus, et je suppose que tu feras ça aussi bien que ce texte-ci.
Alors, tu vois, pas besoin de te rabaisser.
Courage! Si tu as besoin de quoi que ce soit, je suis là.

vraiment, merci !

Je ne savais pas quelle histoire poursuivre, maintenant je ne doute plus ^^
j vais essayer d'améliorer les quelques choses qui peuvent l'être et continuer tranquillement.

(t'as un sacré courage pour lire tout ça et le commenter )

par contre il y a une chose à laquelle je vient de réfléchir, c'est pour ce qui est de l'imparfait et du passé simple. ça permet de séparer les deux mondes en fait, ce n'est peut être pas nécessaire, mais en tentant de le réécrire au passé simple ça fait un peu bizarre...

Pour l'imparfait, tu as peut-être raison, je n'ai pas essayé, et jme gourre parfois. Sinon, n'abandonne pas ton autre histoire pour ce que je t'ai dit, je veux pas porter cette responsabilité. Tu peux faire quelque chose de bon avec l'autre aussi, hein. Faudra juste la retravailler un peu plus que celle-ci!
Sinon, continue ton boulot, je trouve ça cool.

en tout cas, merci

pour les deux histoires, je les ai postées parce que j'hésitais à continuer l'une ou l'autre.
Je pense continuer Eriomyn, mais je n'abandonne pas totalement l'histoire d'Annita.
Je m'y remettrais plus tard quand j'en saurais un peu plus sur l'art d'écrire ^^.

ne te sens pas responsable de quoique ce soit ^^, c'est un choix.