Déstin. [ Fantastique ]

Il fait nuit, le ciel est gris, il pleut silencieusement… il n'y a aucun bruit sur la vallée, tous semble calme, comme si on avait appuyé, sur le bouton off d'un magnétophone. Rien ne venait perturbé le silence, une silhouette par contre faisait tache… sous la pluie, qui aurait osé s'aventuré dehors , pourtant, un homme en costume de cuir moulant, par-dessus, il portait une veste noir, virevoltant au vent de plus en plus violent. L'homme avait des lunettes noir sur les yeux, cachant la couleur de ceci plus que son identité. Cet étrange personnage parcourait les rues, tous les soirs il passait dans une ville différente, ceci depuis la fin de son initiation… il était le meilleur. Il s'arrêtait devant une maison par moment, regardait avec intensité la chambre de l'enfant en question…
En effet le regard profond de l'homme en noir pouvait scruté jusqu'aux âmes de ses victimes. Parfois, il ressentait de la froideur, et ne s'arrêtait que pour espéré que ce gamin ne serait jamais l'un de ceux qu'il recherchait…
Parfois les petit être avaient quelque choses d'autre, une chose que notre homme pourchassait, et détruisait. Ce soir là, l'homme eu un petit sourire en s'arrêtant à la maison du 32 rue Gorgeras. Il s'agissait d'une maison aux volets bleu, claquant avec frénésie. Le jardin, semblait défraîchis, la maison elle-même semblait délavé… comme si par mégarde on l'avait passé à la machine à lavé.
L'homme avança vers la porte, faisant tournoyé sa veste… il posa sa main sur la poigné…
Pour comprendre le dénouement de cette scène, nous faut remonté vingt ans plutôt, à cette époque là, l'homme n'était qu'un enfant, un jeune garçon de 7ans. C'était une nuit d'orage, ses parents et lui vivaient dans une vieille batise, avec le parquet qui craque, les portes qui grince et tous ce qui va avec...
Le petit était allongé dans son lit, les yeux fermé avec force, l'orage grondait, et les éclaires fendaient le ciel. Le gamin ramena la couverture sous ses yeux. Il se boubou les oreilles, puis comme si on avait payé sur l'interrupteur, tous saissa. Le gamin enleva doucement ses mains de ses oreilles, puis toujours au ralentie il baissa sa couverture sur son menton. Il faisait noire, un noire de faix un noire trop noire pour être normal. Alors que le calme était revenu, tout explosa… on dit souvent le calme avant la tempête, et encore le vieux proverbe n'avait pas tord… sans arrière garde un éclaire transperça le ciel avec un bruit horrible… illuminant toute la pièce. Le garçon dont le premier réflexe avait été de se recaché sous ses drap, les releva tous doucement, il avait crus voir quelque choses… il voulait à présent en avoir le cœur net. Tous en s'assaillant sur son lit, le dos callé contre le mure, il tendit la main vers sa lampe torche, d'une main tremblante, il ramena vers son cœur, et l'alluma… Lorsqu'il le vu le garçon eu un cris de surprise, se ramenant plus encore contre le mure froids.
L'homme, en costume noire se trouvait au pieds de son lit. L'homme qui semblait jusque là sur de lui ne bougea plus d'un membre. L'entement, il enleva ses lunettes et regarda l'enfant de nouveau…
Il ne sus quoi faire, quoi dire…
Il baissa son épée acéré et ressortie par la porte, son épée traînant au sol dans un bruit métallique. Mais peut lui importait. Il détendit les escalier, tourna la même poigné, que cet enfant tournerait 20 ans plus tard, et de la même façon, il sortie dans le jardin défraîchi les yeux au sol… avant de repartir, il regarderait derrière lui, cette vielle maison aux volaient claquant, et alors que le jeune garçon le regardait par la fenêtre avec frayeur, le petit garçon devenu grand aurait les yeux emplis de larme en se souvenant… se souvenant qu'il n'avait été qu'un enfant… se souvenant que son destin était si terrible et qu'il aurait pus le prendre en mains.


voilà donc une petite nouvelle, et qui pourquoi pas un jour deviendra un prologue...

Citation :

Rien ne venait perturbé le silence, une silhouette par contre faisait tache… sous la pluie, qui aurait osé s'aventuré dehors , pourtant, un homme en costume de cuir moulant, par-dessus, il portait une veste noir, virevoltant au vent de plus en plus violent. L'homme avait des lunettes noir sur les yeux, cachant la couleur de ceci plus que son identité.

Faudrait reformuler ce moment.


Pour le dernier paragraphe, je me suis demandée si on était revenu au gars en noir adulte, ou si on était encore avec le gars en noir toujours enfant, peut-être que si tu mettais le souvenir en italique ça le ferait... Ou alors trouver un autre moyen, je sais pas O_o


Sinon je veux bien savoir ce qu'il est, ce gars en noir

je revérais ça, merci

ouais, l'y a déjà deux trois idée, qui me viennent je suis sur que quand j'aurais finit L'Alchi et inventé cette histoire 2 ou 3 ans dans ma tête, je l'écrirais...

( 2 ou 3 ans, car j'ai mis 5 ans a écrire L'Alchimiste )