Marchand de bétail [Fantastique]

Voilà une petite nouvelle dites moi ce que vous en pensez....

Les deux protagonistes rentrèrent en même temps dans la plus haute pièce de la tour par chacune des deux lourdes portes que cette dernière contenait. Les deux personnages se toisèrent un long moment n’échangeant aucune parole. Immobile comme deux statues, ils se connaissaient depuis une éternité et ils étaient bien décidés à mettre un terme à leur querelle ce soir. L’endroit se situé sur un lieu neutre où aucun des deux clans n’avaient pouvoir. C’était une région riche de gibier mais aussi source de conflit. Cette zone était peu à peu pillait par les braconniers de chaque camp. Si ce soir une règlementation n’émergait pas de leur conciliabule, une guerre générale éclaterait certainement dans quelques mois. Ils le savaient bien tout les deux. La paix qui régnait entre les deux camps était plus que fragile. Elle suivait une guerre qui avait déjà durée plus de sept siècles causant de chaque côté tristesse et chaos. La hache de guerre ne pouvait être déterrée ce soir. Le baron VALLIS enleva sa lourde cape brodée d’or révélant une fine armure aux magnifiques armoiries de sa famille. Il jeta un coup d’œil à la pièce qui avait été préparé pour l’occasion. S’avançant, il prit place à la table de chêne où il attendit son homologue. Ce dernier fit de même. Si son statut était identique, sa prestance était moindre. En tant qu’habitant de la région du nord, ses habits d’apparats étaient à l’image de ces coutumes. Peaux de bêtes et colliers de perles et de dents. A son tour il prit place à la table et attendit. Un valet entra dans la pièce portant un plateau d’argent finement ciselé où était posé deux gobelets du même métal et une carafe de cristal remplie d’un liquide foncé. Chacun des deux se vit proposé ce breuvage. Le baron leva son verre et s’exclama d’un ton amusé.
-Portons un toaste à notre réunion. Que la paix subsiste entre nos deux camps. Goûtez ce nectar que je vous ai ramené de mes terres. Vous sentirez un petit goût d’épice sur la langue fort agréable.
Mais le baron TARISK n’était pas d’humeur à partager les mets raffinés de son collègue. Dans un cri de colère, il envoya valser le plateau et ce qu’il contenait à travers la fenêtre qui vola en éclat. L’air s’engouffra violemment faisant danser les flammes des bougies qui illuminaient la pièce. Il faisait nuit noire dehors et un lointain hululement sinistre se fit entendre. Apeuré, le valet disparut sous l’ordre du baron.
-Très bien mon ami, alors que décidons nous ?
TARISK attendit quelques secondes que sa colère se calme puis dit :
-C’est très simple, je veux cinquante mille têtes de bétail et je repart dans le nord, loin de ces terres.
-C’est une plaisanterie. Ces terres possèdent environs quatre vingt milles têtes. Tu me demandes de te laisser pratiquement deux tiers du bétail. Et comment faisons nous pour nous nourrir ?
-Tu sais très bien qu’avec trente mille bêtes tu peux t’en sortir. En plus, si je repars dans le nord, je te laisse cette région riche en nourriture pour l’élevage. Réfléchie bien, crois tu vraiment que c’est le moment de se déclarer la guerre ?
Le baron réfléchie. Son objectif était d’avoir cette terre et quarante mille têtes de bétail. Il enchérie :
-Je signe tout de suite pour trente cinq milles têtes. C’est à prendre ou à laisser.
TRASTIK eut un sourire intérieur. Il était venu avec le but d’avoir vingt mille têtes. Avec cet élevage, il pourrait les dresser pour le combat. Son peuple avait découvert de nouvelles terres très loin au nord et étaient en train de négocier à l’identique avec les seigneurs locaux. Son ennemi de toujours ne se doutait pas de la tournure que prendrait le futur.

Un pacte fût scellé. De leur sang, ils signèrent le partage de cette terre à l’avantage certes illusoire du baron VALLIS. Chacun pouvait maintenant retourner annoncer la bonne nouvelle à son peuple respectif. L’homme du nord repartis par où il était arrivé. Le second préféra se jeter par la fenêtre. TRASTIK arriva au bas de la tour. La garde de VALIS avait disparu. Lui, était seul. Il retournait à trois cent kilomètres de là. Il n’avait pas besoin de cheval ou d’autres moyens de transport pour y aller. Les nuages se dispersèrent et la lune ronde et blanche comme la craie apparut. Sa métamorphose prit à peine deux secondes. Comme celle de VALIS quand il se transforma en créature mi-homme, mi-chauve-souris. Il fila droit vers son rendez-vous survolé par l’ombre de VALIS.
La grande guerre des sur-hommes allait reprendre. Ce soir, un tournant fût pris. La victoire quand à elle se jouerait grâce à du bétail que l’on appelle HUMAIN.

La fin est rigolote
Attention il y a plusieurs fautes au début je t'en mets quelques-unes:
statuts statues
riche de gibier riche en gibier
L’endroit se situé l'endroit se situait
Cette zone était peu à peu pillait cette zone était peu à peu pillée

Ok merci Soso d'avoir pris le temps de le lire...

De rien, mais tu n'as pas tout corrigé! attention je suis susceptible (bien sûr c'est faux je précise)
Je te refais une liste de fautes trouvées, ça me fait plaisir

alors je les fait dans l'ordre cette fois ci mais je remet pas celles d'avant que tu n'as pas corrigé :


Les deux protagonistes rentrèrent en même temps, je pense que mettre simplement entrèrent ferait plus classe , enfin plus mieux
source de conflit source de conflits
tout les deux tous les deux
une guerre qui avait déjà durée déjà duré
où était posé deux gobelets où étaient posés
Chacun des deux se vit proposé proposer , mai là je ne suis pas tout à fait sûre
Et comment faisons nous pour nous nourrir ? Et comment ferons nous , c'est du futur là non?
Réfléchie bien Réfléchis bien
Le baron réfléchie. le baron réfléchit
et étaient en train de négocier était
L’homme du nord repartis l'homme du nord repartit

voilà pour les fautes, et il ya une phrase, enfin deux à la fin qui font bizarre , est ce que tu pourrai me l'expliquer:

Sa métamorphose prit à peine deux secondes. Comme celle de VALIS quand il se transforma en créature mi-homme, mi-chauve-souris. Il fila droit vers son rendez-vous survolé par l’ombre de VALIS.
qui se transforme en cette créature? Et pourquoi partent t ils dans la même direction?

J'ai bien aimé sauf les fautes d'ortho :s
fin rigolote vraiment bien

Dark a écrit:

J'ai bien aimé sauf les fautes d'ortho :s
fin rigolote vraiment bien

C'est rigolo à lire à haute voix , j'adore

Gniaaark mdr Je m'attendais pas à ce que ce soit des humains!
Par contre, t'as de gros problèmes de conjugaison (je l'ai peut-être déjà dit mais tant pis)!

Dis, tu veux que je t'envoies le texte modifié? t'auras plus qu'à le publier comme cela!
au fait j'ai beaucoup aimé ta nouvelle pour le concours sauf la fin où il vit très longtemps,
mais tout le reste était très marrant!

Merci beaucoup,

Pour la conjug....c'est vrai en fait ortho et conju pas facile c'est pour cela en général que je fais corriger mes notes....

Sinon pour m'envoyer le texte corriger cela serais super sympa merci d'avance.

En encore merci pour vos réponses cela me fait plaisir...

J e t'envoie la correction tout à l'heure mais est-ce que tu pourrais m'expliquer la phrase que je n'avais pas comprise( regarde c'est dans un post un peu plus haut) s'il te plait!!!!!!!!

Ok,

En fait si tu relis, l'un se jette par la fenêtre (là du fait on se demande quoi ?) et l'autre descend la tour.

L'un se transforme en loup-garou et est survolé par l'ombre du second qui lui était un vampire. En volant il passe devant la lune ( qui est pleine forcément) et donc projette son ombre sur son ennemi.

Cela reprend la grande lutte mythique qui oppose les Vampires contre les loup-garou....Avec les clichés habituels.

La boisson était du sang mais dans un verre et une carafe en argent, le loup-garou dans des habits plus rustres , le vampire plus riche, la pleine lune, ect....

Voilà

OOOOOOOOOhhhhhhh!
merci, je connaissais même pas ces clichés!(je suis un pitit peu inculte je sais

Blaine a écrit:

Ok,

En fait si tu relis, l'un se jette par la fenêtre (là du fait on se demande quoi ?) et l'autre descend la tour.

L'un se transforme en loup-garou et est survolé par l'ombre du second qui lui était un vampire. En volant il passe devant la lune ( qui est pleine forcément) et donc projette son ombre sur son ennemi.

Cela reprend la grande lutte mythique qui oppose les Vampires contre les loup-garou....Avec les clichés habituels.

La boisson était du sang mais dans un verre et une carafe en argent, le loup-garou dans des habits plus rustres , le vampire plus riche, la pleine lune, ect....

Voilà

Tu devrais être un petit peu plus explicite pour la fin, parce que j'avais pas tout compris... En fait, je me demande si elle est pas précipitée