FINALITY [ fantastique ]

Voila ma tout dernière création, en espérent qu'elle vous plaise.



Le ciel était gris du aux nombreux nuages qui le recouvraient, cachant ainsi le soleil chaud qui avait pour habitude d’ensoleiller la planète, cependant quelque rayon avaient réussit à passer dans certaine brèche du plafond de nuages. Une pluie fine tombait, arrosant légèrement de ces fines goutes les ruines. Il y avait aucun bruit, le calme plat y avait prit place, régnant telle un roi qui régnerait sur son royaume, même la pluie ne faisait aucun bruit lorsqu’elle touchait le sol, en revanche une forte respiration, celle d’un enfant à peine âgé de dix ans s’était mit à retentir, donnant un bain de battement de cœur à ces décombre.

-Nous allons mourir ? Demanda la petite fille à voix basse, de façon à se que seul la personne qui était avec elle puisse entendre se qu’elle avait dit.

-Bien sûr que non, menti le jeune homme âgé d’une vingtaine d’année, pour tenter de rassurer la petite fille. Je tes promis de te protéger jusqu’à ce qu’ont aient retrouvé ta maman, avait-il rajouté toujours à voix basse.

On pouvait voir sur le vissage de se garçons, la peur, qui l’avait complètement envahi et paralysé, cependant il avait réussit à réguler sa respiration, ce qui était loin d’être le cas pour la petite fille. Effrayé aussi, elle avait le tien pâle, les pupilles dilatés et les mains humides, signe qu’elle contrôlait de moins en moins sa peur. Tout les deux caché dans les ruines, assis, dans ce qui était anciennement un parking souterrain. Du moins se qui en restait, il y avait un immense trou dans le plafond, donnant vue sur le ciel gris, et laissant ainsi passer la pluie qui ruisselait dans les restes du parking.

-Il est parti ? Avait demandé la petite fille.

-Je ne sais pas, je pense que oui, il est parti.

N’importent qui, même une jeune fille de dix ans aurai pu comprendre qu’il mentait. En vérité, le jeune ne savait plus rien, il avait perdu sa place depuis plus de dix minutes, mais au fond de lui il sentait encore sa présence. Il ne pouvait malheureusement rien faire faire tant qu’il n’avait pas eu la chose en ligne de mir. Il y régnait une légère ambiance de deuil, mais ceci pouvait être du au faite qu’ils se trouvaient dans des ruines d’une ancienne ville, et qu’il pleuvait, comme si la Nostalgie avait fait sa présence en ces lieux mort. La respiration de la petite devenait de plus en plus forte, alors que le jeune homme prenait peur, il avait en effet perdu tout trace de la chose, ainsi que la sensation sa présence. C’était le néant total.

Citation :

Le ciel était gris du aux nombreux nuages

Pourquoi tu utilises toujours "dû au" à la place d'"à cause de" ?^"Dû" est un participe passé, il peut servir d'adjectif mais jamais d'adverbe, il peut donc être à côté d'un nom mais C'EST TOUT ! En clair tu peux dire :
La sécheresse due aux températures exceptionnellement douces...
Par contre tu DOIS dire :
Les sols sont secs à cause de températures exceptionellement douces.

Oui je sais mais j'ai plus l'habitude de dire " à cause de " faut que je reprenne cette habitude. Sinon au niveau des fautes ? Tu la trouvé bien se début ?

En toute franchise, c'est pas ton meilleur texte... Ca se voit dès les premières lignes, avec les pléonasmes du style "tel un roi qui régnerait sur son royaume" (un roi règne sur son royaume, de toute façon, "tel un roi" aurait suffi) et une utilisation bizarre des temps...

Pour les fautes, par contre, je dois dire qu'il y a un mieux. Tu progresses, tu progresses ! Mais relis-toi encore attentivement. Essaies, en écrivant, de regarder l'écran assez souvent et de te demander s'il n'y a pas des trucs qui clochent... Par exemple des verbes mal conjugués, des pluriels qui devraient être au singulier et vice-versa...

Oui j'avoir qu'il y a surement quelque passage a repprendre. Je vais posé la suite.

Voila la suite !

-Je ne sens plus sa présence, dit la jeune fille. Ont pourraient en profité pour avancé ?

-Je le sens encore moi, avait menti le jeune homme. Nous devons rester ici.

Il était en effet pour eux plus judicieux de resté cacher à leur place, surtout si la chose n’était pas encore morte à cause du coup violent que lui avait porté le jeune homme il y a quelques minutes auparavant. Soudainement se fut au jeune homme d’avoir la respiration forte et rapide, il avait ressenti la présence de la chose comme un coup de poignard qu’on lui aurait donné dans la poitrine.

-Tu as le regard vide mon garçons, est-ce du au faite que tu va mourir ? Ou bien échoué dans ta mission ? Mais n’ais pas peur, malgré le coup que tu ma porté, je t’offrirais une mort rapide et indolore, pour te montré que même un monstre comme moi peut avoir de la compassion pour un futur mort, n’est-ce pas gentil de ma par ? Avait retenti une voix aigu et sifflante telle un serpent. Etonnant je sais ! Ceci à toujours étonné mes proies les plus tenaces comme toi, va savoir pourquoi, avait rajouté la voix qui s’était déplacé. Puis de toute façon toute être vivant confondu doit mourir un jour, et je t’en offre l’occasion, je te donne un cadeau qui est celui de te laisser tuer par mes mains salies. Et pour ton information personnel un cadeau ne se refuse jamais, sa serai mal polis, ce qui n’a pas l’aire être ton genre. Oh ! Mais ne t’inquiète pas je m’occuperais de la petite comme si s’était mon propres enfant, elle sera plus qu’en sécurité avec moi, elle aura un avenir, s’était exclamé la chose suivit d’un rire diabolique. Tu me cherche mais pourquoi donc ? Oh ! Mais tu me trouveras pas, mon heure n’est pas venu du moins pas aujourd’hui en tout cas, ce qui n’est pas ton cas mon garçons. T’échappé ! Pour allé où ? Tu es sur ma propriété, je connais ces ruines depuis ma plus moche enfance, tu ne pourras aller nul par, expliquai le monstre. Où je suis ? Te le dire serai une bêtise de ma par non ? De la lâcheté ? Tu te trompe, mais comme je te l’ai dit j’ai de la compassion pour toi, je vais donc te donné un léger indice. Je suis à la fois à tes cotés et loin de toi, tu me voies pas, cependant si tu regarde bien tu t’y attendras pas.

La semblais se déplacé, donnant parfois l’impression que la chose se trouvait juste à leurs côté puis la seconde suivante loin d’eux. La peur avait complètement paralysé la petite fille et le jeune homme qui ne contrôlaient plus rien. La respiration rapide, les jambes tremblantes, en sueur, les mains humides, ils ne savaient plus quoi faire.

-La peur ne te sera d’aucune utilité, d’aucune aide, bien au contraire votre peur m’excite et sa ne sera encore que plus drôle quand je vous tuerai tous les deux.

A cette instant même le jeune homme senti une main froide se posé sur son dos, tout s’était alors arrêté a cet instant même.