Le paisible univers des jeunes écrivains en herbe... |
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| Champion [ Réaliste ] | |
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Era Admin
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| Sujet: Champion [ Réaliste ] Dim 8 Juil - 20:25 | |
| voici, une histoire que je dedit a tous les basketteur u BCML, plus particulièrement a mesamis de 91 !! Champion Je cours… je cours jusqu'à l'épuisement, je cour sans jamais m'arrèté, sans jamais me retourné je cours vers mon future, vers la victoire. Le ballon rebondi, une fois, deux fois je shoute mon lancé franc… et je marque ! Levant les bras au ciel, laissant éclaté ma joie, je cour je vole, j'embrasse mes amis qui me porte en triomphe… avant, j'étais comme ça, mais jai changé… ou plutôt je suis redevenu moi… Je me souvient, avant de commencé a joué dans l'équipe du basket du lycé, j'étais également très populaire, j'avais plein d'amis, et je ne me posais pas de questions, je jouais et je rigolais tous simplement… on me respectait a la cité et beaucoup de jeune m'admiraient… je me souvient d'un garçon qui me suivait partout… ou du moins je m'en souvient a présent, car grâce a elle je suis redevenu moi… Dans le monde d'ahui il y a beaucoup d'enfants qui aimerais pratiqué un sport, du foot, du basket… mais parfois surtout dans les cités comme celle dans laquelle je vivais avant, les parents n'ont pas toujours de quoi payer ce rêve à leurs enfants… ce ci finissent malheureusement par volé, dégradé, agressé la population… Je dois avoué que lorsque je suis arrivé dans l'équipe j'ai un peut oublier tous ces problèmes… je ne m'en préoccupais plus, je peut le dire je m'en fichais littéralement. J'étais sans doute un peut égoïste, mais on réagis malheureusement tous ainsi, c'est vrais vous pouvez l'avoué vous aussi vous vous fichez de ce que peuvent faire les autres tant que ça ne vous atteint pas et que l'histoire ne vous consterne pas vous vous en préocupé pas, vos vivez votre vie c'est tous. Vous entrez dans le cercle de ceux qui ont et vous n'imaginé même pas comment pourrais être ceux du cercle de ceux qui n'ont pas. On est tous pareil ! Mais moi je n'était pas seulement comme ça, je jouais, je gagnais, j'aimais ça et je me fichais du reste et des autres… c'était ma victoire. Mais je n'est pas toujours été comme ça… non je vous assure c'est vrais ! J'ai vraiment changé lorsque j'ai fait une rencontre inatendu… je sortais de mon entraînement, lorsque ce petit gars de 13 ans que je n'avais pas revus depuis tellement longtemps que je ne me souvenais même pas le conaître, m'a accosté. J'ai honte de le dire aujourd'hui mais je ne l'ais ni reconnu ni respecté. J'avais 17 ans, j'étais le champion de mon école… lorsqu'il est venu vers moi avec son sourir d'ange, je lui ais simplement répondu froidement : - Dégage de là, je signe pas d'autographe après 18h. Oui bon je sais, je me prenais un peut trop au sérieux a l'époque… aujourd'hui, je regrette. Le sourir du garçon a vite disparut il me regardait malheureux. Je lui ais donc ajouté : - Allé p'tit rentre chez toi. Le gars ma regardé de nouveau, puis avec un petit sourir rusé il ma répondu : - J'habite a la cité Grobet, et j'ai qu'une seul envie c'est de joué au basket… Je l'ais dévisagé, Grobet… je la connaissais comme ma poche cette citée, j'y avait passé une bonne partie de ma vie… mais je ne faisais plus partie de ce monde. - Il fait nuit, rentre chez toi, le ballon et le champion ont besoin de se reposé. - Je m'en fiche qu'il fasse nuit, et passé un moment tu t'en fichais aussi, tu jouais jusqu'à pas d'heure, a faire vibré le cœur de es spectateur, et de tes joueurs. Là c'était a mon tours de le dévisagé, qui était ce garçon qui savait tellement de chose sur mon passé a la cité… Je me suis contenté de le dépassé et de continué mon chemin. Les mains dans les poches, je suis rentré chez moi, le sac sur les épaules, les écouteurs de mon MP3 dans les oreilles, chantonnant sur un aire entraînent… Je suis entré dans la banlieu, j'ai mis les mains derrière la tête en marchant sur le trottoire. J'ai birfugué a droite puis entré chez moi. J'babitais dans une grande maison avec garage et jardin… quelque anné plutôt on aurait jamais imaginé s'offrir une telle demeur. Pourtant quand j'ai commencé a me faire conaître en tant que basketteur, mes parents se sont séré la ceinture pour que l'on vienne habité ici. Ils voulaient le meilleur avenir pour moi. À l'époque mon père était au chômage… mais présent ça va, il a retourvé du travaille et on vit assez bien. La menace de retourné a la cité Grobet s'était dissipé. De retours a la maison je me suis précipité sur mon ordi, l'ais allumé pendant que j'allais allumé ma chaîne je me suis assis devant mon bureau et est passé une bonne partie de la nuit derrière mon écran, a regardé des vidéo, a catché a glandouyé quoi… Au petit matin seulement je me suis allongé sur mon lit, j'ai fermé les yeux pour me réveillé a 14h. ( Ce jour là nous n'avions pas cour.) Comme d'habitude ma mère est un peut partie après parce que je m'étais encore couché trop tard je me suis contenté d'esquivé le sermont et d'allé a mon entraînement. Depuis tous petit je joue au basket, déjà a Grobet je jouais avec les plus grand, défiant les plus téméraire. Je driblais, faisant rebondire le ballon, le passant entre mes jambe, feinte et choute ! A cette époque je m'amusais bien, j'adorais ça, je jouais… pour joué, pour m'amusé. Je gagnais souvant, mais peut m'importait, on était ensemble… Aujourd'hui tout à changé, il faut gagner, gagner a tous pris… et je gagnais, j'aimais ça… enfin, c'est pas pour autant que j'étais heureux… je crois que avant cette rencontre avec Eric, j'avais oublier la véritable raison pour laquelle je jouais au basket… parce que j'aimais ça, un ballon entre les mains, sur un terrein, l'adrénaline qui monte, le plaisir de s'amusé, de prendre un ballon et de l'envoyé dans le cercle… j'aimais ça. Quand je suis arrivé devant le gymnase, tous le monde était agglutiné devant les portes - Que se passe t-il ? ai-je demandé. - Il n'y a pas entraînement la salle est prise, a répondu l'un de mes camarades. - On a qu'a allé sur le terrain du scuar, a proposé un autre. On a tous trouvé cette idée géniale, et on y est allé, enfin moi je la trouvais pas si géniale que ça… on parlait tous du prochain match du lundi soir, de l'arme secrète que l'on avait mises au point. Puis on est arrivé sur le terrain, il était un peut misérabl, mais super pour s'entrainé. Le seul problème c'est qu'il était déjà occupé…j'aurais du m'en douté. Des mômes de la citée Grobet y jouaient… Ah, je ne vous l'avais pas précisé ? Ce terrain était le territoire de la citée Grobet, c'était l'endroit où gamins je m'amusais pendant des heures, et où j'ai passé les meilleurs années de ma vie. Devant nous en groupe les jeune de la citée nous toisaient, j'y reconnu le garçon qui m'avait accosté la veille, il détourna la tête… - Tirez vous de là les mioches, a lancé Ralf notre ailié. Les gamins gamins ce sont rebifé, les plus vieux se sont eux avencé. Julien, l'un d'eux nous regarda de haut, dans le passé, je le connaissais bien Julien, il était mon meilleur ami. Mais ces temps là était lointains a présent. - Qu'est-ce que vous voulez ? demanda-t-il un ballon entre les mains le ton calme. - On veut le terrain, a lancé Ralf. Sentant que la converation tournait mal, je me suis avencé, prenant la parole. - Salut Julien ! On aimerait utilisé le terrain pour s'entrainé. - ce terrain est déjà occupé, retourné dans vos quartier les gosses de riches ! s'est écrié un des ami de Julien. Avant que vous ne posiez la question, non on était pas des gosses de riche, mais quand on vit dans la citée, tous ceux qui n'y sont pas sont riche. Julien a levé la mains ramenant le calme sur ses rang. - Cassez vous, a dit Julien, ici le terrain est a nous, et toi, a-t-il ajouté en s'approchant de moi… je ne veut plus te voir ici, tu n'es plus le bienvenu. Puis il ma poussé sans pitié. Je suis tombé sur les fesses, regardant toujours Julien dans les yeux, mes amis m'aidèrent a me relevé et on est repartie, sans quitter le groupe adverse des yeux. Je serais pas comment vous l'expliqué, mais le comportement de Julien m'avait déçut. Ce soir là je me suis couché tôt, allongé sur mon lit, les yeux fixé au plafond, regardant les heures passé. Je n'arrivais pas a dormir. Je me suis donc levé faisant signe d'allumé mon PC. Mais au dernier moment je retint mon geste et je suis allé m'habillé, j'ai pris mon ballon, puis sans un bruit, j'ai quitter la maison, me dirigeant vers le scuar. Je sais, ma désision peut vous paraître bizarre mais j'avais une envie folle d'allé là bas. j'ai commencé par chouté deux trois panier, puis j'ai commencé a courir, je me suis défoncé. Mon but premier n'était pas de marqué, mais bien de me défoulé, d'évacué toute mes forces contre le panier. Lorsque je suis arrivé au stade de la fatigue physique, je me suis arrêté m'allongeant au sol sur le goudron tiède, a regardé les étoile. Je suis resté ainsi pas mal de temps, puis jai entendu des bruits, des éclats de voix qui approchaient. Au départ, je ne m'en préoccupais pas, puis lorsqu'un des gars, m'a demandé d'une voix forte ce que je faisais ici, je me suis relevé et els ais regardé. - On n'avait pourtant dit a Julien que tu n'était plus le bienvenu ici, a dit l'un des colosses en s'avan vers moi… - Je… alors Julien ne m'avait pas repoussé de son plein grès ? À je ne faisais que joué au basket, le terrain est a tous le monde… Les quatre hommes n'ont rien voulu savoir, ils se sont avencé vers moi, l'un d'eux est venu par derrière, puis il ma soudain empoigné par la taille, m'empêchant de bougé, tendis que les autres… enfin je vais pas vous faire un dessin j'ai meurflé. Lorsque j'ai rouvert les yeux, j'étais allongé sur un lit, l'aire un peut perdu, mais j'ai reconnus très vite, j'étais venu tellement fois ici… - Ça vas allé ? m'a demandé la voix de Julien a coté de moi. - Je semble toujours en vie, alors je dirais que oui. Julien eu un sourire, et me dit : - Je t'avais prévenu que tu n'étais plus le bienvenu ici. Imagine toi ce qui se serait passée, si on ne les avaient pas fait fuir… - Dans ce cas je dois vous dire merci ? Julien ne répondit pas. - Qu'est-ce que tu faisais sur ce terrain en plein milieu de la nuit ? a t-il demandé. - Je n'arrivais pas a dormir, ai -je répondu en haussant les épaules, comme si tous ça semblait normal. Je me suis assis sur le bord du lit, tous mes membres étaient douloureux. - Et quand tu n'arrive pas a dormir, tu vas te faire passé a tabac, cool, mais que ça ne devienne pas une habitude je serais pas toujours là. - J'avais besoin de me défoulé et de réfléchir, de joué au basket… - Ouais… À se moment là, quelque un vint frappé a la porte, Julien est allé ouvrir et'lun de ses potes est arrivé en trombe. - Cette nuit le… qu'est qu'il fait là lui, tu l'a ramené chez toi ? s'est il exclamé outré, en me voyant. - Rien, a répondu Julien. - Qu'est-ce qui c'est passé cette nuit ? ai-je demandé. - Tu dois le savoir, puisque c'est toi et tes copain qui avez dégradé le terrain. - Quoi ? me suis-je exclamé en me relevant avec difficulté. - David est resté avec moi tous le reste de la nuit, et tu étais avec moi quand nous l'avons trouvé, le terrain n'était pas dégradé. - Je m'en fiche, se sont ses amis, il est également responsable. - Attend avant de nous jugé, si ça se trouve se ne sont même pas eux, d'ailleurs je suis sur qu'ils en seraient incapable. - Comment peux tu en être sur ? m'a demandé Julien. Je n'ais pas répondu et me suis contenté de les suivrent jusqu'au scuart. Les panier était tagué et décroché, les lampadaires brisé, et le sol remplie de tague et de déssins insulant. Je ne suis pas resté après ça, Julien ma conseillé de partir avant que les autre n'arrivent, je n'en avais pas très envie, mais il avait raison, partir était plus judicieux pour le moment. Ce jour là, je restait tous le reste de la journé alongé, mes membres était trop douloureux, et mes parents trop inquiet. Le lendemain, on était Lundi, et le jour d'après serais le grand jour,notre match. Pour l'occasion tous les cours finiraient a 15 h. Mais pour le moment, il restait a nous entraîné on voulait être près, près pour gagner ! On a couru autour du terrain 10 bonne minutes, puis on s'est arrêté reprenant notre soufle, pour s'étiré. L'embience était a son comble, on était tous sureexité, mais on devait gardé notre clame. Mon mot d'odre, ne pas partir gagnant… la suite des que je l'ais tpé
Dernière édition par le Sam 5 Jan - 20:11, édité 3 fois | |
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| Sujet: Re: Champion [ Réaliste ] Mar 10 Juil - 9:47 | |
| (suite)
mais je dois avoué, que j'étais ailleur, je ne pouvais pensé au match, pas après ce qui c'était passé la veille. On était tous entrain de faire des doubles pas, moi je n'en avais pas marqué un seul. - Qu'est-ce qui t'arrive vieux ? m'a demandé Zac, un de mes camarades. - Le terrain de la cité a été vandalisé.. - Ouais… c'est bien fait pour eux, ils n'auraient pas du nous caché et s'en prendre a toi ! - Quoi ? Attend tu… tu veux dire que c'est vous qui avez fait ça ? Zac était partie et n'avait même pas entendu ma question, mais Robin juste derrière moi me répondit : - Ils ne se prendront plus pour des bosses maintenant… Alors là ! Je ne pouvais plus respiré, plus bougé, j'étais comme figé, j'étais pâle, j'allais pas bien du tous. Le ballon ma échappé des mains, j'ai du me plier en deux, le soufle altant. Au fond de mon cœur un poids pesait lourd, j'avais mal, mal a la tête, mal a l'estomac, et mal au cœur. Je réprimis un haut le cœur. - Ça vas allé David ? m'a demandé le catch en venant me voir. - Je… je ne me sens pas bien… pas bien du tous. - Tu devrais peut être rentré chez toi et te reposé, tu dois être en forme pour demain. Je n'entendais pas ce qu'il disait, je me contentais allé en silence en direction des vestiaire, j'ai pris mon sac et suis partie, le regard, vide, sans expression je n'en croyais pas mes oreille et mes yeux… comment avait ils puent ? Je les avais défendu, j'ai pris leur défence ! Et je me suis trompé… comment avaient ils puent me trompé a se point… je suis déçut, j'avais confiance en eux, ils m'avaient trahi… je ne savais plus quoi faire ni quoi dire. En rentrant chez moi je suis passé devant le scuar… je sais pas trop pourquoi ce jour là… d'habitude je ne passe jamais par ce coin c'est beaucoup plus long, et puis c'est vrais que ça faisait très longtemps que je ne fréquentais plus la citée. Je m'apprêtais a dépassé la petite rue lorsque j'ai changé d'avis, je revint sur mes pas et m'engoufra dans la rue. On avait une immence vus sur la citée qui se trouvait derrière. Autours du terrain il y avait peut d'herbe, et le terrain lui-même ne ressemblait plus a rien. Des jeunes se mobilisaient pour frotter le sol et les paniers mais ils n'y avait pas grand choses a faire, ça ne voulais pas partir, faudrait frotté longtemps. Je suis resté là a regardé ses mômes se défoncé a remettre leur terrain en état un bon moment… c'est le cœur sérré que je voyais ce qu'était devenu mon terrain… je ne le supportais pas. Aujourd'hui se terrain que je considérais comme mon jardin secret étant petit était plus rien, tous ça a cause de personne que je considérais comme mes amis. J'avais mal, mal au fond de moi, un vide immense au fond de mon cœur… plus rien ne serais comme avant. Comment avais-je pus devenir amis avec des gars comme ça ! Ok les gars de la cité n'était pas des anges, mais ils ne s'en prenaient a personnes sans raison, si ils agressaient s'était seulement de la défence, Julien y m'était un point d'honneur a le faire respecté. Mainatenat, vous allez me dire, mais qu'est-ce qu'il délire ce gars, il c'est fait passé a tabac et défend ses agresseurs ?! Il est frappa dingue ! Bas non, je connais juste la citée ! Ce ne sont pas des amis a Julien les gars qui s'en sont pris a moi, loin de là. Ces gars là ne trainaient pas avec la bande a Julien, et de toute manière, il ne l'aurait pas acsépté. Ces types, n'était pas vraiment des amis a mère Térésa, si ils avaient déjà tué un mecs ça ne m'aurait pas étonné, et là vous vous ditens, bas il est revenu de loin le p'tit basketteur, et vous auriez raison, parce que j'aurais vraiment pus mourir ce soir là, rien que d'y pensé, j'en ais des frissons. J'ai regardé ce spectacle quelque temps encore puis tous le monde a commencé a quitter le terrain, c'est alors que Julien m'a vut, il est venu me voir… - Tu me file un coup de main ? a demandé Julien. - Je… je me sens pas bien, je passerais demain, ai-je dit en m'éloignant, puis je me suis stopé. Je croyais que je n'étais pas le bienvenu ? ai-je fait remarqué troublé. - Oui, parce que pas une seul fois tu n'es revenu nous voir… tu nous manque David, nos partie incroyable me manque. Maintenant regarde tous ça, ils savent que tu n'y est pour rien, tu es un chique type. Tu as changé, c'est vrais, tu t'es éloigné de tes amis, mais sache une chose, c'est que pour moi au fond de ton cœur tu es toujours le même garçon sympathique, joueur, qui savait s'amusé et qui pensait qu'a joué au basket, mais qui se fichait bien de gagner. Parce que c'est ça le basket David,, si tu ne prend pas du plaisir a joué, à ce que tu fait, alors a quoi bon faire rebondir le ballon ? Je l'ais regardé quelques instant, puis j'ai baissé les yeux a terre et de marché jusqu'à chez moi. Repensant à tous ce que m'avait dit Julien, à tous ce que je ressentais… Je me suis allongé sur mon lit fermant les yeux me rappellant tous ces bon moment passé à la citée, avec Julien et les autres… Cette nuit là je fit beaucoup de rêve certain étaient des souvenir, d'autre des cauchemars dans lesquels je me faisais tapé dessus par des gars de la citée. Enfin j'ai eggalement fait des rêves sur le match, c'était le plus important de la saison, ça commencait à me tourmenté. Mardi 17h. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Champion [ Réaliste ] Mer 11 Juil - 16:21 | |
| Ca veut dire quoi "BCML"?
Je sais pas trop quoi dire, en fait... Ca se lit tout seul ^^ Et je veux savoir la suite! |
| | | Era Admin
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| Sujet: Re: Champion [ Réaliste ] Mer 11 Juil - 20:14 | |
| BCML= Basket Club des Mont du Lyonnais. c'est le nom du club où je jouais | |
| | | Era Admin
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| Sujet: Re: Champion [ Réaliste ] Ven 13 Juil - 19:39 | |
| (suite) L'ambiance était à son comble, le gymnase était remplit, ce match était important, on devait le gagner. - David ? m'a appelé le catch, viens voir… On était entrain de shooté, j'ai donc laissé mon ballon au suivant et ais accouru vers lui. - Oui catch ? - Tu vas mieux, tu t'es reposé ? - Oui m'sieur. - Très bien… on compte tous sur toi tu sais… des recruteurs te regardent, alors surtout donne toi a fond, soi le meilleur !! Après ces quelques mots d'encouragement, le catch s'en est allé rappelé ses joueurs. Encore une fois, le résultat de ce match dépendait de moi… de plus on me regardait, j'allais enfin pouvoir joué en pro, génial non ? Ouais pourtant j'allais pas bien, j'avais pourtant toutes les raison de me réjouir, pourtant ce n'était pas le cas. Le regard vide, mon cerveau était endoloris. À mes coté, les joueurs, venaient rejoindre le catch. - Bon on doit gagner ce match, c'est bien comprit ? - Oui, avons-nous répondu. - j'ai pas bien entendu ! - OUI ! - Aller, filez… On est rentré sur le terrain les joueurs adverses étaient un peut plus grand que nous, mais ça n'avait que peut d'importance, si on était bon, on arriverait à s'en sortir et a contourné la difficulté.. l'arbitre a sifflé le début du match, s'ayais, c'était parti… Tim a récupéré la balle d'un revers de mains, il la envoyé a Jaque qui après deux ou trois drible me l'a remis… ça pouvait commencé… enfin ça aurait du… malheureusement je me suis fait prendre la balle comme un débutant. Je devais me concentré, et joué. Récupérant mon bien, j'ai driblé jusqu'au panier en faisant un smache. J'étais de nouveau moi… on a joué ainsi vingt bonne minutes, puis je me suis arrêté en pleine action en voyant un petit garçon… vous vous souvenez le petit gars qui m'avait accosté après un entraînement et que j'avais… envoyé baladé ? Et ben ce petit était là, devant moi me regardant les yeux fixe, il était couvert de sueur… Je me suis alors tourné vers le catch lui indiquant de demandé un temps mort. Après que l'arbitre est sifflé, je me suis même pas tourné vers mes camarades qui me regardaient, je ne suis pas allé rejoindre le catch… je regardais ce garçon, m'approchant de lui… - Que se passe t-il ? ai-je demandé. - C'est Julien, la bande de Chris, les brutes qui s'en son pris a toi, ils veulent lui cassé la figure, je veux pas qu'il arrive quelque chose a mon frère… je ne savais pas a qui m'adressé… - Ton frère ?! me suis-je exclamé avec surprise. Comment avais-je pus oublier ce détail, le frère à Julien… je l'avais bien connu, alors pourquoi lorsqu'il était venu me voir, je ne l'avais pas reconnut ? J'avais honte… et j'ai toujours aussi honte. Tous d'un coup tous les moment passé à la citée, avec Julien, les autre et surtout le petit frère à Julien met revenu d'un bloc… j'avais un grand vide au fond de mon cœur, comme si tous ça n'était plus… attendez, mais rien de tous ça existe encore ! Mes propre amis me rejette parce que moi je les ais rejeté, au fond, Julien avait eu raison de m'en vouloir un peut… - Eric…, ai-je murmuré… euh… écoute, attend moi ici, je reviens tous de suite. Résolu, les point séré, le regard haut, je me suis avancé vers le catch qui me regardait comme si je venais de faire une méga bêtise… - Qu'est-ce qui se passe ? a t-il demandé. - Je dois absolument partir là… je… je suis désolé. - Quoi ? Comment ça ? a hurlé Jaque. - Mes amis on besoin de moi… - Tes amis ? Mais c'est nous tes amis, a fait remarqué Zac. - Je croyais aussi, ai-je répondu. Je croyais… je pensais vous connaître, lorsque Julien vous a accusé d'avoir dégradé le terrain de basket, je vous ais défendu. Je ne vous aurais jamais crus capable de ça… - Mais a dit Tim. - Il n'y a pas de mais… rien excuse ce que vous avez fait. On pratique le basket parce qu'on aime ça, pour joué… mais vous, vous avez enlevé cette liberté aux adolescents, de la citée Grobet. Ce sont eux mes amis, c'est avec eux que je veux prendre du plaisir à joué et non avec vous… plus avec vous. En tous cas, bonne chance pour le match, je ne sais pas si un jour je rejouerais avec vous, ai-je dit en me reculant. - Attend, on a aucune chance sans toi, a dit l'un d'eux. - A oui ? C'est pour ça que vous voulez que je reste ? C'est donc la seul raison pour laquelle vous voulez que je reste ? Parce que je sais joué ? Parce que je gagne ? me suis-je écrié. Mais merde la fin, il y a des choses bien plus importante dans la vie ! - Ah oui ? Comme quoi ? a demandé Jaque. - Les amis ! Le catch restait toujours pétrifié devant ma décision, mais au fond de lui, dans le plus profond de son être, je suis sur qu'il savait que j'avais raison, qu'il ne m'en voulait pas vraiment… - Désolé, ai-je dit en reculant. - Et les recruteurs ? a demandé le catch. J'ai regardé les gradins et ais répondu : - Donnez vous a fond. Après ça j'ai tourné les talons allant rejoindre Eric au pas de course. On est sortie en courant au dehors du gymnase, puis on c'est dirigé vers la citée Grobet, suivit du terrain de basket. En allant là bas mon cœur a battu la chamade un bon moment, je venais de perdre ma dernière chance d'allé en équipe pro… mais je savais que j'avais pris la bonne décision. On c'est avancé sur le terrain et quand j'ai vus ce qui ci passait, j'ai ordonné a Eric d'allé se calfeutré chez lui, de ne pas en sortir… sous aucun prétexte et surtout, d'appelé la police. Rentrez chez lui le mettait déjà en colère, et appelé la police, ça il refusait, il était de la citée, il en avait peur, et avait appris a fuir les forces de l'ordres. mais il avait bien vus que je ne rigolais pas, que c'était du sérieux. Les gars de la bande qui en voulaient à Julien était d'un coté, face à eux, Julien et ses amis regardaient pétrifié ce qu'il se passait. Ce qui me dérangeait en faite c'était surtout le flingue qui se trouvait entre les deux groupe, et celui-ci été pointé en direction de Julien. - Fait ce que je te dis, me suis-je énervé. Eric ma regardé, mon regard profond et déterminé l'a convaincu, après une seconde d'hésitation, il est partie en courant vers les barre de bétons. Moi par contre j'ignorais quoi faire, comment empêché Chris le chef de la bande de tué mon ancien meilleur ami ? Maintenant je sais que ce que j'ai fait pourra vous paraître stupide, mais je l'ais fait, et de toute manière qu'aurai-je pus faire a part m'approché ? Je me suis avancé à leur hauteur, sous la panique, Chris (celui qui tenait donc l'arme) l'a pointé sur moi, j'ai eu un moment de recule, puis lui ais dit : - au, calme ! j'étais nerveux. Le gars lui c'est avancé. - Qui t'es toi ? Je n'ais pas répondu, je m'efforçais de ne pas cillé. - Je répète ma question, qui est tu le basketteur ? Le basketteur ?! Comment a-t-il… ah oui, j'avais toujours mon maillot. - C'est un de mes amis a répondu Julien en se mettant devant moi. Quant à vous, vous étés gentille, vous rangez votre flingue t vous allez voir ailleurs. - Oh, c'est bon là, calme ta joie ! Tu nous rend notre came et on se barre, c'est aussi simple que ça ! a dit Chris. - Oui mais il y a un souci, et un gros, nous ignorons de quoi tu nous parle, a répliqué Julien. Le dénommé Chris semblait agacé, il s'est détourné puis tous est allé très vite, dans un coup de vent il c'est retourné vers Julien, le coup est partie si vite, comme une fusée il a fendu l'aire. Puis le silence c'est fait, on était tous figé, stupéfait et en état de choc. Julien tremblait, puis alors que tous le monde le regardait il c'est effondré. voilà bonne lecture ! moi sadique de pas mettre la suite ? lol bientôt pour ceux qui lit la nouvelle. promis ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Champion [ Réaliste ] Dim 15 Juil - 13:02 | |
| - Citation :
- Ouais pourtant j'allais pas bien, j'avais pourtant toutes les raison de me réjouir, pourtant ce n'était pas le cas.
Etant donné que c'est pas du dialogue, tu devrais pas commencer la phrase par "ouais", ça le fait pas. On sait même pas si Julien va mourir ou pas... La suite! |
| | | Era Admin
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| Sujet: Re: Champion [ Réaliste ] Dim 15 Juil - 20:40 | |
| - Julien !!! ai-je hurlé en m'agenouil près de lui. C'est a ce moment là que là police avait décidé d'arrivé, tous s'activait, Chris et ses amis prenaient peur, Chris a laché le révolver dans un moment de panic. L'un des amis de Julien a voulu le rammassé mais je me suis mis sur son chemin. Il savait que je ne voulais pas faire fuir ces gars, mais simplement l'empêché de faire une grosse bêtise. Je suis retourné au près de Julien, il me regardait avec des yeux supliant. Alors que la police s'activait a poursuivre Chris et ses sbires… moi je réstais là avec les autres a regardé notre ami agonisé. l'ambulance à mis longtemps a arrivé, déjà mes souvenir en compagnie de Julien défilait devant mes yeux, je ne voulais pas le voir mourir. Lorsque le SAMU est arrivé, on ma gentiment repoussé à l'équa me demandant de laissé travaillé les secours. Quand on voit quelqu'un s'éteindre a petit feux, ça doit déjà être horrible, mais lorsqu il s'agit de notre meilleur ami, qu'il c'est fait tiré comme un lapin sous vos yeux et se meur, c'est insuportable. J'aurais voulu craqué, donné des coup de pieds dans tous ce qui avait autours, crier, pleuré… mais lorsque j'ai vus Eric, lorsqu'il est tombé face à son frère allongé sur un brancard… je ne pouvais pas lui faire ça, il avait besoin de quelque un il était si jeune… Eric est devenu livide… je me suis interposé, il en avait déjà assez vus. Il m'a donné des coup de point pendant quelque minute sur ma pointrine, pleurant à chaude larme. Puis il ma regardé… - Je ne veu pas qu'il meur, tu ma promis qu'il ne mourrait pas David. Je me suis alors accroupis pour me mettre à sa hauteur. - Julien ne moura pas, tu entend ? Il ne mourra pas, il est un battant… il vas falloir être fort Eric… Je l'ais sérré dans mes bras… je ne savais même pas moi-même si Julien survivrait… avais-je bien fait avoir fait cette promesse que je ne pourrais peut être pas tenir ? Je l'ignorais. Je suis resté tous le reste de la soiré au chevet de Julien, Eric s'était endormi, les médecin m'avait autorisé à l'allongé sur le lit à coté de celui de son frère. Moi je n'avais pas la moindre envie de fermé les yeux, pas alors que mon ami était là sur ce lit entre la vie et la mort. Il était là, inerte, les yeux fermé, entubé de tous part. je ne supportais pas de le voir ainsi… Ses parents son arrivé vers 23h, sa mère travaillait dans une grande surface comme femme de ménage, et son père était gardiens de nuit dans un parking souterrain. Ils vinrent voir Eric qui s'était réveillé a leur arrivé, et il l'on sérré dans leur bras, puis ils demandèrent à voir Julien. À ce moment là il allait se faire opéré, il n'est sortie de la salle d'opération que 2 h plus tard. 2h heure d'attente interminable pour savoir si il allait survivre ou non. Le verdict ? On devait attendre qu'il se réveille pour savoir si l'opération avait marché. J'en avais assez d'attendre, mais j'ai tous de même demandé à resté dans la chambre avec Julien, ses parents ne m'ont pas refusé ce droit. Le lendemain lorsque je me suis rendu compte que je m'étais endormis, j'ai eu le plaisir de voir que Julien s'était réveillé, il était faible, avec un trous dans l'estomac mais allait plutôt bien. - Salut vieux, ai-je murmuré, alors tu es toujours là ?! - Eh non David tu ne t'es pas encore débarrassé de moi… - Tant mieux, ai-je dit avec un grand sourir, tu nous aurais manqué. Comment ça vas ? - Comme quelque un qui viens de passé sous un rouleau compresseur… - Je suis désolé, est venu nous dire le médecin, mais Julien a besoin de repos, et vous aussi mon garçon. - Non, je veu resté encore un peut, ai-je protesté - Non, a dit Julien, l'infirmière ma dit que tu était resté là toute la nuit… le guerrier aussi a besoin de repos, rentre chez toi ! À contre cœur, je suis partie en promettant de revenir plus tard. Ce jour là, le ciel était bleu, pas de nuages à l'horizon, bien entendu ça sentait la pollution, ce qui n'était pas très agréable… mais j'étais heureux, Julien était saint et sauf. En rentrant je suis passé par la citée, les amis de Julien, n'avaient pas osé venir voir leur ami a l'hôpital. Comme je m'en doutais, je les ais trouvé sur le " terrain de basket". Tous, regardaient le sol, assis sur un banc, ou par terre. Lorsque je suis arrivé, ils levèrent leur tête d'entèrement, je m'étais posté devant eux ainsi. L'un d'eux (j'ai appris par la suite qu'il s'appelait Bastien, et qu'il était le second de Julien.) lorsqu'il m'a vus, il a sotté du banc et s'est avencé vers moi, m'obligeant a reculé. - Comment va-t-il ? À présent tous les regard étaient tourné vers moi. - Il va bien, il sortira dans quelques jours. c'est alors que dans une explosion de joie tous plein de souri a traversé leurs visages, ils étaient tous heureux, levant les bras en l'aire en signe de victoire, s'embrassant. Quant à Bastien il a eu un petit sourire, mais s'est très vite repris, il ma regardé et ma dit : - Ces pourritures vont le payé, on va leur faire la peaux, a-t-il déclaré en serrant les point. Tous les autre on acquiescé le regard noir, présent ils ne souriaient plus, ils étaient grave. - Non, ai-je dis. Tous le monde c'est à nouveau tourné vers moi… - Non ? Pourquoi Non ? a hurlé Bastien, ils ont voulu tué Julien, il s'en sont pris a notre ami ! Et a toi aussi. Comment peut tu être en désaccord avec ça alors que ton ami est sur un lit d'hôpital ?! - Je peut pas, mais je serre les dents et j'attend. Aucun de nous est un meurtrié, ils le payerons, mais pas ainsi ! La vengence ne sert a rien, pas celle-ci… si vous faite ça, vous allez gaché vos vie, allé en prison… c'est pas ce que voudrait Julien. - Tu a s'en doute raison…, fit Bastien en regardant ses pieds, puis il a relevé la tête tous d'un coup et a dit : mais on doit quand même vengé Julien… ses minables ne s'en sortiront pas ainsi…, a dit Bastien, que les autre laissait parlé. Je me suis tourné, dos a eux et ais fait : - la vengence est un plat qui se mange froid… on finira par nous vengé, sur notre propre terrain… mais pas maintenant. Le chef de la bande de ces gars, je l'avais bien connu, aujourd'hui il se cachait, il laissait ses sbires détruire l'existantce des locataire de la cité, et ce cachait, comme une tope. Ulric n'avait pas toujours été un lache, lorsqu'on était gamins, il était le premier a allé découvrir les trésor de la cité, allé se caché dans les cave, joué au basket toute la nuit, défier les plus agée… Julien avait été un de mes meilleurs ami, mais Ulric, lui s'était différent, il était mon meilleur ami, on avait fait tellement de bêtises ensemble… on avait tellement rigolé, lorsqu'on avait passé une nuit blanche dans la tour nord de la citée, cette tour était inhabité, car trop dangereuse. Plus personne n'y allait, mais plus les squatteurs… mais nous on y avait passé notre enfance, c'était notre jardin secret… puis on a arrêté d'y allé, à partir du jour où Peter y a laissé la vie… Je savais que Ulric ne me considérait plus comme un ami, il nous en voulait à Quentin, Julien et moi. Tous les 5 on était inséparable, puis tout à basculé, jamais j'oublirais ce qui c'est passé ce 2 aoûte 1999... Mais ceci est une autre histoire… Aujourd'hui, Ulric avait failli faire tué Julien, entre nous il n'y avait plus rien. Bastien a eu un petit sourire, puis quelque un a fait remarqué : - Oui mais notre terrain est fichu. - Depuis quand les basketteurs s'avouent vaincu ? Le terrain sera près pour le retours de Julien. Maintenant il reste plus qu'à se mettre au travaille. J'ai fait signe a Bastien de venir avec moi, on a laissé les autre travaillé, et on est partie vers les barre de béton de la cité Grobet. Une heure plus tard, on était de retour, un seau et un ballais brosse a la main. Derrière nous, les habitant de la citée nous suivait en nombre. Oui, vous allez dire que l'on est fous, que c'est stupide, mais pourtant c'est vraiment ce qu'on a fait, on a frappé au porte, demandant l'aide des locataires. C'était l'une de mes plus folles idée, mais si on y regardait a deux fois, c'était une idée de génie. Les gens nous avait suit volontié, enfin pour la plus part, car dans la vie, il y a toujours des irréductible gaulois. Mais la plus part était venu, j'aurais jamais crus que autant serait venu, mais c'était le cas. Lorsque j'avais rappelé au gens a quel point le terrain de basket était bénéfique pour les jeunes ils n'avaient plus hésité. Les anciens, les pionnier de la citée, savaient parfaitement que j'avais raison, il nous avait vus grandire, fait nos bêtises de mômes… mais on avait cha,gé, et ils savaient pour la plus part que l'on était pas méchant. Certaine mère de famille avait même proposé de nous faire a mangé, je me souvient que cette générosité, m'avait beaucoup touché. À présent cette armée, munis de seaux, de ballait, et peinture et d'huile de coude s'avan de pas ferme vers le terrain. Les jeunes qui se trouvaient déjà sur le terrain nous regardèrent arrivé, le regard ébailli et pétillant, ils avaient la bouche ouverte, avec un petit aire idiot. Puis il sourire, et se remirent au travaille, tous ensemble. - Comment vous avez fait ? a demandé l'un d'eux. - David leur a dit, que ce lieux était notre refuge, que quand on était ici, on ne faisait pas de bêtises, a répondu Bastien. - Ça, plus un sourire charmeur, ils n'ont pas pue résister, ai-je ajouté en souriant. Bastien ma donné un petit coup sur l'épaule comme pour me reproché mon brin de ventardise. - T'es génial comme mec, a répliqué le gars en me regardant. - À présent je sais pourquoi tu es l'ami de Julien, a ajouté Bastien. J'ai sourie, puis ai dit : - Vous me jugerez quand on aura finit, pour le moment, on a du travaille…. On sait alors tous mis au travaille, frottant, discutant, de tous, de rien, c'était génial, tous le monde s'entandait bien. Je me suis arrêté quelque seconde, regardant ce merveilleux spectacle. - C'est grâce à toi si on est tous réunis là, tu a fait ce que aucun n'avait réussis jusqu'à présent. Tu fait plus que de rendre leur refuge à ces jeunes, tu nous offre la possibilité de nous connaître, m'a dit un homme a mes cotés. - Lorsque j'habitais dans cette citée, c'était chacun de son coté, je ne me souvient même pas avoir connu l'à moitié des locataire vivant ici depuis ma naissance. - Tu as raison, la plu part de ces gens ne s'était jamais adressé la parole jusqu'à aujourd'hui. - Je sais pas vous, mais je trouve que c'est le plus beau cadeau que l'on aurait pus m'offrir, faire l'impossible. - Je… C'est alors, que j'ai perdu mon sourire, dans un long dérapage, une voiture c'est arrêté devant nous, tous le monde regardait dans sa direction, le conducteur est sortie, d'un pas déterminé et remplis de colère, mon père c'est avencé vers moi. - Qu'est-ce que tu fait ici David ? a-t-il hurlé. - Je… - Allé, viens avec moi ! - Non ! Je veux pas, ai-je crié. C'est ici qu'est ma place, avec mes amis. - Mais tu as perdu la tête ?! - Non au contraire papa, je l'ais retrouvé. Je suis de nouveau moi. Comment est-ce que toi tu as pus oublier la citée ? Ta vie ? Ton passé ? - Et toi comment a tu pus quitter le match de ta vie en plein milieu ? Tu étais promis à un belle avenir… comment a tu pus tous gaché. - Il y a des choses plus importante dans la vie… Clac !! et voilà, c'était tombé, une gifle monumental qui avait tous changé. - Comment a tu pus Franc ? C'est ton fils, de qu'elle droit ne le laisse tu pas mené sa vie. - Toi… - Tire toi, si David veut être ici c'est son droit, tu na pas à le lui reproché. Sur ce coup là j'avais pas tous compris, l'homme avec qui je parlais à peine cinq minutes plutôt et qui semblait très calme, venait de s'énervé contre mon père. Il avait pris ma défence, avait appelé mon père par son nom. - Si tu reste ici David, ne compte pas revenir à la maison ! Et voilà, il l'avait dit. Je n'arrivais pas a comprendre à quel point tous ça pouvait compté pour mon père, je crois que en réalité, il avait toujours voulu que je réussisse là où lui avait échoué. Mais de quel droit voulait t-il prendre les décisions à ma place ? Le pire dans tous ça, c'est que je savais qu'il ne plaisantait pas, il était entrain de me foutre à la porte. Mais jamais rien ni personne n'aurait pus me faire changé d'avis, ma place était ici, je le savais. Je n'ais rien répondu, me contentant de baissé les yeux. Mon père est alors partie, l'homme à mes coté a posé sa main sur mon épaule, alors que la voiture s'éloignait, j'ai repoussé la mains du gars, et me suis éloigné assis sur un banc j'ai replié mes jambes contre moi, et les ais enserré. J'allais pas bien, je venais de me faire mettre à la porte, mais pourquoi ? Parce que je voulais être quelqu'un de bien ? S'était injuste. Le gars qui était venu prendre ma défence est venu me voir, il a posé une mains sur mon genoux, et m'a demandé : - Ça va allé ? - Mouais… retournons au travaille. - David ? m'a t-il rappelé. Je me suis retourné vers lui, surpris et le regards triste. Ton père cris, mais je suis sur qu'il t'estime beaucoup. - Comment pouvez vous en être sur ? Et puis comment le connaissez vous ? l'homme a semblé hésité, il à regardé la citée, puis c'est retourné vers moi. - Je… c'est une longue histoire David, des histoire d'adulte. - Qui êtes vous ? Et voilà je venais de posé la question qui me trotait dans la tête depuis quelques minutes. Qui était t-il. - Quelqu'un qui a perdu le droit de te connaître. c'était quoi ce charabia, mais… je comprenais plus rien. - David ? m'a appelé Bastien. j'aurais aimé l'étranglé, ce gars allait me révélé la vérité, me dire qui il était, et Bastien, venait de coupé court à cet entretien. J'avais envie de crier, de hurlé, mais je me suis contenté, de partir voir Bastien les dents serré. Je découvrirais la vérité, je me l'était juré. Je suis donc allé voir les gars, ils voulait remettre l'un des paniers en place, et pour ça ils avait besoin d'aide… On a travaillé ainsi jusqu'à tard dans la journée, mais on avait enfin terminé, le terrain était comme neuf, avec l'aide des locataire, on avait même pus réparé les lampadaires hors d'usage depuis trop longtemps. Lorsqu'on eu enfin finit ceci, il était plus de 18h.on était sur le gason, regardant notre travaille avec fierté. Mais il manquait quelque chose, une petite personnalisation, c'est vrais, il s'agissait d'un terrain de basket, mais il semblait si terne, si… banal. Puis mon regard à été attiré, par autre chose, ce qui se passait derrière le terrain contre le mur, de la citée, commençait à me donné des idées… | |
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| Sujet: Re: Champion [ Réaliste ] Dim 15 Juil - 20:40 | |
| - Je reviens, ai-je dit, puis en courant, je me suis dirigé vers des tagueurs, qui sévissaient vers la citée. J'ai parlé quelque minutes à leur chef, il a eu un sourire, et alors que je revenais vers les autre, ses potes et lui son venu avec moi, munis de leurs bombes. Ils se sont alors mis au travaille, ils ont commencé à tagué le terrain. - Quoi, mais qu'est qu'ils foutent ? s'est exclamé Bastien en gesticulent. Je l'ais arrêté avant qu'il n'aille les arrêté et ai-je dit : - Attend et regarde. Les locataires aussi commençait à être mécontent, dans un sens, je les comprenais, ils nous avait aidé, et là à première vus, les tagueurs gâchaient tous. Ils s'apprêtaient à partir, lorsqu'ils se sont arrêté stupéfait. Et oui, encore une fois, personnes ne connaissait mon plan, je n'avais dit à personne ce que j'étais allé dire aux tagueurs, mais lorsque les première fresque ont apparut tous le monde à sourit. Les jeunes n'avaient qu'à peine commencé, mais déjà des œuvres majestueuse apparaissaient. C'était déjà superbe. Tous ensemble on c'est assis dans l'herbe, pour regardé ses artistes à l'œuvre, ils n'ont finit leur travaille, que plus de deux heures plus tard. Alors que nos artistes en herbe signait leur œuvre, deux d'entre eux sont allé faire les panier sur l'un un basketteur entrain de matché sur l'autre un manifique ballon enflamé. Le chef des tagueurs, un vielle ami est venu nous rejoindre Bastien et moi. En arrivant, Quentin à frappé dans ma main. Et oui Quentin, le chef des tagueurs, était mon vielle ami d'enfance, Quentin. On avait tous pris des chemin différents, mais au fond, on était tous resté les même. À part peut être Ulric… - Alors, vous trouvez ça comment ? a demandé Quentin. - personnellement, a dit Bastien, j'adore le Grobet Champion enflammé. - C'est magnifique, ai-je ajouté. À présent, tous était finit, on est resté comme ça en contemplation pendant un bon moment. Puis un ami à Bastien, est venu lui apporté un ballon de basket. - Merci. David ? m'a t-il appelé. Je me suis tourné vers lui et il ma tendu le ballon. À toi l'honneur Champion ! - Non vas y toi, c'est votre terrain. - Oui, mais à présent c'est également le tiens, ce terrain est à tous le monde à présent, à tous les joueurs de basket qui veulent y joué. Et puis, tu es le mieux placé pour inauguré ce terrain, a dit Bastien, sérieux - Sans toi, tous ça n'aurait même pas vus le jour, à dit Quentin. - Allez, vas y p'tit ! m'ont encouragé les locataires. Je me suis donc avancé vers l'un des panier, jouant les chef d'orchestre, je leur faisant signe de faire plus de bruit. Faisant rebondir le ballon, je me suis placé à la ligne des lancé franc, que l'ont avait repeint. - Je tire ? ai-je demandé. Les spectateurs, on dit oui. Plus fort, j'ai pas entendu ! - OUI !! Je me suis retourné vers le panier, puis dans le plus grand silence, j'ai tiré, au ralenti, le ballon est tombé droit dans le panier. Tous le monde à acclamé, faisant un bruit fous, tous sifflet sortie… c'était vraiment bien, mais tous d'un coup, tous se turent, plus personnes ne rigolait, ni souriait. Tous regardaient d'un œil grave les nouveaux venu, qui avaient récupéré le ballon. Ulrich et sa bande s'avancèrent vers moi, ses potes se sont alors stoppé à bonne distance, alors que Ulrich s'approchait toujours. Effrayé les spectateurs, eux avaient tendance à s'éloigné. - Qu'est-ce que tu fait là toi ? m'a t-il demandé en me reconnaissant. - Je suis libre d'allé où je veux. Mais je peut te posé la même question, qu'est-ce que tu fait avec ces types ? Ulrich n'a pas répondu, il c'est contenté de me regardé comme si il n'avais qu'une seul envie, m'écrasé de sa botte. - Toi et tes copains vous allez vous tirez, ce terrain est à nous ! a t-il répliqué, ne prenant pas la peine de me répondre. - C'est vous qui allé voir ailleurs, a dit un pépé en essayant de tapé Ulrich avec sa canne. - Non ! ai-je crié, attirant l'attention de tous le monde. Le petit vieux à arrêté et Bastien la emmené à l'écart avec un de ses amis. Puis ils sont revenu à mes coté, Quentin aussi. - C'est notre terrain, c'est vous qui dégagé ! J'ignrais comment, mais l'adrénaline m'avait donné une incroyable confiance en moi. - Tu peux répété, a fait Ulrich. - Il t'a dit de partir, a fait Quentin. Ça fait bien longtemps que tu a perdu le droit de venir joué sur ce terrain. - Depuis quand tu a le crant de me répondre toi ? a t-il demandé à Quentin. - Et toi, a tu oublié tes amis ? Ça m'étonnerait, tu peut pas avoir oublier ce qu'on a vécu tous ensemble, ai-je dit. Il semblait m'écouté, j'ai donc continué. On était tes amis, tu as changé… comment à tu pus laissé tes bouldozeurs s'en prendre à Julien, il est sur un lit d'hôpital à cause de lui, ai-je dit en montrant le dénommé Chris du doigts. La foule commençait à s'aglutiné, intrigué par tous ce remus ménage. - Quoi ? a demandé Ulrich. Il s'est retourné vers ses potes, puis m'a dit : qu'est qui est arrivé à Julien ? - Quoi, tu l'ignore ? Ton pote lui a tiré dessus. Ulrich m'a regardé avec fureur, à parement, il n'était pas au courant de l'incident en question. Les autres de la bande on alors retenu le Chris en question. - Je te propose un truc, on fait un match, comme dans le bon vieux temps, m'a-t-il dit. - Et quel est l'enjeux ? a demandé Quentin. Dans le passé, chacun de nos match avait un enjeux, un gage, allé cherché les clef des caves chez le consierge, pisé dans un pots de fleurs… oui je sais, à l'époque on était vraiment con. - Si on gagne, on garde le terrain et on s'occupe nous même du cas de Chris. Si c'est vous qui gagné, vous gader le terrain et vous occupé de Chris. Le silence c'est installé j'hésitais, mais c'était maintenant, ou jamais. Je savais une chose, c'est que si Ulrich s'occupait de réglé son compte à Chris, demain dans les journeaux, dans les fait divert, il y aurait un article sur un jeune délinquant retourvé mort dans un caniveau. Mon choix était fait. - D'accord, je suis partant, mais à une condition, si c'est nous qui gagnions, tes potes se livre à la police, et tu te dénonce pour le trafique de drogue. Ulrich eu des grand yeux. Et oui, tu crois quoi, que je suis stupide, si Chris voulait récupéré de la came que Julien, lui aurait sois disant volé, c'est qu'il y a un trafique la dessous. - C'est pas ça, a répliqué Ulrich, disons que j'ai l'impression de découvrir plein de choses ce soir, il s'est à nouveau tourné vers ses copain. Là je ne comprenais plus rien. Puis est revenu vers moi, il m'a tendu le ballon et a dit, en 15 points, comme d'hab. Tous les spectateurs son ressortie du terrain tous nous regardaient Ulrich et moi, on devait joué sur une moitié de terrain, un contre un, en 15 point. La balle était dans mon camp. Ça pouvait commencé…Je suis partie en drible, ais fait passé le ballon entre mes jambe, fait une feinte et est partie en double pas. Ulrich n'a a peine défendu, je l'avais remarqué. La balle était encore à moi, j'ai fait une feinte de partir à droite, puis ais en réalité tiré directement. C'était le genre de choses que j'aimais faire, et Ulrich le savait. - Qu'est-ce qui te prend ? lui ai-je demandé de façon à ce que lui seul ne m'entende. - Rien, joue. j'ai driblé, et ai dit : - Tu fait semblant de joué, pourquoi ? - Je savais pas pour Julien, et je touche même pas à la drogue. - Quoi ?! ai-je dit en me stoppant net. - Chut ! m'a t-il dit en me prenant la balle pour allé le placé dans le panier. Je fait un peut ma brute, mais je ne suis pas un délinquant, je l'ais jamais été. - Mais, je… je comprend plus rien, si c'est pas toi le trafique, alors c'est qui ? ai-je demandé en lui piquant la balle, qu'il repris quelque seconde après. - C'est une bonne question, ça fait quelque temps que j'ai remarqué que les gars n'était plus les mêmes. Si j'avais été au courant, Chris n'aurait jamais eu de flingue. Ulrich est allé shooté sans même que je ne l'an n'empêche, les spectateur était mécontent. Ulrich est revenu et c'est mis sur la ligne médiane je lui ai demandé : - Mais pourquoi on joue, si ils tuent et font des trafique, alors pourquoi tu te casse pas du groupe ? Pourquoi tu les balence pas ? - Tu savais que j'était devenu un sale type, alors pourquoi tu ne me pas balencé à la police ? a t-il demandé. - Bas, parce que tu restera toujours mon ami. - Oui et eux aussi sont mes amis, écoute David, je suis pas une balance, si tu gagne alors ils seront livré à la police. - Je vois, en faite tu te sert de moi… - Non, ne croit pas ça ! - Mais c'est pourtant la vérité, ai-je fait en gesticulent alors que je venais de lui prendre la balle, et de faire un smatch avec force. - Peut être, a t-il admit. Mais je ne veux pas et je ne peut pas les laissé agire. Si je m'en occupe seul je serais perdant. - Non, si tu arrête ce match tous de suite et que tu appelles la police en leur racontant tous, tu peux t'en sortir, tu veux mon aide, alors fait ça, laisse la police s'occupé de leur cas. Arrête ce carnage maintenant. Ulrich c'est arrêté de joué, moi aussi, il me regardait perplexe. - J'ai peur, m'a t-il avoué. - Je comprend, mais on ne peut pas les laissé faire, Chris à failli tué Julien. - Comment va-t-il ? a demandé Ulrich. - Il devrais sortir dans quelque jours… mais toi tourne la page, Peter est mort depuis plus de 7 ans, toutes cette histoire a assez duré. Je suis sur que tu manque beaucoup à tes parents. Ulrich m'a regardé, les yeux emplis de larmes, je ne l'avais jamais vus ainsi, il regrettais le chemin qu'avait pris sa vie, je le savais, ça se voyait. Après ça, on a retenu les types de la bande, les locataires, nous ont aidé à les contrôlé pendant ce temps là, Bastien était allé prévenir la police, bien entendu, il aurait aimé cassé la figure de Chris, mais on l'en a empêché. Tous le monde était un peut déçut, car le match n'avait vus ni gagnant, ni perdant, on était à égalité, mais c'était mieux comme ça. Comme je l'ais déjà dit, il y a des choses plus importante dans la vie que de gagner, ou de joué au basket. Ce match n'avait eu aucune raison de continué, le principale, c'était que les méchant avait été arrêté que tous était redevenu normale. Il est vrais que tous le monde était contant de voir ces types quitter la citée, éradiqué le crime de la citée. Ulrich aussi avait été emmené, mais comme témoin, on avait dit à la police qu'il n'avait rien fait, et j'avais pris sa défence, disant qu'il n'était pour rien la dedans. Bon je sais, peut être qu'il m'avait mentie, je ne pouvait pas ignoré cette hypothèse, mais il était mon ami. Et puis au fond de mon cœur, je sentais qu'il n'avait rien fait, du moins rien de plus que de faire sa brute devant les locataires… Quelques jours plu tard on se retrouvait tous au bas des barre de bétons, tous ensemble, jeune, vieux, tous le monde s'est activé pour nettoyé les mures tagué, repeindre et redonné une meilleur vie à la citée. On était tous ensemble, comme lorsqu'on a nettoyé la terrain, tous ça était agréable. | |
| | | Era Admin
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| Sujet: Re: Champion [ Réaliste ] Lun 16 Juil - 14:33 | |
| ( suite et fin) Moi, je n'étais pas rentré chez moi depuis la dispute avec mon père, mais la veille, il était venu me voir, j'ai pas tous compris, c'était un peut dure a accepté les parents mon balancé trop de truc à la fois, mais en claire, j'avais le droit de resté à la citée. À parement, mon grand père avait demandé pour me gardé, c'était incroyable, deux jour avant je pensais qu'à une chose, me vautré devant mon ordi, maintenant, j'étais pas seulement devenu un jeune homme qui s'intéressait aux autres, qui aimais joué au basket, sortir avec ses amis, j'étais devenu quelqu'un de bien, j'avais apprit que j'avais un grand père, et je l'avais rencontré. Oui, jusqu'à ce jour là je n'avais jamais entendu parlé de mes grand parents, à présent, je vivais même chez eux. J'étais l'adolescent de 17 ans le plus heureux du monde. Dans quelques heure l'un de mes meilleurs ami allait revenir de l'hôpital, et Ulrich lui revenait juste du poste de police. Il était libre, Chris avait avoué, ses empreinte avait été retrouvé sur le révolver, il a donc été inculpé. Et heureusement pour Ulrich, pour le trafique de drogue, la police surveillait la bande depuis quelque temps, ils savaient que Ulrich n'était pour rien dans tous ça, mais il serait un éxelant témoin… Au fond, tous redevenait comme avant, on était tous réuni a la citée, Ulrich recommençait à traîné avec nous… le seul truc c'est que à présent, Peter n'était plus avec nous… il ne quitterait jamais mes pensé, à tous jamais gravé dans ma tête, et dans mon cœur… 15h, Julien arrive, nous on l'attendait tous sur le terrain, il s'est avancé, regardant autour de lui l'aire ebaillis. - C'est magnifique ! Puis il a tourné les yeux vers nous super heureux, mais son sourire s'est un peut effacé lorsqu'il a posé ses yeux sur Ulrich. Mais dans un sens, tous ça était compréhensible, Julien, ne savait rien de ce qui s'était passé ces dernier temps, je lui avait dit qu'il y avait eu des changement, mais pour le reste il ignorait tous. - Qu'est-ce… - Allé, viens, on t'expliquera… Ulrich était un peut géné, il baissait les yeux comme si ce n'était pas sa place. Mais Quentin l'a regardé, et a souris, Ulrich lui a rendu son sourire relevant la tête. Ont est resté assis, tous les 4 à discuté du passé pendant quelques temps. Puis Eric est venu nous voir, un grand sourire au lèvre il ma tendu le ballon et ma dit : - Tu veux bien m'apprendre a faire des lancé franc ? J'y arrive pas trop. - Pas maintenant Eric, on discute là, tu ne vois pas, lui a répliqué Julien. - J'arrive Eric, on a tous notre temps pour discuté ! Je suis donc allé joué avec Eric, je lui ais appris à mieux faire ces lancé, à placé ses mains sur la ballon. Il était heureux et moi aussi… Et voilà, on arrive à la fin de mon récit, oui je sais, vous vous posez des questions, vous voudriez savoir qui est Peter, connaître le tous début de l'histoire, ou peut être la suite… mais pour le moment c'est tous ce que vous saurez… qui sait, peut être qu'un jour, je déciderais d'écrire le prochain chapitre de ma vie, ou le prologue, je sais pas… Je vous laisse donc sur ces mots, en vous donnant un seul conseil, n'oublié jamais que il y a des choses plus importante qu'un simple match, ou de gagné, avec mes amis, Julien, Ulrich et Quentin je gagnais tous le temps, on était unis et on jouait ensemble, au lycée, on me laissait joué seul, sans moi ils étaient perdu, si on joue tous ensemble on a plus de chance de gagné… Bon, je vous laisse, Ulrich est entrain de me cherché, je dois lui donné une petite raclé pour le calmé… et voilà Champion est terminé, j'éspère que vous avez apprécié de lire cette nouvelle autant que j'ai pris de plaisir à l'écrire | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Champion [ Réaliste ] Mar 17 Juil - 13:30 | |
| Mdr la fin! (Trop fort, je viens de découvrir les nouveaux émoticônes! lol Trop marrant ) Bon bref... y a quelques petits trucs qui vont pas. Julien il s'est pris une balle quand même, il peut pas ressortir au bout de quelques jours seulement de l'hôpital Et pour la police qui met hors de cause Ulric (c'est bien ça? lol Parce que tu lui as donné plusieurs orthographes tout au long du texte... ^^), je trouve que c'est un peu facile, même si ça faisait un moment que la police surveille la bande! 'Fin voilà, c'était bien agréable à lire ^^ |
| | | Era Admin
Nombre de messages : 1566 Age : 33 Localisation : Là où ma plume me dépose... Loisirs : écrire de ma plume un petit mots pour toi ! Date d'inscription : 04/12/2006
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| Sujet: Re: Champion [ Réaliste ] Mar 17 Juil - 13:47 | |
| déjà bas les émoticone on est deux a venir de les remarqué... après pour l'hopital, il s'agit quand même d'un garçon de la cité dans un hopitale de banlieu, je suis pas sur que les gens aprécis de voir quelqu'un de la citée dans leur hopital, même si Julien viens de ce prendre une balle, les medcin on peur des jeunes de citée, ils se font une fosse idée, et s'en fiche de ce qu'il peuvent avoir tant qu'il partent vite et qu'il nuise pas a leur réputation. c'est pas tous mais c'est la plus part , ils ont peur... pour la police, et le fait que Ulrich ne soit pas condanné, bas lui il na rien fait, et les policier le savent puisqu'ils les surveillaient... maintenant je savais pas trop comment faire sortir Ulrich de prison donc je suis peut être allé un peut vite sur ce point là... pour l'orthographe du prénon d'Ulrich, je me suis rendu compte en plein mileiu de mon écriture qu'il fallait un h, je l'ai donc rajouté, mais je n'ais pas corrigé le debut, maintenant si a la fin c'est écrit sans h, c'est que c'est un oublie de ma part... voilà mici pour ton commentaire | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Champion [ Réaliste ] Mar 17 Juil - 14:27 | |
| Ok ok ^^ Comment ça se fait que t'avais pas remarqué les émoticônes? C'est pas toi qui les a mis? |
| | | Era Admin
Nombre de messages : 1566 Age : 33 Localisation : Là où ma plume me dépose... Loisirs : écrire de ma plume un petit mots pour toi ! Date d'inscription : 04/12/2006
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| Sujet: Re: Champion [ Réaliste ] Mar 17 Juil - 15:07 | |
| non c'est pas moi, tous comme c'est pas moi qui ais ais changé ce qui a écrit en dessous du titre et dans la page d'aceuil | |
| | | Tlina Co-Admin
Nombre de messages : 1025 Age : 35 Localisation : quodam loco in orbi terrae Loisirs : go, lire & écrire (bien sûr), écouter the klaxons, commencer des romans inachevés Date d'inscription : 04/06/2007
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| Sujet: Re: Champion [ Réaliste ] Mar 17 Juil - 19:30 | |
| Permets-moi de faire quelques remarques sur la nouvelle (c'est moi qui fait les corrections quand même) :
1) les phrases sont très longues. Tu aimes beaucoup les virgules, mais il faut faire plus de pauses où le lecteur puisse se reposer. Imagine ton texte lu à haute voix... argh... le lecteur est mort d'asphyxie... Si tu veux maintenir des phrases d'une certaine longueur pense à utiliser les points-virgules ( ; ) et les deux points ( : )
2) Il faut éviter les répétitions (sauf quand c'est esthétique, comme le début "je cours, je cours", que j'aime bien). Par exemple dans les dialogues, essaie de varier au lieu de mettre tout le temps "dit-il" etc. Et pas seulement les répétitions de mots, mais évite d'écrire deux phrases qui expriment la même idée.
3) Le style est très oral, trop... ou pas assez. Tes personnages ne parlent pas le français de Molière, d'accord, mais alors il faut qu'ils massacrent la langue à fond. Parce que parfois on trouve un mot assez complexe ou pas très naturel...
Sinon il y a plusieurs choses vraiment bien. Déjà niveau orthographe j'ai l'impression que ça s'améliore au fil des pages. Aussi il y a des scènes très bien faites (quand ils vont laver leur terrain, j'ai vraiment aimé) et les dialogues sont vraiment mis en scène (t'as jamais pensé à écrire du théâtre ?). Améliore ces petits points, et tu pourras être fière de ton texte. | |
| | | Era Admin
Nombre de messages : 1566 Age : 33 Localisation : Là où ma plume me dépose... Loisirs : écrire de ma plume un petit mots pour toi ! Date d'inscription : 04/12/2006
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| Sujet: Re: Champion [ Réaliste ] Mar 17 Juil - 19:45 | |
| ok merci Tlina je regarderais ça, maintenant mes réponses a certaines choses... 1) je revérais, parce que je sais que mes phrases ne sont jamais parfaite, je joue surtout sur les point de suspention et laisse le reste un peut de coté... 2) les répétition, oui je sais j'en fait beaucoup aussi donc c'est une des choses qui faut me faire remarqué 3) alors là, je dirais seulement une chose, c'est que mon texte est au passé, à l'époque ou le narrateur revien, il a 17 ans, mais est ce que je dis a un endroit qu'il a 17 ans lorsqu'il écrit ?? en faite tu as le personnage a 17 ans, et celui qui raconte l'histoire et ceux a quelques anné de différence, et puis ça fait déjà quelques temps que David ne vit plus à la citée, il a murie, et appris a parlé correctement enfin entre parenthèse. par contre ses amis eux on vécu dans la citée toute leur vie et utilise un vocabulaire plus des citée enfin dans tous les cas il garde un vocabulaire de jeunes... par contre ta remarque était bonne car tu viens de me faire remarqué un tous petit problème pour la suite... donc merci ! des pieces de théatre ?! euh enfaite ce serait plutôt m'achevé, je déteste ! | |
| | | Tlina Co-Admin
Nombre de messages : 1025 Age : 35 Localisation : quodam loco in orbi terrae Loisirs : go, lire & écrire (bien sûr), écouter the klaxons, commencer des romans inachevés Date d'inscription : 04/06/2007
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| Sujet: Re: Champion [ Réaliste ] Mar 17 Juil - 19:47 | |
| faut pas les lire, faut les voir jouées
C'est très drôle le théâtre, c'est pas qu'un truc de snobinards | |
| | | Era Admin
Nombre de messages : 1566 Age : 33 Localisation : Là où ma plume me dépose... Loisirs : écrire de ma plume un petit mots pour toi ! Date d'inscription : 04/12/2006
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| Sujet: Re: Champion [ Réaliste ] Mar 17 Juil - 19:51 | |
| ma soeur en fait et mes parents adoreraient que j'en fasse... j'ai le théatre en horreur, puis je trouve que c'est dure a écrire enfaite, parce que j'aime bien les textes narratifs ! | |
| | | E-Nixe Auteur
Nombre de messages : 1600 Age : 34 Localisation : Sur Atlantis Loisirs : Me prende des mega fou rire Date d'inscription : 13/12/2006
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| Sujet: Re: Champion [ Réaliste ] Mar 17 Juil - 19:57 | |
| Moi j'ai toujours aimer pièece de théatre drole, et en faire sa me derrangerai pas du tout. Le seul hic ces les texte a apprendre | |
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| | | | Champion [ Réaliste ] | |
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