Cryso,princesse orpheline(chapitre I) [Fantasy]

Je me présente, Cryso ou Rose en elfe noir.Ma mere, la reine qui m’avait prise sous son aile, se nommais Dallie et elle avait les plus beau yeux du monde, bleu comme le ciel.Depuis que j’ai vue le jour elle m’aime de tout son cœur mais elle est morte, sous mes yeux, tuée par sorciers.Je suis Cryso, j’ai trois ans, je suis orpheline et princesse de Tala, le royaume glacé .Voila mon histoire...
Apres l’attaques des sorciers je m’étais réfugiée dans les passages du château que j’Avais découvert quand je n’étais qu’une toute petite elfe.je gravit les marches quatre a quatre, qui menait vers la salle du trône et ma mère gisait sur le sol...j’accourue vers elle, les yeux brouillé par les larmes qui piquait mes yeux opalescents.

-I'ssuri !
(Maman !)

Un homme se matérialisa devant moi en me fixant de ses grands yeux gris comme l’acier.

-Me comprenez vous majesté ?

Je recula, plutôt terrifier que rassurée tirant ma mère par les épaules sur le sol rouge de son sang.Versant quelques larmes je serra ma mère tout contre moi en déposant ma petite tête sur sa poitrine.

- xun naut sevir uns'aa i'ssuri! Usstan inbal ji mzilt d'klez uriu morfeth xuil dos.
(Ne me quitte pas maman ! J’ai tant de chose à faire avec toi.)

J’ai beaucoup pleuré, quand le vieil homme caressa ma joue en m’emprisonnant dans ses bras.

-Je ne vous veux aucun mal, mais je doit vous proteger.C’est ce que les dieux mon demander de faire.

Il posa ses douces mains sur mes longs cheveux bleus et blancs, se geste me détendit sans toute fois enlevée la plaie béante sur mon cœur qui ne se guérirait qu’avec le temps.Quands un halo lumineux se développa autour de nous je compris que, plus jamais, je ne reverrais ma mere.Je me débattit fusieusement dans les bras toujours refermés sur mon étreinte.Puis nous apparue dans un grand château.je tombe a genoux devant l’homme en le suppliant de me laisser voir ma mère.

-sevir uns'aa! ori'gato uns'aa xuil ilta el! Ol zhah jal ussta dro!
(Laisser-moi.Laisser moi mourir avec elle.Elle est toute ma vie !)

Je parles avec difficulté et les mots d’étrangles tous dans ma gorge.Une dame aux yeux aussi bleus que ma mère me tends les bras.Croyant qu’elle me veux du mal je me retourne vers l’homme qui ,sans attendre,prononce

-Blanche

On appelais dons les dames par ce mot.Mais ce n’étais pas cela dont je voulait savoir la signification.En regardant l’homme d’une facons bien décider a retourner au près de ma mes les mains de la blanche pris les miennes et m’emportèrent avec elle.Refusant catégoriquement d’avancer d’où j’étais ,la blanche s’impatiente et me rire par les épaules en me parlant doucement.Je bouge finalement du plancher gris et froid et je suis conduite dans une grande salle ou pleins de bonnes odeurs de mélanges ensemble.Deux blanches déposes devant moi une écuelle ou une liquide brun dégage une bonne odeur Un garçon a la peau blanche vint s’asseoir devant moi et plonge les doigt dans le bol pour ensuite les porter a sa bouche

-zhah whol cal'tuu?
(C’Est pour manger ?)

Je lui sourit et plonge moi aussi les doigt dans le liquide brulant.C’est en disant « ragoût » que j’appris ce qu’étais du ragout.Puis il pris l’écuelle dans ses mains frêles et bu tranquillement.Il arête un moment et me tend l’écuelle de terre cuite.Je la prend dans mes petites mains et la bu comme lui.Je savoures le repars et repose le bols sur le bois qui me sert d’appuis.Je frappe vigoureusement dans mes mains,prête a découvrir le nouveau monde qui m’entoure.Au fond de moi l’image de ma mère est toujours la...Il me prends la main et me tire dans un grand terrain gazonné.Il étire le doigt vers le fond et dit

-cour

Il me tire ensuite dans une grande pièce tapissé de bleu et d’argenté.Il approche une boite et en sort deux morceau de bois.Il me tant ce qu’il ma dit ,épée,et le l’empoigne dans ma toute petite main.Je lui sourit et il glisse l’épée sous ma gorge

-Tu es faite !!!

J’incline la tête et jette la mienne rapidement sur sa poitrine le faisant basculer vers l’arriere.Un bruit sourd se fait entendre et une dame arrive en courant, prend Galadriel et m’adresse un regard de degout.Je part en pleurant dans les cuisines : le seule endroit que je connaisent.Une dame a la peau violette comme moi s’approche et me dit

-dos ph'uss renor darthirii ?
(Tu es un elfe noir ?)

Je lève piteusement la tête vers elle et hoche doucement la tete.Elle me sourit attrape une de mes larmes au passage qui se transforme en une petite boule jaune ocre ou on voit le continent des elfes noirs.Je pleures de plus belle.Elle se lève, faisant mourir la sphère lumineuse, et vient m’entourer dans ses bras en me chantent un air elfique.Je m’endort dans ses bras et mon premier jour au château auras été bonheur et catastrophe.

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