Le titre n'a rien à voir avec le sujet de la nouvelle mais il est assez dur d'en trouver un qui est assez juste. Voici la première partie :
Que veux tu me dire ? demanda t’il en amchonnant son batonet.
Je n’arrivais pas à comprendre tout ce qu’il disait mais cependant je pouvais interpreter quelques mots ou quelques phrases. Mais ce n’était pas cela qui était génant dans cette situation mais plutôt le regard de l’homme qui me troublait. C’était comme si il entrait en moi pour me hanter. Bien sur omment aurait t’il bien pu pénetrer en moi ? Il se tenait à un métre de moi - d’ailleurs il ne sentait pas très bon - et me regardait fixement en machouillant son batonnet. Oui , mais j’avais quand même peur de lui et de sa voix grave qu’on pouvait atribuer à un monstre dans un dessin animé pour petits enfants. Je n’écoutais donc pas vraiment le long monologue qu’était en train de déclarer l’homme , c’est peut être pour cela que je n’arrivais pas à le comprendre clairement.
- Je suis désolé mais je dois m’en aller. dis je - en le coupant surement - avec le ton d’un homme pressé.
- Mais tu ne peux pas t’en aller ! Tu dois venir avec moi. dit il clairement - poir une fois - tout en me faisant le regard d’un homme qui était attristé.
-Pourquoi est ce que je devrais vous suivre ? Vous ne connaissez même pas mon nom ! Monsieur , vous n’êtes qu’un inconnu !
-Fermez là ! Vous n’êtes même pas fichut de me dire votre nom vous aussi...
J’étais surpris. Il venait de me parler sur un ton si familier que pendant quelques minutes je ne me rendais pas compte de ce qu’il venait de me dire. J’ai bien sur compris ensuite qu’il se moquait de moi depuis le début. Ce n’était pas qu’un fou qui pensait me connaitre. Non loing de là ! C’était un cinglé qui avait l’intention de me faire perdre mon temps. Alors à quoi bon le satisfaire en restant bien tranquillement ici à occuper le temps de ce vieux imbécile ? Du pas le plus rapide que je pouvais faire je suis partit. Je n’osais même pas lancer des regards en arrière. Est ce qu’il était toujours là à m’épier ? Non , il était surement partit - ce pauvre fou - s’occuper à faire perdre leurs temps à des gens occupés.
Il faisait assez sombre dans la rue , et une chanson d’un chanteur mort résonnait dans mes oreilles. J’avais presque oublié ce cinglé qui m’avait intereplé pour me concentrer sur mon objectif. Un objectif ? Est ce que j’en avais un. Il fallait se fier aux apparances , je n’étais pas sortit sous la pluie pour aller chercher du pain. C’était bien sur ce qu’on m’avait demandé de faire et la seule chose que je devais accomplir...Mais je me sentais bien dans les bras de ces gouttes d’eaux qui prenaient place sur mon visage. Non je ne suis pas fou. Il n’y a aucun mal à aimer la pluie - il pleut , il pleut , c’est la journée du crapaud OOOH ! - c’est une chose qui peut arriver. Ces rues desertes , ces magnifiques images avec de l’eau un peu partout. Tout semble si réel tout d’un coup. Et tout ces ( vroum vroum ) voitures qui semblent être des animaux en colére. Ça peut sembler être de la folie , mais ça n’en est pas !
J’avais les mains gelées. C’est vrai qu’il ne faisait pas chaud. Quelle déduction ! Il pleuvait des cordes - cats and dogs - il ne pouvait onc pas faire un solei éclatant ( d’ailleurs il s’tait couché ledit soleil ). Une vision de femmes en bikikins se posant sur des serviettes pour bronzer sous ce temps m’envahit l’esprit. Haha. C’était drole.