Un chemin s'ouvre a moi, une route goudronné longé par le brouillard, un brouillard épais et blanc. Blanc comme la neige, blanc comme les nuage au dessus d'un ciel bleu.
Il n'y a personne à l'horizon, je suis seul, j'ai un peut froid, un vent presque surnaturelle me fouet le visage de ses mains douce. J'ignore où je suis, je me suis retrouvé ici comme par magie, je m'marchais dans le collège, puis tous d'un coup, sans crier gars, je me suis retrouvé projeté ici. Je ne sais pas se qui a put se passé, mais j'ai envie de crier, de hurler, de appelé à l'aide, mais personne ne peut m'entendre. Je suis livré à moi même, j'ai peur, j'entend un bruit derrière moi, je me retourne un peut inquiet. Deux point jaune brille dans la nuit, ils se rapprochent... je suis comme pétrifié, figé sur cette route. Après un instant de panique, je me retourne et commence à courir. Tous d'abord sur la route, se qui bien sur était complètement idiot, cette chose avait bien plus de chance de me rattrapé ici. Dans un mouvement brusque, je tourne à droite, me dirigeant irréductiblement dans le brouillard.
je cour, me persuadant de ne pas m'arrêté, que mes jambes me fassent mal, ou que j'ai un point de coté, il était hors de question de m'arrêté. Après avoir traversé le brouillard, qui ne faisait pas plus de quelque mètre, je rentre dans une forêt, une forêt épaisse, qui rend ma course effrénée plus délicate. J'essaie d'éviter les arbres, mais derrière chacun d'eux s'en cache un autre, sans prendre garde, je me prends les pieds dans une racine, m'étalant au sol dans une douleur aigu. J'ai mal, mais je me relève, je sais qu'il ne faut pas que les lumière me rattrape, j'ignore pourquoi, mais elle ne doivent pas...
j'ai mal à ma cheville, j'ai la tête dans un brasier, j'ai l'impression de mourir tellement je soufre... mais un regard furtifs derrière moi m'indique que les lumière me suivent toujours, j'accélère, mettant ma douleur de coté pour sauvé ma vie. Elle me tienne à la culotte ses charognes, je les sent tous près leur lumière posée sur moi, elles me suivent sans une seconde de répit. Je cour, je cour sans jamais m'arrêté, attendant... je fait un dérapage monstre, m'arrêtant à quelque centimètre seulement d'une falaise. Je me retourne face à mes poursuivant, leur faisant face, prêt à les affronter.
en quelque instant, je repense à ma famille, à mes proches, ma maison, mon chiens, le collège, la vie, mon avenir que jamais je ne verrais... il y a tellement de choses que jamais je ne vivrais, des choses, que jamais je n'oublierais. J'ai un peut peur, je sais pas comment c'est derrière le voile fin qui sépare, la vie, et l'au delà... j'ai froid, plus que jamais j'ai froids, un grand vide se forme au fond de mon coeur.
Les deux petit point de lumière me regarde, m'épiant avec leur aire menaçant et supérieur, mais moi j'ai pas peur... arrgggg!! Ils approchent... je me recule, sans faire attention, je recule un peut trop.
Il est trop tard, un pieds dans les aire, le visage décomposé par la terreur, je tombe, une chute vertigineuse, j'ai peur, j'ai froid, le vent me fouet, plus fort que jamais, cela me fait presque souffrir. Pendant une fraction de seconde, je voix les deux point lumineux, ils semblaient me nargué, j'avais envie de les prendre entre mes mains, et de séré, de séré, de les faire disparaître...
- drinnngggggg !!!
J'ouvre les yeux, mon chat est sur moi, je suis parterre. C'était donc ça la fameuse chute vertigineuse, en éteignant mon réveille d'une main, j'eu un sourire.
J'avais rêvé...
un texte que j'avais écrit pour un ami, qui fêtait son anivaisaire.