Pour des raisons personnelle j'ai décidé d'arrêté l'écriture de " Heyko et le retour du temps des Ombres ", ce livre me rappelle trop de mauvaise nouvelle... Donc j'ai décidé de commencé un tout nouveau projet que j'ai nommé " La femme de l'ombre ", en espèrent que cette nouvelle histoire vous plaira...
CHAPITRE 1
« SORTI TOUT DROIT DE L’OMBRE »
Bien de choses ne s’expliquent pas, pour la simple raison qu’elles n’ont pas d’explication, et c’est pour cela qu’il ne faut pas chercher à comprendre, car plus vous tenter de comprendre, moi les explications ne serons évidente. En ce qui me concerne il y a bien longtemps que j’ai arrête de tenté de comprendre les incompréhensions de la vie, désormais je suis ma vie, et j’exécute le travaille que l’on m’ordonne de faire.
* * *
Une pluie fini tombait sur la ville, des centaines de millier de goute d’eau qui venait s’éclaté contre le sol gris, le toit des appartements ainsi que leurs façades, il y avait dans l’air un sentiment de tristesse. Les rue était vides, ou du moins presque. Dans l’une d’entre elle, deux hommes marchaient côte à côte dans l’ombre de la ville.
-Franchement entre et moi, que pense tu que va penser le boss de tout ça ? Demanda le premier des hommes d’une voie grave. Il nous avait pourtant demandé de ne faire aucune erreur…
-Je n’en sais rien du tout pour tout te dire, avec un peu de chance il comprendra…tu as entendu ce bruit ?
-Qu’elle bruit ?
Le son d’une cloche s’était mit à retentir une nouvelle fois.
-Celui là, répondit le deuxième homme.
-J’ai rien entendu.
Encore une fois le tintement de la cloche avait retenti, mais plus fort. Cette fois-ci, ils l’avaient entendu retentir tout les deux, se retournant en même temps pour voir d’où cela venait. Mais il n’y avait rien à voir, juste la pluie qui tombait sur le chemin de goudron, et de la fumée qui sortait de la bouche d’évacuation d’aire. Sans comprendre ils s’étaient regardé tout les deux droit dans les yeux, alors que soudainement une voie avait retenti :
-Comment osez vous encore vous montré après ce que vous venez de faire ?
-Qui êtes vous, cria aussitôt l’un des deux hommes.
-Qui je suis ? Vous n’avez pas besoin de le savoir pour le simple faire que votre vie ne ce compte plus en année, mais en minute…
La peur avait envahi les deux hommes, qui s’étaient arrêté net au milieu de la rue, cherchant du regard ou se trouvait la femme qui leur parlait. L’atmosphère était devenue lourde, alors que l’aura de la femme était devenue féroce, alors que la peur grandissait au saint des deux hommes.
-Vous avez peur ? Rien de plus normal…, avait-elle dit d’une voix froide.
Et sans que personne ne comprennent comment cela été arrivé, les deux hommes s’était retrouvé allongé sur le sol, la gorge tranché, les yeux percé, le cœur transpercé. Il y avait du sang partout, sur les murs, et celui qui celui qui se trouvait sur le sol était emporté par la pluie. L’état des deux hommes était horrifique. Il aurait fallu avoir l’estomac solide pour assisté à la scène.
* * *
-C’est vraiment affreux ce qui leur est arrivé a ces deux hommes, dit une femme noir d’une voix douce, qui était assises avec un amie sur la terrasse d’un café. Ecoute moi ça : « Hier, deux homme d’une trentaine d’année on été tuer dans la rue d’Egérence, au alentour de onze dix. La police raconte qu’ils n’ont jamais vue de telle horreur, les cadavres était très amoché, et il y avait du sang partout, même si la pluie en a retiré une bonne partie. Selon la police il s’agissait de deux bandit, ils pencheraient donc pour la thèse d’un conflit entre deux gang… », Avait-elle lu a haute voix. C’est vraiment horrible.
Elle avait bu une gorgé de son café, puis avait replongé sons nez dans le journal qu’elle avait entre les mains, tendit que son ami répondait a un message avec son téléphone mobile. Il y était neuf heure du matin, et un soleil radieux se montrait aujourd’hui, il n’y avait plus de nuage dans le ciel, juste un magnifique ciel bleu qui laissez présagé un temps magnifique pour les jours à suivre.
-Affreux tu y va forte Rébéqua, ce sont des bandits, ils ont sûrement du faire quelque chose de grave pour qu’ils soient tue, répondit la seconde femme d’une voie légère.
-Tu es vraiment sans aucune pitié Lyho, ils ont peut être des bandits, mais sa reste comme même des humains, personne ne mérité de mourir ainsi… regarde, dans le journal il est dit qu’ils ont eu la gorge tranché, les yeux percé, et le cœur transpercé. Les pauvres ils ont vraiment du souffrir.
-Tu es bien trop émotive, sa te perdra un jour…
-Oui, bien excuse moi de ne pas avoir un cœur de pierre ma chère…fin bref. Au faite tu n’es pas encore au courant, s’exclama Rébéqua en posant rapidement le journal sur la petite table, tout en faisait attention de ne pas bousculé les tasses.
Lyho avait enfin fini d’écrire son message, elle avait refermé son portable qu’elle de suite mit dans l’une des poches de son pantalon, puis elle s’était redresser toute son attention a son amie.
-Non…mais je ne sais pas pourquoi j’ai la sensation que tu va me le dire, dit-elle sur un ton narquois.
-Tu te souviens de Luc ?
-Oui, répondit Lyho qui s’emblais pensé que ceci allait mener a une grave erreur. Enfin si on parle bien même Luc, de celui qui ta brisé le cœur il y a un peu plus d’un an, celui qui ta prit pour une conne, celui qui ta caché qu’il avait des orientations sexuelle douteuse, celui qui ta fait croire que l’amour existait, que le bonheur se partageais a deux, et qui a fini par de plaqué pour un mec…alors oui je suis au regret de te dire que je me souvient de Luc, avait-elle rajouté sur un ton qui montrait que sa lui prenait la tête.
-Ta fini oui ! Tu y va forte, j’ai réussit à lui pardonner alors par amitié tu pourrais en faire de même, c’est pourtant pas l’impossible que je te demandé, non ? Fin bref, juste pour dire que je l’ai revu l’autre jour, quand je me promenais dans le centre ville.
-Et ?
-Bien on a parlé autour d’un café, il ma presque fait de la peine, on aurait dit qu’il était tout triste, j’avais presque de la peine pour lui. Aujourd’hui il est de nouveau célibataire car son copain la trompé la trompé avec un autre garçon, enfin ceci ont s’en fou sa lui va bien, mais j’ai été surprise de le revoir, et je n’ai même pas eu de pincement au cœur en le voyant…je crois que je suis enfin passé a autre chose, avait-elle concluez en souriant.
-Dit moi tu plaisante en me disant qu’il te faisait de la peine ? Il na ce qu’il mérite ce gros, enfin tu voies ce que je veux dire. Comment peut tu avoir pitié de lui alors qu’il ta brisé le cœur ? J’espère au moins qu’il se rend compte de ce qu’il a perdu…enfin, l’essentiel c’est que toi tu es pu voir que tu allais beaucoup mieux, s’était légèrement emporté Lyho.
Elles avaient toutes les deux bu une nouvelle gorgé de leur café, alors que Lyho avait saisi son portable dans sa poche, ce qui signifiait qu’elle avait reçu un nouveau message, tendit que Rébéqua s’était de nouveau plonger dans sons journal.
Durant plus d’une heure encore, elle était resté assise a cette terrasse, puis elle était chacune parti de leur côté. D’un pas sûr, Lyho s’était rendu avec une démarche de femme d’affaire, dans l’une des rues les plus sombres de la ville, alors qu’elle n’avait jamais réapparu de l’autre côté de la rue.