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 Le Jour où j'ai fermé les yeux.

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Era
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MessageSujet: Le Jour où j'ai fermé les yeux.   Le Jour où j'ai fermé les yeux. Icon_minitimeLun 23 Juin - 12:24

Bas voilà la fondatrice est en retard, non mais je sais que c'est pas bien... toute mes excuse en tous cas voilà mon texte.


Dans la vie on se pose chaque jour des problèmes en plus, des difficultés... des questions stupides, est ce que je dois prendre à gauche ? Ou bien à droite ? La veste bleu, ou bien a rouge ? La plupart des gens et des adolescent de mon age en terme générale ne se pose que ce genre de questions, moi je préférerais n'avoir que ça en tête. N'avoir qu'à me soucier de mes devoirs, tous comme le croient les adultes, des problèmes banales et sans importance. Mais pensé que les adolescent n'ont aucun problèmes grave, important, c'est se voilé la vérité. Ça fait des jours que je me demande ce que je doit faire, si je dois allé révélé le secret de ma meilleure amie à quelqu'un, est ce que je dois tous dire au point de perdre son amitié et ça confiance ? Avant aujourd'hui je ne m'étais jamais poser la questions, je ne pensais pas que ce genre de problèmes pouvais existé tous près de moi... Que mes amis en soufraient, que moi-même un jour ça m'attendrait... on pense toujours que rien de pareil ne peut nous arrivé, Que les problèmes de ce genre, seul les adultes doivent les affronté... je commence à avoir mal au crâne à penser à tous ça, à me répété tous ce que Maya ma dit. Elle m'avait semblé si sérieuse... je ne sais plus quoi pensé, quoi dire... Mon esprit est brumeux, embué par les doutes et les questions... à plusieurs reprises j'ai décroché mon téléphone, me convainquant de tous raconter à ses parents, puis lorsque j'entendais la voix de son père, ou bien de sa mère, ma voix restait coincé au fond de ma gorge, plus un mot ne voulaient passé ma bouche asséché. Et à chaque fois j'essayais de me convaincre que finalement toutes mes questions étaient d'un pluril, et que Maya n'allait sans doute pas aussi mal que je le pensais. J'étais comme une folle à tourner en rond à la façon d'un lion en cage. C'était plus fort que moi, plus fort que tous ce que j'avais vécus jusqu'à ce jour, les points séré en permanence je la regardais manger au self à midi, je me surprenais même à rester les yeux fixé sur elle un bon moment... à me dire que peut être, elle se servirait d'un couteau du self pour mettre fin à ses jours, d'une boite de cachet, peut être quelle montrait sur le toit peut être que... non, Maya était forte, elle était du genre à se sortir de toutes les situations, et ce n'était pas un problème aussi... banale qui ferait que Maya veuille en finir. J'avais du mal comprendre, c'était pas possible, pas elle ! Pas elle. Il parait que quand t'on ne veux pas avoué la vérité, quand on fait tous pour ce convaincre de quelque chose, nous arrivons à occulté le problème, à l'oublié totalement. C'est ainsi que lorsque Maya n'est pas venue en cours le lendemain, je me suis seulement dit qu'elle devait être malade. C'est ainsi que lorsque je suis venue frappé à sa porte, un grand sourire au lèvre pour lui donné ses devoirs, je n'ais pas compris pourquoi son père me faisais une tête d'enterrement. Je n'oublierais jamais ce jour là, ce jour où je me suis rendu compte, que finalement si, ça pouvait lui arrivé à elle, à Maya, que personne n'était à l'abri, et que moi-même j'avais été sa meurtrière, je l'avais été en gardant le silence. On ne se rend jamais compte de l'importance d'un secret, avant de s'apercevoir, quand réalité, le révélé aurait pus sauvé une vie. Quoique... quelque chose me dit que ça en aurait sauvé deux. Parce que jamais je n'oublierais, toujours je vivrais, avec sa mort sur la conscience. Révélé un secret, sauvé une vie, ça à tellement plus d'importance que de se taire... mais l'être humain est fait ainsi, il préfère gardé une amitié, plutôt que d'affronté la réalité.
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MessageSujet: Re: Le Jour où j'ai fermé les yeux.   Le Jour où j'ai fermé les yeux. Icon_minitimeJeu 26 Juin - 16:01

Correction de l'orthographe :

Dans la vie on se pose chaque jour des problèmes en plus, des difficultés... des questions stupides, est ce que je dois prendre à gauche ? Ou bien à droite ? La veste bleu, ou bien la rouge ? La plupart des gens et des adolescents de mon âge, en règles générales, ne se pose que ce genre de questions, mais moi je préférerais n'avoir que ça en tête. N'avoir qu'à me soucier de mes devoirs, tout comme le croient les adultes, des problèmes banals et sans importance. Mais penser que les adolescents n'ont aucun problème grave, important, c'est se voiler la vérité. Ça fait des jours que je me demande ce que je dois faire, si je dois aller révéler le secret de ma meilleure amie à quelqu'un, est ce que je dois tout dire au point de perdre son amitié et sa confiance ? Avant aujourd'hui, je ne m'étais jamais posé la question, je ne pensais pas que ce genre de problèmes pouvait exister tout près de moi... Que mes amis en souffraient, que moi-même un jour ça m'attendrait... on pense toujours que rien de pareil ne peut nous arriver, que les problèmes de ce genre, seuls les adultes doivent les affronter... Je commence à avoir mal au crâne à force de penser à tout ça, à me répéter tout ce que Maya m'a dit. Elle m'avait semblé si sérieuse... je ne sais plus quoi penser, quoi dire... Mon esprit est brumeux, embué par les doutes et les questions... à plusieurs reprises j'ai décroché mon téléphone, me convainquant de tout raconter à ses parents, puis lorsque j'entendais la voix de son père, ou bien de sa mère, ma voix restait coincée au fond de ma gorge, plus un mot ne voulait sortir de ma bouche asséchée. Et à chaque fois j'essayais de me convaincre que finalement, toutes mes questions étaient puériles, et que Maya n'allait sans doute pas aussi mal que je le pensais. J'étais comme une folle à tourner en rond à la façon d'un lion en cage. C'était plus fort que moi, plus fort que tout ce que j'avais vécu jusqu'à ce jour. Les poings serrés en permanence, je la regardais manger au self à midi, je me surprenais même à rester les yeux fixés sur elle un bon moment... à me dire que peut-être, elle se servirait d'un couteau du self pour mettre fin à ses jours, d'une boite de cachets, peut être qu'elle monterait sur le toit, peut-être que... Non, Maya était forte, elle était du genre à se sortir de toutes les situations, et ce n'était pas un problème aussi... banal qui ferait que Maya veuille en finir. J'avais dû mal comprendre, c'était pas possible, pas elle ! Pas elle. Il paraît que quand on ne veut pas avouer la vérité, quand on fait tout pour se convaincre de quelque chose, nous arrivons à occulter le problème, à l'oublier totalement. C'est ainsi que lorsque Maya n'est pas venue en cours le lendemain, je me suis seulement dit qu'elle devait être malade. C'est ainsi que lorsque je suis venue frapper à sa porte, un grand sourire aux lèvres pour lui donner ses devoirs, je n'ai pas compris pourquoi son père me faisait une tête d'enterrement. Je n'oublierais jamais ce jour-là, ce jour où je me suis rendu compte, que finalement si, ça pouvait lui arriver à elle, à Maya, que personne n'était à l'abri, et que moi-même j'avais été sa meurtrière... je l'avais été en gardant le silence. On ne se rend jamais compte de l'importance d'un secret, avant de s'apercevoir, qu'en réalité, le révéler aurait pu sauver une vie. Quoique... quelque chose me dit que ça en aurait sauvé deux. Parce que jamais je n'oublierai, toujours je vivrai avec sa mort sur la conscience. Révéler un secret, sauver une vie, ça a tellement plus d'importance que de se taire... mais l'être humain est fait ainsi, il préfère garder une amitié, plutôt que d'affronter la réalité.
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MessageSujet: Re: Le Jour où j'ai fermé les yeux.   Le Jour où j'ai fermé les yeux. Icon_minitimeJeu 3 Juil - 17:20

« des questions stupides, est ce que je dois prendre à gauche ? »
Remplace la virgule par deux points, ça rend mieux

« La veste bleu »
bleuE

« en règles générales »
Pas de S , en règle générale

« Ça fait des jours »
Cela fait … mais sinon tu peux le laisser, c’est juste que c’est plutôt oral comme expression…


« est ce que je dois tout dire au point de perdre son amitié et sa confiance ? »
Il y a un tiret « est-ce »

« ce genre de problèmes pouvait exister tout près de moi... »
Je mettrais « problème » (donc singulier) mais c’est toi qui décide

« Elle m'avait semblé si sérieuse... »
Mets plutôt « elle m’a » sinon cela fait bizarre avec la phrase précédente

« je la regardais manger au self à midi, je me surprenais même à rester les yeux fixés sur elle un bon moment... à me dire que peut-être, elle se servirait d'un couteau du self pour mettre fin à ses jours »
« self » fait répétition, si tu écrivais « d’un de ces couteaux du self » ou autre chose cela irait surement mieux je trouve (et oui, je suis très française et sûre de moi ^^)

« J'avais dû mal comprendre »
Du


« Je n'oublierais jamais ce jour-là, »
Futur donc « je n’oublierai »

« je me suis rendu compte »
Il n’y aurait pas un E à rendu par hasard ?

« mais l'être humain est fait ainsi, il préfère garder une amitié, plutôt que d'affronter la réalité. »

Je mettrais une majuscule

Voilà désolée , je n’ai pas remis tout le texte
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MessageSujet: Re: Le Jour où j'ai fermé les yeux.   Le Jour où j'ai fermé les yeux. Icon_minitimeJeu 3 Juil - 19:31

Soso a écrit:
« J'avais dû mal comprendre »
Du
Non non c'est bon comme c'est! C'est le participe passé de "devoir", et on met un accent circonflexe uniquement quand c'est du masculin singulier, donc en l'occurence c'est bon.
A moins que ce soit "j'avais du mal à comprendre" et dans ce cas effectivement c'est "du".
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MessageSujet: Re: Le Jour où j'ai fermé les yeux.   Le Jour où j'ai fermé les yeux. Icon_minitimeJeu 3 Juil - 20:30

Merci les filles, je vérais tous ça ce week end ou dans la semaine.
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MessageSujet: Re: Le Jour où j'ai fermé les yeux.   Le Jour où j'ai fermé les yeux. Icon_minitimeVen 4 Juil - 12:04

Citation :
<< je me suis rendu compte >>
Il n’y aurait pas un E à rendu par hasard ?

De par la loi étrange et complexe des verbes pronominaux, non, il n'y a pas de -e. BUT WHY ? Because les verbes pronominaux fonctionnent sur le modèle du verbe avoir (bizarre non ?). Si le pronom personnel (me, te, se, nous, vous, se) est COD du verbe, et seulement s'il est COD du verbe, on accorde. Pour voir si c'est le cas, il faut transformer le verbe.
EX : Je (et chuis une fille) me suis *lavé* => J'ai lavé moi-même => COD => Je me suis lavéE.
ICI : Je (et chuis toujours une fille) me suis *rendu* compte => J'ai rendu compte à moi-même => COI (à cause de ce petit à perfide) => Je me suis rendu compte.
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MessageSujet: Re: Le Jour où j'ai fermé les yeux.   Le Jour où j'ai fermé les yeux. Icon_minitimeVen 4 Juil - 15:22

Tlina a écrit:
Citation :
<< je me suis rendu compte >>
Il n’y aurait pas un E à rendu par hasard ?

De par la loi étrange et complexe des verbes pronominaux, non, il n'y a pas de -e. BUT WHY ? Because les verbes pronominaux fonctionnent sur le modèle du verbe avoir (bizarre non ?). Si le pronom personnel (me, te, se, nous, vous, se) est COD du verbe, et seulement s'il est COD du verbe, on accorde. Pour voir si c'est le cas, il faut transformer le verbe.
EX : Je (et chuis une fille) me suis *lavé* => J'ai lavé moi-même => COD => Je me suis lavéE.
ICI : Je (et chuis toujours une fille) me suis *rendu* compte => J'ai rendu compte à moi-même => COI (à cause de ce petit à perfide) => Je me suis rendu compte.
oh! merci et bravo pour cette leçon, j'adore le franglais ^^

heureusement que vous passez derrière moi quand même !

merci à toi aussi soeurdunefolle!
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MessageSujet: Re: Le Jour où j'ai fermé les yeux.   Le Jour où j'ai fermé les yeux. Icon_minitimeVen 4 Juil - 20:26

^^ merci les filles !
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MessageSujet: Re: Le Jour où j'ai fermé les yeux.   Le Jour où j'ai fermé les yeux. Icon_minitimeLun 7 Juil - 16:24

Recorrection à partir de celle de tlina et sur les remarques de soso (mais j'ai aps corrigé les trucs où t'as le choix entre plusieurs expressions):

Dans la vie on se pose chaque jour des problèmes en plus, des difficultés... Des questions stupides : est-ce que je dois prendre à gauche ? Ou bien à droite ? La veste bleue, ou bien la rouge ? La plupart des gens et des adolescents de mon âge, en règle générale, ne se pose que ce genre de questions, mais moi je préfèrerais n'avoir que ça en tête. N'avoir qu'à me soucier de mes devoirs, tout comme le croient les adultes, des problèmes banals et sans importance. Mais penser que les adolescents n'ont aucun problème grave, important, c'est se voiler la vérité. Ça fait des jours que je me demande ce que je dois faire, si je dois aller révéler le secret de ma meilleure amie à quelqu'un. Est-ce que je dois tout dire au point de perdre son amitié et sa confiance ? Avant aujourd'hui, je ne m'étais jamais posé la question, je ne pensais pas que ce genre de problèmes pouvait exister tout près de moi... Que mes amis en souffraient, que moi-même un jour ça m'attendrait... On pense toujours que rien de pareil ne peut nous arriver, que les problèmes de ce genre, seuls les adultes doivent les affronter... Je commence à avoir mal au crâne à force de penser à tout ça, à me répéter tout ce que Maya m'a dit. Elle m'avait semblé si sérieuse... Je ne sais plus quoi penser, quoi dire... Mon esprit est brumeux, embué par les doutes et les questions... À plusieurs reprises j'ai décroché mon téléphone, me convainquant de tout raconter à ses parents, puis lorsque j'entendais la voix de son père, ou bien de sa mère, ma voix restait coincée au fond de ma gorge, plus un mot ne voulait sortir de ma bouche asséchée. Et à chaque fois j'essayais de me convaincre que finalement, toutes mes questions étaient puériles, et que Maya n'allait sans doute pas aussi mal que je le pensais. J'étais comme une folle à tourner en rond à la façon d'un lion en cage. C'était plus fort que moi, plus fort que tout ce que j'avais vécu jusqu'à ce jour. Les poings serrés en permanence, je la regardais manger au self à midi, je me surprenais même à rester les yeux fixés sur elle un bon moment... À me dire que peut-être, elle se servirait d'un couteau du self pour mettre fin à ses jours, d'une boite de cachets ; peut-être qu'elle monterait sur le toit, peut-être que... Non, Maya était forte, elle était du genre à se sortir de toutes les situations, et ce n'était pas un problème aussi... banal qui ferait que Maya veuille en finir. J'avais dû mal comprendre, c'était pas possible, pas elle ! Pas elle. Il paraît que quand on ne veut pas avouer la vérité, quand on fait tout pour se convaincre de quelque chose, nous arrivons à occulter le problème, à l'oublier totalement. C'est ainsi que lorsque Maya n'est pas venue en cours le lendemain, je me suis seulement dit qu'elle devait être malade. C'est ainsi que lorsque je suis venue frapper à sa porte, un grand sourire aux lèvres pour lui donner ses devoirs, je n'ai pas compris pourquoi son père me faisait une tête d'enterrement. Je n'oublierai jamais ce jour-là, ce jour où je me suis rendu compte que finalement si, ça pouvait lui arriver à elle, à Maya, que personne n'était à l'abri, et que moi-même j'avais été sa meurtrière... Je l'avais été en gardant le silence. On ne se rend jamais compte de l'importance d'un secret, avant de s'apercevoir qu'en réalité, le révéler aurait pu sauver une vie. Quoique... quelque chose me dit que ça en aurait sauvé deux. Parce que jamais je n'oublierai, toujours je vivrai avec sa mort sur la conscience. Révéler un secret, sauver une vie, ça a tellement plus d'importance que de se taire... Mais l'être humain est fait ainsi, il préfère garder une amitié, plutôt que d'affronter la réalité.

____________________________________

Citation :
Dans la vie on se pose chaque jour des problèmes en plus, des difficultés...
La phrase est bizarre... Faudrait pas remplacer "pose" par "crée"? Et la fin, "des problèmes en plus, des difficultés", tu veux dire par là "des problèmes en plus des difficultés qu'on a déjà et qui sont pas créées par nous, ou c'est juste un synonyme de "problèmes"?

Citation :
J'avais dû mal comprendre, c'était pas possible, pas elle ! Pas elle.
Ca me gêne qu'il y ait pas de "ne" dans "c'était pas possible"... C'aurait été dans un dialogue oui, mais là... Enfin je sais pas, à toi de voir.

Citation :
Il paraît que quand on ne veut pas avouer la vérité
J'aurais plutôt mis "lorsque" à la place de "quand", parce que ça fait une répétition du son "que" ("que quand" ça fait pas beau!)

Citation :
nous arrivons à occulter le problème, à l'oublier totalement.
Tu passes du "on" au "nous"... Je serais toi je mettrais "on", ça généralise plus je trouve.

(J'ai pris la liberté de mettre des points-virgule à la place de virgules, de mettre des majuscules quand je pensais qu'on commençait une nouvelle phrase.)
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MessageSujet: Re: Le Jour où j'ai fermé les yeux.   Le Jour où j'ai fermé les yeux. Icon_minitimeJeu 10 Juil - 15:38

ok merci. j'vais regardé ça.
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MessageSujet: Re: Le Jour où j'ai fermé les yeux.   Le Jour où j'ai fermé les yeux. Icon_minitime

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