Le paisible univers des jeunes écrivains en herbe... |
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| Champion chapitre 2 [ Réaliste ] | |
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Era Admin
Nombre de messages : 1566 Age : 33 Localisation : Là où ma plume me dépose... Loisirs : écrire de ma plume un petit mots pour toi ! Date d'inscription : 04/12/2006
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| Sujet: Champion chapitre 2 [ Réaliste ] Mar 14 Aoû - 15:26 | |
| Champion chapitre 2 Antoine Quand on à 9 ans, la vie parait simple, on va à l'école, on mange on dort, on joue, voilà à quoi se résume la vie d'un enfant... mais elle est parfois bien plus compliqué, en effet, pour les adultes tous est simple pour nous, à leur yeux on a rien a faire à part faire ce qu'on nous dit... mais se serait stupide que de pensé que tout est si simple... en réalité, rien est simple, on ne le dit pas aux parents tous simplement... c'est vrais après tous, quel est l'enfants qui dit tous à ses parents ? Qui est-ce qui n'a pas fait une bêtise au moins une fois dans sa vie... piqué des bonbon dans le placard, envoyé un ballon dans une fenêtre, allé en ville le soir alors que vous n'avez pas le droit... les parents ignore l'un moitié de toutes ces bêtises c'est vrais, qu'Est-ce qu'ils savent réellement ? En faite... rien, car la plus part des bêtises ils ne les connaisse pas... mais certaine choses sont bien plus grave... elles marquent, mais on ne peut pas les dire, des choses horrible, des secrets profondément enfoui en nous... des choses que l'on a vus, que l'on a fait... alors que je vous raconte le commencement de mon histoire, aujourd'hui, j'ai 15 ans, je sais pas pourquoi j'ai pris cette feuille de papier, pourquoi j'ai voulu raconté mon histoire, mon secret, en faite je l'avait même placé au fond d'un tiroir cette liasse de papier, c'est pour ça, que vous lisez le prologue après le chapitre 1, parce que en réalité, c'est l'ordre logique que j'ai donné à mon histoire... lorsque je commence mon histoire, j'ai 9 ans, et j'ai qu'une seul envie, quitter cette salle de classe et me faire une bonne série de shoot. J'en ais mare de cette maîtresse qui ne nous apprend rien, c'est pas savoir combien fait 8x7 qui nous fera survivre dans la citée... c'est alors que la sonnerie a retentie, je me sort alors de ma rêverie, prend mon sac et sort, Ulrich arrive en courant, tous les deux en riant, on a couru jusqu'à la citée, la prof a éssayé de nous rattrapé mais elle pouvait bien faire ce qu'elle voulait elle ne nous rattraperait jamais... c'était toujours le même cinéma... et en fin de compte, les grand gagnant c'était toujours nous ! Qu'est-ce qu'on avait pus l'embêté la vieillie Madame Perti, j'en rigole encore... c'était une vieille aux cheveux grisonnant, elle était assez callé sur le règlement c'était du genre : " vous frotter vos pied avant d'entré, Arrête de te gratté le nez toi !" Et tous ça avec une voix super aigu. Je dois l'avoué je l'ais jamais aimé cette femme, elle n'avait qu'un objectif, nous pourrir la vie... mais on a très vite appris à lui mené la vie dure nous aussi, il est vrais qu'elle nous en a beaucoup voulu, surtout quand on a fait pipi dans ses fleurs... je crois que c'est l'un de mes meilleurs souvenirs, et également de ma plus grosse punition... quoi ? Pourquoi vous me regardé comme ça ? Elle m'avait accusé d'avoir mentis et m'avait punis de récrée pour rien en plus, moi je vous le dit, elle voulait ma peaux. Après tous c'est pas de ma fautes si les autres était nul au basket... Arrivé sur le terrain de basket on a attendu Antoine, Quentin et Juju, ils sont arrivé peut de temps après, Antoine toujours partant pour berné l'autre pie nous a frappé dans la mains, on avait le même délire tous les trois, Julien et Quentin eux avait toujours été un peut plus sérieux. Ils nous arrêtaient lorsqu'on allait trop loin, mais parfois, il ne suffit pas d'essayé... ils nous avaient prévenu qu'un jour nos connerie finiraient mal, et ça na pas loupé,on a faillie y laissé la vie, et Antoine lui-même a laissé la sienne... bon trêve de plaisanterie, vous étés là pour écouté l'histoire, alors racontons là...Tous les 5 on a couru jusqu'à l'aile nord de la citée, il s'agissait d'une grande barre de béton, comme l'autre, mais celle-ci n'était plus accessible à personne, jugé trop dangereuse elle avait été fermé par un cadenas, mais nous on savait comment entré, on avait découvert un accès, un jour que l'on jouait dans les caves de la citée, bien entendu, on avait ni le droit de se trouvé dans les caves, ni et encore moins dans l'aile fermé au publique... mais on était des gamins, bravé l'interdit ça nous plaisait. On allait souvent dans la barre endormis, on s'y cachait, pendant des heures on restait là bas, a discuté, à se regardé des magazine que nos parents auraient confisqué si ils avaient sus qu'ils étaient en nos possessions... on y cachait et y faisait tous ce que chez nous était banni... c'est-à-dire, tous ! Rien était autorisé à la citée, on avait le droit de joué au basket et tous mais en dehors des bâtiment aucun jeux n'était autorisé, en faite à l'époque je peut dire que le concierge était un peut sadique, il nous laissait faire et puis au dernier moment nous tombait dessus, et a la fin c'était toujours nous qui avions tord, mais encore une fois au file des année, nous avons sus passé outre ses stupide machination... on était fort n'empêche, je me souvient, une famille venait d'arrivé, et il y avait un enfant de 5 ans, il pleuvait dehors, et le garçon était rentré les pieds boueux, le concierge lui était tombé dessus alors qu'il s'apprêtait à entré chez lui... le concierge l'avait vus monté, il l'avait vus et pourtant il a attendu le dernier moment pour le surprendre, le pauvre garçon ne connaissait pas les règles et des son premier jour il a du nettoyé toute la cage d'escalier... Heureusement pour notre avenir, le concierge avait finit par ce prendre les pieds dans sa serppière, drôle de fin, mais en tous cas il est partie à l'hôpital et on là plus jamais revus... bon je m'en plaindrais pas mais bon... pauvre gars quand même c'est pas de chance... Ce jour là on est resté toute la nuit là bas dans la tour, n'empêche vous étés déjà allé dans un grand immeuble où il y a des lit, des fauteuils et plein de cochonnerie partout ? C'était super. Dangereux? Certes, mais à l'époque on ne s'en rendait pas compte... et vous vous n'imaginé même pas les danger qui se cachait là bas... Vous connaissez la peur ? La vrais, qui vous tiraille, qui vous arrache les entrailles, qui vous fait tremblé, qui vous retourne l'estomac ? Nous on l'a connus à l'âge de 9 ans, alors que l'on fumait... eh oui, on faisait de ces connerie à l'époque. Alors que l'on fumait, on a entendu du bruit, on sait tous regardé, puis dans un même mouvement, on a éteint nos cigarette et les bougies qui nous servait de lumière. On a entendu des éclat de voix dans les profondeur de la tour. - on se tire, a dit Quentin. - t'es fou, a fait Ulrich,on va voir... - je suis pas sur que ce soit une exéllante idée, ai-je répondu en fronçant les sourcils. Mais Ulrich n'a jamais voulu écouté ce qu'on pouvait lui dire, il est partie dans les escalier, on voyait bien Antoine et moi que c'était pas une exélente idée, puis Quentin semblait vraiment avoir la trouille. Il semblait mal à l'aise... On avait pas le choix, on avait une devises, tous ou personne, si l'un partait dans un délire, ou dans une aventure, les autres le suivait... mais on aurait du resté en bas, on aurait du se barré tous simplement... Mais on est monté, les éclat de voix provenait d'une porte entre ouverte, on c'est approché, en silence... on ne voyait pas grand choses, on se poussait pour regardé. Puis Antoine nous a fait signe de nous taire, on la écouté, puis on a écouté. Je ne pourrais pas vous retranscrire avec exactitude les paroles qui se sont échangé, mais je peut vous dire une chose, c'est que dans cette pièce, il y avait quatre homme, l'un était assis dans un fauteuil, il parlait à un homme que les deux autre retenait. Le gars semblait crevé de trouille, il avait un regard suppliant... l'autre mec semblait très en colère, il gesticulait, puis il c'est levé, sortant un truc de sa poche que nous avons pas vus tous de suite... nous sentions la fin proche, ce qui c'est passé après, les autre ne l'on pas vus, mais Antoine et moi, on la bien vus, distinctement, l'homme que les deux brutes retenait venait d'être mis a genoux de force, l'autre vociférait toujours. Le gars nous a alors vus, il nous a jeter un regard que jamais au grand jamais je n'oublierais, cas c'était le dernier regard qu'il donnerait, il nous a fixé, comme si il voulait nous dire quelque chose, comme si il voulait nous dire de partir, très loin et très vite. c'est alors que tout est arrivé, le coup est très vite partie, nous on la surtout entendu, c'était un bruit sourd, ce qui nous marquera pour toujours, c'est la vue de cet homme, s'affaissant, mort.
Dernière édition par le Sam 5 Jan - 20:09, édité 1 fois | |
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| Sujet: Re: Champion chapitre 2 [ Réaliste ] Mar 14 Aoû - 15:28 | |
| Dans un recule, Antoine et moi avons bousculé nos camarades, et les types nous ont vus. Lorsque Ulrich avait compris ce qui se passait, il avait couru, entraînant Julien et Quentin ors la tour, loin de tous ça en utilisant notre passage secret, ils étaient déjà partie, mais moi je restais, le regard fixe sur cet homme, mort. Mon regard est alors passé sur son assassin, un homme grand, jeune, le regard profond... je pensais ne jamais oublier cet homme, je m'étais trompé... tous est si vague maintenant... si flou, je pense que si je croisais cet homme dans la rue, je le reconnaîtrais, mais je ne peut pas, je n'arrive pas à me souvenir de ses traits... On c'est regardé ainsi, pendant ce qui ma semblé une éternité, puis Antoine m'a tiré par la manche, de plus en plus fort... j'ai enfin pus dégagé mon regard, être libre de mes pensé, enfin presque... je me suis laissé entraîné par Antoine, je sais pas comment je suis arrivé dehors, j'ignore comment on c'est retrouvé à ce planqué dans les cave, parce que je pensais à une seul chose, cet homme mort sous nos yeux... on c'est caché dans une des cave, elle était immense et pleine de meuble, on ignorait où était les autres, Antoine et moi on était tous les deux là bien au font, caché derrière une grosse caisse en bois. Les hommes eux aussi était à, il y en avait deux, le meurtrier, et un de ses chien de garde. On ne savait pas ou était l'autre, mais on savait une chose, c'était que ces hommes passaient à quelque mettes de nous, ma respiration était saccadé et forte, j'avais peur. Antoine à posé sa mains sur ma bouche, elle était moite, et il serrait lui aussi avait peur... ce n'était pas son habitude... le danger était là, on le savait tous les deux, ils ne s'agissaient plus de s'en prendre au concierge ou à la prof, ces types était armé. C'est le genre de choses que l'on apprend pas à l'école, comment ne pas se faire tué par des types sans scrupules... j'ignore combien de temps on est resté caché derrière cette caisse, vingt minutes, une heure, une journée ? Tous ce que je sais, c'est que j'étais recroquevillé, et que j'avais jamais eu aussi peur de ma vie. Lorsqu'on a pus ressortir sans craindre de se faire attrapé par les gars, on est rentré chez nous, ça a été comme un réflexe, on a pas eu besoin de se concerté pour décidé de la marche à suivre. On avait qu'une envie, rentré chez nous, s'allongé, pour enfin se réveillé de ce cauchemar... mais le problème avec la réalité, c'est que jamais on ne se réveille... Je suis rentré chez moi, la tête baissé, les mains enfoncé dans mes poches, le regard lointain, très lointain. Je me suis avancé dans l'appartement, passant devant mes parents. - Ça vas David ? m'a demandé ma mère. Je n'ais pas pris la peine de lui répondre, rien ne pouvait m'atteindre, j'étais comme hypnotisé je me suis dirigé vers ma chambre et me suis allongé sur mon lit. Ma mère est venu me voir quelques minutes plus tard, elle a posé sa main sur mon front... - Il est brûlant... - Ce ne doit pas être très grave, a dit mon père, une bonne nuit de repos et tous irait bien. Et il sont partie, ma mère ma donné un médicament pour faire tombé la fièvre, elle ma fait un baisé sur le front puis avant d'éteindre la lumière elle m'a fait un sourire puis est sortie. Cette nuit là, ne ais pas beaucoup dormis, à chaque fois que je fermais les yeux, je revoyais ce dernier regard que ma jeté ce gars, puis je le revoyais mourir, interminablement... à chaque fois, je me réveillais en trombe, couvert de sueur. Au bout d'un moment, je me suis levé, je suis allé à la salle de bain, et ais passé de l'eau sur mon visage. Je transpirais, j'avais chaud... je n'allais pas bien du tous. Il y avait du bruit de hors sur le terrain, je me suis dirigé vers la fenêtre du salon et ais jeter un coup d'œil, j'y ais vus Antoine et Ulrich. Ils était assis sur un banc, pendant que des plus vieux jouait au basket. Ce n'était pas l'habitude de Antoine et d'Ulrich de refusé un match, et ce n'était pas mon habitude de sortir dehors avec de la fièvre... mais j'avais besoin de leur parlé, je ne voulais pas et ne pouvait pas resté seul. Je me suis habillé tremblant de tous mon corps, puis je suis sortie, sans faire de bruit. J'ai passé la porte, une fois fait, je me suis mis à courir dans les escalier, j'ignore pourquoi, il y a des jour comme ceux là où vous devez courir, sans vous arrêté courir, pour évacué le stresse, la peur. J'ai couru jusqu'à mes amis, mais je n'avais pas envie de m'arrêté, courir me faisait du bien. J'avais que 9 ans, on avait tous les cinq, 9 ans, comment avait on pus s'embarqué la dedans... on arrivait pas a géré tous ça. Et ça ne faisait que commencé... Je me suis assis au entre eux deux, ils avaient l'aire perdu dans leur pensé à regardé ainsi devant eux, en faite on était trois pommé qui ne savait même pas ce qu'ils faisaient ici... on est resté ainsi quelques minutes, puis j'ai relevé la tête vers les barre de béton, d'ici on pouvait voir la tour nord, elle était tagué et dégradé de tous part. j'ai jeté un coup d'œil à la fenêtre du 9ième, c'était là que c'était arrivé... j'ai eu l'impression désagréable que l'on devait y retourné, que c'était notre devoir, que cet homme n'aurait pas du mourir... quoi qu'en réfléchissant personnes ne doit mourir de cette façon... j'avais sentie de la bonté émaner de cet homme, comme si il ne voulait pas que l'on voit ce qui allait ce passé après, il s'était résigné à mourir, mais ne voulait pas que nous, 5 jeunes enfants ne voit ça. On savait que si on refranchissait le seuil de l'immeuble, les gars qui avait tué cet homme pouvaient nous tombé dessus, nous tué... mais vous n'avez donc jamais ressentis ce besoin qu'a tout homme qui est la curiosité, ce goût prononcé de l'aventure ? Nous on l'avait. On savait qu'il y avait peut de chance pour qu'on y trouve quelque choses, mais on devait y allé... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Champion chapitre 2 [ Réaliste ] Lun 27 Aoû - 23:02 | |
| Raaaaaaah j'avais complètement zappé de lire cette petite merveille sur pattes! J'aime beaucoup! Particulièrement la phrase : "le problème avec la réalité, c'est que jamais on ne se réveille..."! |
| | | Era Admin
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| Sujet: Re: Champion chapitre 2 [ Réaliste ] Mar 28 Aoû - 12:08 | |
| lol si tu veu lire la suite c'est sur plumedephenix, le liens est dans pub. | |
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